Le fait de passer sur france 5 dimanche soir le premier reportage documenté sur le hezbollah(qui comporte plusieurs parties) n’est en rien anodin. france 5 est une chaine du service public.Il s’agit d’une preparation de l’opinion publique francaise à une action politique, diplomatique,peut-etre meme militaire?à l’intention du hezbollah pour soutenir un gouvernement libanais elu librement et debarrassé de son tuteur chiite,et,par là même, reprendre pied au liban?(je doute de l’option militaire bien que les alliés majeurs de la france dans la region la souhaite)aussi,par ce documentaire,l’iran est clairement nommé,…impensable en d’autres temps.Qu’attendre de la visite de Mr Netanyahu en france?Du bon, j’espere..sans trop y croire.LDJ,si vous voulez donner les details du documentaire sur france 5 Merci. Cordialement,joseph
Le dimanche 5 février à partir de 20h55, France 5 diffusera « Hezbollah, l’enquête interdite », une série documentaire de 3 épisodes de 52 minutes réalisée par Jérôme Fritel et Sofia Amara et produite par Magneto Presse avec la participation de France Télévisions.
Le 4 août 2020, la ville de Beyrouth est ravagée par l’explosion de centaines de tonnes de nitrate d’ammonium, entreposées dans le port. Ce carnage en plein centre-ville – plus de 200 morts, 6 500 blessés – provoque un traumatisme national. Le « Ground Zero » des Libanais. Tous les regards se tournent alors vers le Hezbollah, un mouvement islamiste inféodé à l’Iran, qui contrôle une grande partie du Liban, et en particulier la zone portuaire de Beyrouth. Malgré la pression de la rue et de la communauté internationale, le Hezbollah refuse toute enquête indépendante sur les causes de l’explosion. Une fois de plus, le « parti de Dieu » reste au-dessus des lois. Et, une nouvelle fois, l’enquête s’annonce impossible. Il en va ainsi au Liban : depuis près de quarante ans, le Hezbollah défie la justice et la communauté internationale.
Cette série raconte comment le Hezbollah, le « parti de Dieu », a patiemment construit au Liban un État dans l’État, le « Hezbollah-land », en jouant de ses multiples visages :
– redoutable organisation terroriste, il a multiplié les attentats sur tous les continents ;
– parti politique respectable, il envoie des députés au Parlement et ses ministres participent au gouvernement ;
– organisation religieuse et sociale populaire, il construit des hôpitaux et des écoles au service de la communauté chiite, longtemps opprimée ;
– milice privée plus puissante que l’armée libanaise, il envoie ses soldats combattre l’ennemi historique, Israël, et défendre le régime syrien de Bachar Al-Assad.
Depuis quarante ans, protégé par son parrain iranien, le Hezbollah bénéficie d’une extraordinaire impunité. Jusqu’à ce qu’une poignée de policiers de la D.E.A., l’agence de lutte anti-drogue américaine, n’enquête sur son financement occulte et ne révèle sa face la plus secrète : celle d’une organisation criminelle sans frontière, structurée comme une véritable mafia, financée en partie par le trafic de drogue international.
Pour la première fois, ces policiers américains racontent leur infiltration au cœur du Hezbollah. Et les plus hauts dirigeants du « parti de Dieu » acceptent d’ouvrir les portes à une caméra occidentale. Deux années d’enquête au Proche-Orient, aux États-Unis et en Europe, des dizaines d’heures d’interviews et des archives exclusives pour raconter l’histoire interdite du Hezbollah. Un pur thriller. « >
Le 4 août 2020, la ville de Beyrouth est ravagée par l’explosion de centaines de tonnes de nitrate d’ammonium, entreposées dans le port. Ce carnage en plein centre-ville – plus de 200 morts, 6 500 blessés – provoque un traumatisme national. Le « Ground Zero » des Libanais. Tous les regards se tournent alors vers le Hezbollah, un mouvement islamiste inféodé à l’Iran, qui contrôle une grande partie du Liban, et en particulier la zone portuaire de Beyrouth. Malgré la pression de la rue et de la communauté internationale, le Hezbollah refuse toute enquête indépendante sur les causes de l’explosion. Une fois de plus, le « parti de Dieu » reste au-dessus des lois. Et, une nouvelle fois, l’enquête s’annonce impossible. Il en va ainsi au Liban : depuis près de quarante ans, le Hezbollah défie la justice et la communauté internationale.
Cette série raconte comment le Hezbollah, le « parti de Dieu », a patiemment construit au Liban un État dans l’État, le « Hezbollah-land », en jouant de ses multiples visages :
– redoutable organisation terroriste, il a multiplié les attentats sur tous les continents ;
– parti politique respectable, il envoie des députés au Parlement et ses ministres participent au gouvernement ;
– organisation religieuse et sociale populaire, il construit des hôpitaux et des écoles au service de la communauté chiite, longtemps opprimée ;
– milice privée plus puissante que l’armée libanaise, il envoie ses soldats combattre l’ennemi historique, Israël, et défendre le régime syrien de Bachar Al-Assad.
Depuis quarante ans, protégé par son parrain iranien, le Hezbollah bénéficie d’une extraordinaire impunité. Jusqu’à ce qu’une poignée de policiers de la D.E.A., l’agence de lutte anti-drogue américaine, n’enquête sur son financement occulte et ne révèle sa face la plus secrète : celle d’une organisation criminelle sans frontière, structurée comme une véritable mafia, financée en partie par le trafic de drogue international.
Pour la première fois, ces policiers américains racontent leur infiltration au cœur du Hezbollah. Et les plus hauts dirigeants du « parti de Dieu » acceptent d’ouvrir les portes à une caméra occidentale. Deux années d’enquête au Proche-Orient, aux États-Unis et en Europe, des dizaines d’heures d’interviews et des archives exclusives pour raconter l’histoire interdite du Hezbollah. Un pur thriller.
Biographies des réalisateurs
À 58 ans, Jérôme Fritel est journaliste réalisateur, auteur de plusieurs documentaires primés. Son premier film, Goldman Sachs, la banque qui dirige le monde (Arte, 2012), a été coécrit avec Marc Roche. Il a reçu les Lauriers de la Radio et de la Télévision, le Prix spécial du jury au FIGRA, le Prix Tournesol au Festival du Film vert (Suisse) et a été nominé au Prix Europa à Berlin.
Il a également réalisé :
L’Embuscade (France 2, 2013), sélectionné pour le Prix Schoendoerffer,
Mittal, la face cachée de l’Empire (Arte, 2014),
Daech : naissance d’un État terroriste (Arte, 2015), qui a reçu les Lauriers de l’Audiovisuel dans la catégorie documentaire,
Les guerres cachées contre Daech (Arte, 2016),
Jeux vidéo, les nouveaux maîtres de la culture (Arte, 2016),
HSBC : les gangsters de la finance (Arte, 2017), coécrit avec Marc Roche, qui a été récompensé par le prix SCAM de l’investigation au FIGRA,
France-Iran, liaisons dangereuses (France 5, 2019),
Main basse sur l’eau (Arte, 2019), Prix du jury au Festival du Film vert (Suisse),
The World’s Most Wanted (Netflix, 2020), « show runner » de la collection de 5 documentaires diffusés dans 190 pays,
Génération Brut (Prime vidéo 2020), « show runner » de la collection de 5 documentaires, produite par le média « Brut ».
Auparavant, en tant que grand reporter, il a couvert pendant vingt-cinq ans la plupart des grands événements de l’actualité internationale, d’abord pour la presse écrite (VSD, L’Événement du Jeudi et France-Soir), puis, à partir de 2001, pour la télévision au sein de l’agence Capa TV. Il a travaillé pour l’émission Le Vrai Journal de Karl Zéro, sur Canal+, puis, à partir de 2008, il devient rédacteur en chef de l’émission L’Effet papillon, toujours sur Canal+.
Jérôme Fritel est l’auteur de Libertate Roumanie (Éditions Denoël, 1989), histoire de la Révolution roumaine.
Il a obtenu le Prix du scoop à Angers, en 1994, pour un reportage sur les séropositifs volontaires à Cuba, publié dans VSD.
Sofia Amara est journaliste, réalisatrice, auteure de plusieurs reportages et documentaires primés. En 2011, elle est considérée comme la première journaliste indépendante à avoir pu filmer la révolte syrienne et reçoit le Grand Prix Jean-Louis Calderon – Scoop de Lille pour Syrie, dans l’enfer de la répression (Arte).
Parmi ses autres réalisations remarquées :
Monde arabe, l’onde de choc (Canal+, 2011),
Les nouveaux révolutionnaires de la démocratie (Canal+, 2011),
Qatar : Conquérir le monde en 4 leçons (Canal+, 2013), avec Xavier Deleu et Marie-Laure Gendre,
Le renégat du Hezbollah, coréalisé avec Bruno Joucla (Festivals, 2014),
Les enfants soldats de Daech (Canal+, 2015),
Al-Baghdadi, sur les traces de l’homme le plus recherché du monde (M6, 2017), coréalisé avec Cyril Thomas,
Les enfants perdus du califat (France 2, 2018), Prix Amade du Festival de Télévision de Monte Carlo et Prix Média d’Enfance Majuscule,
Al-Baghdadi, les secrets d’une traque (France 2, 2019).
Sofia Amara a également couvert le conflit en Syrie pour Arte Reportage et France 24, dont elle est la correspondante à Beyrouth durant la guerre de Nahr al-Bared et la série d’assassinats politiques qui secoue le Liban dans les années 2010.
Diplômée de l’I.E.P. de Paris (Sciences Po – 1996), elle est également l’auteure de
Infiltrée dans l’enfer syrien, du Printemps de Damas à l’État islamique (Stock, 2014)
et Baghdadi, calife de la terreur (Stock, 2018).
Le fait de passer sur france 5 dimanche soir le premier reportage documenté sur le hezbollah(qui comporte plusieurs parties) n’est en rien anodin. france 5 est une chaine du service public.Il s’agit d’une preparation de l’opinion publique francaise à une action politique, diplomatique,peut-etre meme militaire?à l’intention du hezbollah pour soutenir un gouvernement libanais elu librement et debarrassé de son tuteur chiite,et,par là même, reprendre pied au liban?(je doute de l’option militaire bien que les alliés majeurs de la france dans la region la souhaite)aussi,par ce documentaire,l’iran est clairement nommé,…impensable en d’autres temps.Qu’attendre de la visite de Mr Netanyahu en france?Du bon, j’espere..sans trop y croire.LDJ,si vous voulez donner les details du documentaire sur france 5 Merci. Cordialement,joseph
Le dimanche 5 février à partir de 20h55, France 5 diffusera « Hezbollah, l’enquête interdite », une série documentaire de 3 épisodes de 52 minutes réalisée par Jérôme Fritel et Sofia Amara et produite par Magneto Presse avec la participation de France Télévisions.
Le 4 août 2020, la ville de Beyrouth est ravagée par l’explosion de centaines de tonnes de nitrate d’ammonium, entreposées dans le port. Ce carnage en plein centre-ville – plus de 200 morts, 6 500 blessés – provoque un traumatisme national. Le « Ground Zero » des Libanais. Tous les regards se tournent alors vers le Hezbollah, un mouvement islamiste inféodé à l’Iran, qui contrôle une grande partie du Liban, et en particulier la zone portuaire de Beyrouth. Malgré la pression de la rue et de la communauté internationale, le Hezbollah refuse toute enquête indépendante sur les causes de l’explosion. Une fois de plus, le « parti de Dieu » reste au-dessus des lois. Et, une nouvelle fois, l’enquête s’annonce impossible. Il en va ainsi au Liban : depuis près de quarante ans, le Hezbollah défie la justice et la communauté internationale.
Cette série raconte comment le Hezbollah, le « parti de Dieu », a patiemment construit au Liban un État dans l’État, le « Hezbollah-land », en jouant de ses multiples visages :
– redoutable organisation terroriste, il a multiplié les attentats sur tous les continents ;
– parti politique respectable, il envoie des députés au Parlement et ses ministres participent au gouvernement ;
– organisation religieuse et sociale populaire, il construit des hôpitaux et des écoles au service de la communauté chiite, longtemps opprimée ;
– milice privée plus puissante que l’armée libanaise, il envoie ses soldats combattre l’ennemi historique, Israël, et défendre le régime syrien de Bachar Al-Assad.
Depuis quarante ans, protégé par son parrain iranien, le Hezbollah bénéficie d’une extraordinaire impunité. Jusqu’à ce qu’une poignée de policiers de la D.E.A., l’agence de lutte anti-drogue américaine, n’enquête sur son financement occulte et ne révèle sa face la plus secrète : celle d’une organisation criminelle sans frontière, structurée comme une véritable mafia, financée en partie par le trafic de drogue international.
Pour la première fois, ces policiers américains racontent leur infiltration au cœur du Hezbollah. Et les plus hauts dirigeants du « parti de Dieu » acceptent d’ouvrir les portes à une caméra occidentale. Deux années d’enquête au Proche-Orient, aux États-Unis et en Europe, des dizaines d’heures d’interviews et des archives exclusives pour raconter l’histoire interdite du Hezbollah. Un pur thriller.
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Le 4 août 2020, la ville de Beyrouth est ravagée par l’explosion de centaines de tonnes de nitrate d’ammonium, entreposées dans le port. Ce carnage en plein centre-ville – plus de 200 morts, 6 500 blessés – provoque un traumatisme national. Le « Ground Zero » des Libanais. Tous les regards se tournent alors vers le Hezbollah, un mouvement islamiste inféodé à l’Iran, qui contrôle une grande partie du Liban, et en particulier la zone portuaire de Beyrouth. Malgré la pression de la rue et de la communauté internationale, le Hezbollah refuse toute enquête indépendante sur les causes de l’explosion. Une fois de plus, le « parti de Dieu » reste au-dessus des lois. Et, une nouvelle fois, l’enquête s’annonce impossible. Il en va ainsi au Liban : depuis près de quarante ans, le Hezbollah défie la justice et la communauté internationale.
Cette série raconte comment le Hezbollah, le « parti de Dieu », a patiemment construit au Liban un État dans l’État, le « Hezbollah-land », en jouant de ses multiples visages :
– redoutable organisation terroriste, il a multiplié les attentats sur tous les continents ;
– parti politique respectable, il envoie des députés au Parlement et ses ministres participent au gouvernement ;
– organisation religieuse et sociale populaire, il construit des hôpitaux et des écoles au service de la communauté chiite, longtemps opprimée ;
– milice privée plus puissante que l’armée libanaise, il envoie ses soldats combattre l’ennemi historique, Israël, et défendre le régime syrien de Bachar Al-Assad.
Depuis quarante ans, protégé par son parrain iranien, le Hezbollah bénéficie d’une extraordinaire impunité. Jusqu’à ce qu’une poignée de policiers de la D.E.A., l’agence de lutte anti-drogue américaine, n’enquête sur son financement occulte et ne révèle sa face la plus secrète : celle d’une organisation criminelle sans frontière, structurée comme une véritable mafia, financée en partie par le trafic de drogue international.
Pour la première fois, ces policiers américains racontent leur infiltration au cœur du Hezbollah. Et les plus hauts dirigeants du « parti de Dieu » acceptent d’ouvrir les portes à une caméra occidentale. Deux années d’enquête au Proche-Orient, aux États-Unis et en Europe, des dizaines d’heures d’interviews et des archives exclusives pour raconter l’histoire interdite du Hezbollah. Un pur thriller.
Biographies des réalisateurs
À 58 ans, Jérôme Fritel est journaliste réalisateur, auteur de plusieurs documentaires primés. Son premier film, Goldman Sachs, la banque qui dirige le monde (Arte, 2012), a été coécrit avec Marc Roche. Il a reçu les Lauriers de la Radio et de la Télévision, le Prix spécial du jury au FIGRA, le Prix Tournesol au Festival du Film vert (Suisse) et a été nominé au Prix Europa à Berlin.
Il a également réalisé :
L’Embuscade (France 2, 2013), sélectionné pour le Prix Schoendoerffer,
Mittal, la face cachée de l’Empire (Arte, 2014),
Daech : naissance d’un État terroriste (Arte, 2015), qui a reçu les Lauriers de l’Audiovisuel dans la catégorie documentaire,
Les guerres cachées contre Daech (Arte, 2016),
Jeux vidéo, les nouveaux maîtres de la culture (Arte, 2016),
HSBC : les gangsters de la finance (Arte, 2017), coécrit avec Marc Roche, qui a été récompensé par le prix SCAM de l’investigation au FIGRA,
France-Iran, liaisons dangereuses (France 5, 2019),
Main basse sur l’eau (Arte, 2019), Prix du jury au Festival du Film vert (Suisse),
The World’s Most Wanted (Netflix, 2020), « show runner » de la collection de 5 documentaires diffusés dans 190 pays,
Génération Brut (Prime vidéo 2020), « show runner » de la collection de 5 documentaires, produite par le média « Brut ».
Auparavant, en tant que grand reporter, il a couvert pendant vingt-cinq ans la plupart des grands événements de l’actualité internationale, d’abord pour la presse écrite (VSD, L’Événement du Jeudi et France-Soir), puis, à partir de 2001, pour la télévision au sein de l’agence Capa TV. Il a travaillé pour l’émission Le Vrai Journal de Karl Zéro, sur Canal+, puis, à partir de 2008, il devient rédacteur en chef de l’émission L’Effet papillon, toujours sur Canal+.
Jérôme Fritel est l’auteur de Libertate Roumanie (Éditions Denoël, 1989), histoire de la Révolution roumaine.
Il a obtenu le Prix du scoop à Angers, en 1994, pour un reportage sur les séropositifs volontaires à Cuba, publié dans VSD.
Sofia Amara est journaliste, réalisatrice, auteure de plusieurs reportages et documentaires primés. En 2011, elle est considérée comme la première journaliste indépendante à avoir pu filmer la révolte syrienne et reçoit le Grand Prix Jean-Louis Calderon – Scoop de Lille pour Syrie, dans l’enfer de la répression (Arte).
Parmi ses autres réalisations remarquées :
Monde arabe, l’onde de choc (Canal+, 2011),
Les nouveaux révolutionnaires de la démocratie (Canal+, 2011),
Qatar : Conquérir le monde en 4 leçons (Canal+, 2013), avec Xavier Deleu et Marie-Laure Gendre,
Le renégat du Hezbollah, coréalisé avec Bruno Joucla (Festivals, 2014),
Les enfants soldats de Daech (Canal+, 2015),
Al-Baghdadi, sur les traces de l’homme le plus recherché du monde (M6, 2017), coréalisé avec Cyril Thomas,
Les enfants perdus du califat (France 2, 2018), Prix Amade du Festival de Télévision de Monte Carlo et Prix Média d’Enfance Majuscule,
Al-Baghdadi, les secrets d’une traque (France 2, 2019).
Sofia Amara a également couvert le conflit en Syrie pour Arte Reportage et France 24, dont elle est la correspondante à Beyrouth durant la guerre de Nahr al-Bared et la série d’assassinats politiques qui secoue le Liban dans les années 2010.
Diplômée de l’I.E.P. de Paris (Sciences Po – 1996), elle est également l’auteure de
Infiltrée dans l’enfer syrien, du Printemps de Damas à l’État islamique (Stock, 2014)
et Baghdadi, calife de la terreur (Stock, 2018).