VIDEO : « Quand la gauche collaborait avec l’Allemagne nazie, 1939-1945 »
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Un documentaire indispensable pour comprendre pourquoi une partie de la gauche française a collaboré pendant la Seconde guerre mondiale. Le téléspectateur n’est pas au bout de ses surprises.
Par Anne Sogno
Quel est le point commun entre Jacques Doriot, Marcel Déat, Charles Spinasse, Jean Luchaire ou Marc Augier ? Avant de faire le grand écart et de choisir la collaboration avec l’Allemagne nazie, ils ont été des figures de la gauche de l’entre-deux-guerres, pacifistes, communistes ou socialistes.
Comme la première partie de ce remarquable documentaire (« Quand l’extrême droite résistait – 1939-1945 ») diffusée le 3 décembre, le second volet éclaire la période mouvementée de la Seconde Guerre mondiale en France d’une lumière plus nuancée que celle des habituels clichés entre « bons » et « méchants ». Comment peut-on passer de la SFIO au Rassemblement national populaire (RNP) comme Marcel Déat, du communisme au fascisme via le Parti populaire français (PPF) comme Jacques Doriot, ou du Front populaire à la Division Charlemagne comme Marc Augier, qui combattit en Biélorussie aux côtés des Nazis ?
« L’idée qu’une partie de l’extrême droite qui s’est reconstituée dans les années 1960, et qu’on connaît encore aujourd’hui, a sa source dans les mutations de la gauche dans les années 1930 est impensable […] . Il faut dire d’où viennent ces gens, sinon on occulte une partie de la réalité historique française », prévient Simon Epstein, le conseiller historique de ce documentaire à recommander vivement aux lycéens. Aux côtés des historiens Pascal Ory et Olivier Wieviorka, il analyse les contradictions d’une gauche partagée entre antifascisme et pacifisme à tout prix, et ces trajectoires nées pour la plupart du traumatisme de la Première Guerre mondiale.
Dimanche 10 décembre à 22h40 sur France 5. Documentaire de Florent Leone et Christophe Weber (2017, 2/2). (Disponible en replay sur france.tv).
SOURCE :
https://teleobs.nouvelobs.com/la-selection-teleobs/20171207.OBS8891/ne-ratez-pas-quand-la-gauche-collaborait-1939-1945.html
C’est bien vrai
Il y a eu aussi des gens de gauche qui ont été Résistants dès le début : Guingouin ,Brossolette, Jean Moulin parmi les plus illustres et des Collaborationistes qui vinrent de la droite comme Joseph Darnand,chefde la Milice Céline ou Brasillac
Ah ! les résistants de gauche de la première heure de la guerre 41-45…
ok mais ne pas insister sur les derives graves de certauns et monorer l heroisme et les resistants de gauche et du pc meme si actuellement cela deplait
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À Moscou, Dallidet et Beaufils n’ont pu rencontrer que des personnalités de second plan. Ils rentrent en France sans véritables éclaircissements sur les intentions des Soviétiques.
C’est à la fin du mois de septembre que Dimitrov, secrétaire de la Troisième Internationale, fait parvenir à Paris des directives beaucoup plus sérieuses, transmises par Raymond Guyot, en poste à Moscou en tant que secrétaire général des jeunesses de l’Internationale Communiste (IC).
Ordre est donné de cesser les attaques contre les Allemands et de ne plus dénoncer que la « guerre impérialiste » des Britanniques et des Français. Les communistes qui quittent le Parti pour cause de désaccord avec le pacte sont l’exception. Dans le groupe parlementaire où les défections sont particulièrement nombreuses, on ne compte finalement sur les 72 députés du groupe que 23 démissions, dont 2 membres du Comité Central
La France était devenue un vaste champ de guerre ou la collaboration avec les nazis était chose courante dont la droite avait le monopole
Comme une phrase culte prononcée dans le célèbre film – Le vieux fusil- par Philippe Noiret: La France c’est 50 pour cent de collaborateurs avec les nazis. Dans ce discours qui révélerait quelques secrets d’Histoire passés que nous ne saurions pas? Passés à la trappe? ou à gauche? les deux expressions s’assemblent bien, si j’ose m’exprimer ainsi,j’y vois quelque chose de mercantilisme.
Ce sont tout de même les russes qui ont ouverts les camps de concentrations. Et comme l’a dit Jean d’Ormesson:J’étais stalinien, y aurait vous vu autre chose à cette terrible époque? c’est à dire communiste.
et que dire du célébrissime attentisme français qui, à la limite, me parait moins coupable (il n’y avait pas internet à l’époque) que celui d’aujourd’hui très lié à l’approbation du soralisme comme le fut le pétainisme jadis …
j’ai visionné la vidéo hier soir, son générique de fin dans lequel les pires sous-merdes (déat, albertini, spinasse, augier) ont échappé au règlement de compte qu’ils méritaient.
On peut comprendre qu’après ces années d’horreurs et de traumatismes seule la paix importait au monde mais voir leurs sales gueules en apprenant qu’ils ont vécu des jours paisibles avant de s’éteindre est insupportable !
It’s not surprising at all. Jew hatred transcends politics and the French are historically big Jew haters. You really have to be crazy to be a Jew living anywhere but Israel or the U.S.