TERRORISME ARABE : ASSEZ !
de Jacques KUPFER.
Encore une héroïque soldate de Tsahal tuée par ces barbares arabes. Encore des centaines de blessés par des bêtes assoiffées de sang et armés de couteaux, d’armes de poing et de bombes incendiaires. Chaque perte semble se superposer à nos victimes précédentes.
Une image se rajoute à toutes les autres, celle de la jeune Hadar Cohen et de la mère de six enfants d’Othniel, et celle des tués par balles dans leur voiture et celle de ces trente dernières victimes des meurtriers arabes et celle du bébé écrasé par une voiture bélier et celle…
Il est temps d’en finir une fois pour toute.
Le terrorisme arabe n’est pas né avec « les territoires occupés » comme le prétendent les gauchistes et les antisémites occidentaux. Il a plus d’un siècle de crimes à son actif et il est inscrit dans l’ADN de cette population que l’on désigne sous le nom de « palestiniens ».
Le peuple « palestinien » est une invention récente sans aucun fondement historique sauf dans l’esprit embrumé des diplomates suédois et de ces politiques français aux ordres du Qatar et courbant l’échine devant un ayatollah iranien.
Ces pseudo- palestiniens vivant aux crochets du monde « libre » depuis sept décennies n’ont amené que terrorisme, meurtres, détournements d’avions et calamités. Comment ose-t-on appeler « peuple » ces individus qui lancent leur voiture contre un landau, qui tuent à la hache de vieux Juifs en prière dans une synagogue, qui poignardent une femme devant ses enfants, qui plantent leurs couteaux dans une femme enceinte, qui tirent sur une voiture pour tuer, qui lancent des rocs contre des automobiles en mouvement, qui apprennent la haine à leurs enfants, qui sont fiers de leur progéniture qui assassine, qui la fête et lui consacre des noms de rue dans leurs villes.
Les « palestiniens » ne sont pas un peuple mais une malédiction.
Il faut mettre un terme à la calamité du terrorisme arabe. La première mesure à prendre est d’annexer officiellement la Judée et la Samarie. Retirer tout vain espoir à ces arabes d’avoir un jour une parcelle de la terre d’Israël pour y ériger un nouvel état islamique terroriste. En finir avec la notion de « palestine » qui n’existe que dans les esprits des Fabius, Guigou et compagnie.
Il est indispensable de supprimer l’arabe comme langue officielle et ne laisser que l’hébreu.
Enfin, il faut parler aux arabes un langage qu’ils comprendront sans la moindre fausse interprétation et sans traduction.
Le négationniste Mahmoud Abas invite dans sa Moukata de Ramallah les familles des terroristes, la télévision arabe dans ses émissions glorifie ses « martyrs » et les maudits députés arabes de la Knesseth vont rendre visite aux familles des assassins. Nous continuons à vanter les bienfaits d’une démocrate qui ressemble à une faiblesse structurelle. Nous transmettons à ces arabes les corps des terroristes pour leur permettre d’exprimer leur joie d’ensevelir ceux qui sont accueillis avec les vierges que leur promet l’islam.
Parler de civilisation, de vie commune, d’un destin commun, de justice et de droit est un langage hébreu qu’ils ne comprennent pas.
Permettre à un arabe de se baisser pour ramasser une pierre sans l’abattre, signifie que la bataille est déjà perdue. Car il lancera cette pierre pour tuer des juifs, puis passera au couteau et à la voiture bélier, puis aux bouteilles incendiaires et aux armes automatiques.
La riposte en cas d’agression terroriste doit être exemplaire et dissuasive, compréhensible pour la population des squatters arabes en Terre d’Israël.
Le prix d’un Juif tué ou agressé a été fixé par nos ennemis eux-mêmes. Contre des dépouilles de nos soldats, nous avons payé en libérant des centaines de criminels arabes. Pour un otage, nous avons malheureusement libéré un millier de criminels arabes et d’assassins en devenir.
La gauche a instillé dans nos esprits la notion de « loup solitaire » alors qu’en réalité chaque assassin appartient à une meute. C’est donc toute la meute qui doit payer le prix du sang juif versé et c’est tout l’environnement du terroriste qui doit subir les conséquences. La notion de punition collective est injuste lorsqu’elle concerne des populations totalement innocentes. Mais en fait, les funérailles de ces terroristes sont suivies par des foules hystériques, leur tente de condoléances reçoit les visiteurs et leurs voisins. Les meurtres de Juifs sont chantés par la population arabe locale et les confiseries distribuées pour fêter l’événement.
Détruire la maison du terroriste ne suffit pas et c’est toute la meute qu’il faut atteindre. Ce sont toutes les maisons voisines qu’il faut raser et laisser un champ de ruines autour de l’adresse de l’assassin et en expulser ses habitants.
Ce serait donc une punition que nos beaux esprits humanistes ne sauraient tolérer. Et pourtant ce serait la seule façon d’être certain que chaque terroriste serait surveillé et empêché d’agir par ses voisins.
Si les arabes d’Israël expulsés ne savent pas où se rendre, il leur restera toujours Saint Denis ou Calais ou Molenbeek.
Il est évident que les réactions internationales seraient vives. La France pourrait même aller jusqu’à reconnaitre la « Palestine » et ce fils de converti Fabius pourrait même poisser l’Europe à étiqueter les produits originaires d’Israël ! Un grand coup de tampon « juif » s’impose et en seconde étape « N’achetez pas chez les juifs ».
Apres avoir cité toutes les villes du monde où a frappé le terrorisme musulman, Hollande a simplement omis les villes israéliennes. Quand on invite le jour commémoratif de la Shoah un Rouhani porteur du message de destruction du peuple juif, quand la vente de quelques avions et voitures pèse plus lourd que le sort du peuple juif, le droit des femmes, la lutte contre la peine de mort et les régimes démocratiques, que peut-on encore attendre de la France ?
L’Union Européenne, et principalement la France, place des constructions et caravanes illégales pour aider les arabes à établir une continuité territoriale en direction de nos villes juives. Elle finance abondamment les organisations de traitres israéliens et leurs associations.
Ban Ki Moon estime qu’il faut comprendre la réaction de ces pauvres « occupés » et la frustration arabe.
Si jamais Jésus leur apparaissait à Bethlehem, ils s’empresseraient de condamner ce colon juif dans des « territoires occupés » !
Quant à Hussein Obama qui vient de déclarer dans une mosquée de Baltimore que les « musulmans assurent la sécurité des Etats Unis », que pourrait-il ajouter à son palmarès anti-israélien ?
Sincèrement je préfère entendre les condamnations et les hurlements de tous ces antisémites mus par la jalousie, le regret du travail inachevé lors de la seconde guerre mondiale ou la haine maladive de soi plutôt que les pleurs d’une mère juive ou d‘un orphelin juif sur sa terre.
Jacques KUPFER
la palestine na jamais existė..et ne verrat jamais le jours bhm..
Létat palestinien a tout intérêt à vivre au crochet des pays civilisés; les subventions de l’UE et de USA coulent à flot, et la zizanie avec Israel stabilise les régime qui sans cela ne tiendrait pas une heure!
Mais la réciproque est elle vraie?Si vous pensez non, alors… Ne soutenons pas les dirigeants « modérés, compréhensifs, négociateurs ». Ce sont des traîtres, et ils ont du sang juif sur les mains, bien que ce soient des brutes palestiniennes qui ont tenu les couteaux!
je regrette beaucoup que Jacques ne soit pas à la place de Netanyahu
pour mettre en application tout ce qu’il dit dans ses articles !!
Bravo Jacques que j’admire depuis les années Bétar ! Tel Haï
le likoud le herout doit avoir un homme comme mr jacque au pouvoir…un stadique..un mench!!!
Très bien dit.
Il a tout dit. Il a tout résumé quand il parle de malédiction comme jadis en Egypte du temps de Moïse… L’histoire se répète inlassablement…
Mr Kupfer vous parlez d’or ! Que dire de plus….. et je suis sûre qu’il y en a plus d’un qui voudrait vous voir faire partie du gouvernement. Voilà qui serait des plus bénéfique, il me semble .
Je crois qu’actuellement, peu d’hommes politiques ont cette fermeté, cette claire voyance et ce courage d’aller jusqu’au bout de vos idées.
Et vous avez raison, oh combien ! il arrive un moment où la coupe est pleine et l’on ne peut pas, ne pas agir pour changer les choses .