Vélos électriques : le patron de Voltaire débarqué après des propos jugés antisémites
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Le président de la start-up, Gabriel Ecalle, avait douté du caractère antisémite de la tuerie de Mohamed Merah dans une école juive de Toulouse, qui avait coûté la vie à quatre personnes en 2012. Sous pression, il a été démis de ses fonctions.
Après plusieurs jours sous haute tension, la start-up de vélos électriques Voltaire a débarqué son président, Gabriel Ecalle. Il est remplacé par Grégoire Lieurade, autre cofondateur de la jeune pousse, qui occupait jusqu’alors le poste de directeur général.
Cette réorganisation fait suite à un message publié en octobre sur X (ex-Twitter). Gabriel Ecalle avait émis des doutes sur le caractère antisémite de l’attaque menée en 2012 par Mohamed Merah dans l’école juive Ozar Hatorah, à Toulouse.
Donc ce n’ est pas de l’ antisémitisme, soit. Mais est ce pour autant du philosemitisme? Qu’ en pense Mr Ecalle?
On sait maintenant qu’il ne faut pas acheter de vélo électrique Voltaire. A faire suivre à vos contacts en expliquant pourquoi, il ne faut pas en acheter.
Moi je pédale á l´ancienne 😁!Pour le gars dont parle l´article,un inculte,un pauvre type!
Le laïus woke-inclusif, au lieu de condamner un propos de dénégation, n’est pas moins inquiétant. Car justement l’idéologie woke mène à ces dérives de complaisance avec la frange de la population qui cultive la négation de l’antisémitisme.
C’est très bien, les antisémites n’ont pas de postes à occuper. Dehors les haineux.
Il est toujours actionnaire…Ne donnez pa votre argent à des antisémites.
Continuons le harcèlement, ne rien lâcher.
N’achetez pas de Voltaire ./
Pédale et ferme ta gueule….surtout ne t’arrête pas .