VIDEO :Valls accuse Hamon «d’ambiguïtés» sur le communautarisme islamiste

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Invité ce mardi matin, sur France Info, l’ancien Premier ministre estime que, dans les propos de Benoît Hamon, «il y a des ambiguïtés, il y a des risques d’accommodement de sa part», vis à vis de l’islam radical. Manuel Valls réagissait notamment après la rediffusion d’une interview où Benoît Hamon minimisait un reportage de France 2 dans lequel certains cafés de banlieue parisienne étaient interdits de fréquentation aux femmes. Le député de Trappes (Yvelines) avait fait un lien avec les anciens cafés ouvriers où, à l’époque, «il n’y avait pas de femmes».
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Manuel Valls a estimé qu’il ne pouvait «y avoir d’interdit vis à vis des femmes». Avant ses propos sur France Info, c’est un ministre proche de lui qui a porté des accusations graves contre Benoît Hamon. «C’est le candidat des frères musulmans», a-t-il lâché, sous couvert de l’anonymat, dans Libération.

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4 Commentaires

  1. Claude dit :

    C’est à qui mangera l’autre !

    Sûr qu’ils ne se feront pas de cadeau !

    La course au pouvoir !

    N’ont ils pas compris que nous sommes las , de revoir toujours les mêmes têtes ! Nous les avons , supporté, tous, pendant des années ; la France, en lambeaux, n’en peut plus et n’en veut plus de ces gens là et les ….. revoilà !

    Ne faut il pas un certain culot d’oser demander aux français , un nouveau mandat , afin de renouveler leur travail de sape et de mettre la France à genoux !

  2. Golmon dit :

    Sa biographie : Détenteur d’une licence d’histoire (marxiste….)
    BAC +3 pour aspirer à diriger la France !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
    Hahahahaha !!!
    La prochaine fois,les gauchos ils vont prendre des RMIstes comme niveau pour faire plus populasse ??

  3. Lys dit :

    Le problème reste entier pour le PS et la victoire de Hamon ou de Valls ne réglera évidemment rien pour ce parti. La gauche française est bien mal menée. Ni l’un ni l’autre ne seront au premier tour de la présidentielle et devront, d’ici là, subir les appels au désistement venus soit de Mélenchon, soit de Macron. On peut s’y attendre….
    Sortir ou se faire sortir…? Voilà le fâcheux dilemme auquel l’un des deux hommes sera confronté dimanche prochain, 5 ans après la victoire de Hollande. Pour parodier le chef de l’État : « l’effacement, c’est maintenant » :-)).

  4. Golmon dit :

    sortir ou se faire sortir , je pose la question !

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