VIDEO -Yvan Benedetti appelle à BRULER les symboles de la République

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Yvan Benedetti appelle à BRULER les symboles de la République, à « refuser l’histoire officielle », incite à la violence… « Ce cancer, cette petite minorité qui nous dirige sera balayée d’un souffle. »
@NunezLaurent
@gouvernementFR
@Gravel91
@EmmanuelMacron

happywheels

3 Commentaires

  1. Franccomtois dit :

    L´anti-France est de retour 🤑🤮!Surprenant que des sales types de cette espece soient encore en droit de débiter tant de vomissures haineuse,xénophobe,homophobe,antisémite sans pour cela être condamner á une quelquonque peine.Les mêmes,je dis bien les mêmes teigneux antifas,black-blocks,NUPES,NPA and co eux non plus n´ont aucuns soucis,á croire qu´ils sont bien appréciés de nos poliTIQUES,tant bien de gauche que de droite,si pratique quand des manifs dérangent le systeme république bananiere!

    -Pour info les teigneux(contreculture.org):
    Les étrangers en première ligne
    Philippe Ganier-Raymond assure que 300 000 immigrés, sur trois millions vivant alors en France, ont participé à la Résistance. Cinquante mille étaient armés.
    Ils auraient effectué, au cours des dix-huit mois qui ont précédé la mort des hommes du groupe Manouchian (21 février 1944) «la majorité des actions de la Résistance dans la région parisienne».
    Ils sont vingt-trois, parmi lesquels seulement un Francais, Roger Rouxel, ouvrier tourneur de Vitry-sur-Seine, et un Breton, Georges Cloarec.
    (L ‘Affiche rouge. Philippe Garnier-Raymond. Ed. Fayard, 1975)

    Claude Lévy écrit que certains résistants francais ont inscrit à leur crédit des attentats réalisés par les hommes de la MOI (Main d’oeuvre Ouvrière Immigrée) pris et fusillés par les Allemands. II cite l’exemple de l’exécution, en plein Paris, de Ritter, délégué allemand au STO, exécution dont les auteurs de l’ouvrage Le Parti communiste francais dans la Résistance, omettent de dire qu’elle fut l’oeuvre d’un groupe d’immigrés.
    (Les Parias de la Résistance, Claude Lévy. Ed. Calman-Levy, 1970)

    Pannequin, ancien communiste, authentique résistant, affirme que, selon l’un des résistants juifs les mieux informés, la plupart des exploits des FTP parisiens dont il avait entendu se vanter tant de héros français avaient été accomplis par deux Juifs avec leurs hommes, Joseph Bolzov pour les déraillements de trains et Marcel Rayman pour les coups de main…
    (Adieu Camarades !, Roger Pannequin. Ed. Le Sagittaire, 1977)

    Geneviève de Gaulle Anthonioz estime à 35 000 le nombre d’Espagnols résidant en France pendant la guerre, fusillés, morts dans les combats ou dans les camps de concentration.
    ( Ces femmes espagnoles, de la Résistance à la Libération. Geneviève de Gaulle-Anthonioz. Ed. Tirésias, 1994)

    Serge Klarsfeld, en enquêtant sur les fusillés du Mont-Valérien, aboutit à une remise en cause des chiffres officiels. Il s’aperçoit que le chiffre des 4500 fusillés est faux. Le nombre de Juifs fusillés est de 175 sur un total réel de 1007, soit plus de 17%. Nous sommes très au-dessus du pourcentage des Juifs dans la population totale.
    (Les Juifs dans la Résistance. Dir Monique-Lise Cohen et Jean-Louis Dufour. Ed. Tirésias, 2001)

    -Les déportés
    76.000 hommes, femmes et enfants français furent déportés pour motif racial (essentiellement les Juifs, plus quelques centaines de Tziganes)
    2.400 rescapés, soit 3,16 %

    81.000 Français ou étrangers résidant en France furent déportés pour des motifs non raciaux.
    23.000 rescapés, soit 28,40 %

    Si l’on fait le total des déportés, plus de 50% des victimes furent des personnes qu’aujourd’hui un bon citoyen soupçonnerait volontiers de communautarisme.

    -Le comportement de la police française(jouissif pour le pendard benedetti)
    Les déportations mentionnées plus haut n’ont pu se faire que grâce à la collaboration quasi-générale des fonctionnaires de police.

    Au musée de la Police, un cadre est consacré aux « morts pour le devoir » de la ville de Paris et du département de la Seine, de 1940 à 1944 ; il est possible d’y relever trente-six noms: 1 en 1940 ; 2 en 1941 ; 8 en 1942 ; 13 en 1943 ; 12 en 1944.
    Il est impossible de savoir si ces 36 « morts pour le devoir” ont été tués par des truands ou des résistants.

    Sur 200 000 fonctionnaires, on répertorie pour la durée de la guerre 19 policiers fusillés, morts en captivité ou tués dans les maquis, une soixantaine de déportés et un millier de combattants volontaires blessés. D’autre part, 167 fonctionnaires de police sont morts dans les combats pour la libération de Paris, et font liste à part.

    Pendant la durée de l’Occupation, la police française s’est acquittée des tâches suivantes, sans encourir de critiques majeures de la part des autorités allemandes :
    1. Le recensement des Juifs en octobre 1940, effectué dans les commissariats de police. De même l’apposition du cachet « Juif » sur les cartes d’identité.
    2. Les rafles des 14 mai et 20 août 1941.
    3. Le respect du couvrefeu imposé aux Juifs, à partir du mois de février 1942.
    4. L’obligation pour les Juifs de rendre leur poste récepteur de TSF.
    5. Les étoiles jaunes distribuées dans les commissariats de police et la vigilance apportée par les gardiens de la paix à ce que cet « insigne spécial » soit porté bien visiblement.
    6. L’obligation faite aux abonnés juifs du téléphone de rendre leur récepteur dans les commissariats de police.
    7. La surveillance attentive de ceux des Juifs qui ne respectaient pas l’interdiction qui leur était faite de paraître dans les lieux publics et de ne plus voyager que dans la dernière voiture du métro parisien.

    (Source : Les Silences de la Police: 16 juillet 1942 – 17 octobre 1961, Jean-Luc Einaudi et Maurice Rajsfus, Editions L’Esprit Frappeur – 2001)

    Je pense que nous pouvons remercier tout ces étrangers si mal menés par la France de nous avoir donné en grande partie notre liberté aujourd´hui bien rogné il est vrai!

  2. Lior dit :

    Est ce que Benedetti n’aurait pas lui même des origines juives?
    Histoire de lui donner quelque cauchemar..
    En tout cas, en général, quand un antisémite découvre qu’il a des origines juives alors il s’arrête..

    • liguedefensejuive dit :

      Il suffit de faire une simple recherche sur Google sur les Benedetti en Italie ,en Corse ou en Tunisie pour découvrier que les Benedetti sont d’ascendance juives.

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