Seine-Saint-Denis : armé d’un sabre et d’un fusil, il fonce sur des fêtards en criant Allah akbar
Un homme âgé de 32 ans a été interpellé dimanche matin au Blanc-Mesnil. Il a été neutralisé par un automobiliste qui l’a volontairement percuté pour le neutraliser alors qu’il fonçait, armé, sur un groupe de fêtards en hurlant allah akbar.
Par Florian Loisy
Habillé en treillis, comme un militaire. Et armé comme tel. Hurlant Allah akbar. Un homme de 32 ans a surgi des taillis où il était caché, près d’une salle de réception au Blanc-Mesnil (Seine-Saint-Denis), ce dimanche vers 7 heures alors que des convives sortaient justement de soirée. Un des fêtards a eu le réflexe de protéger ses « amis » en le percutant en voiture pour le neutraliser. Ses acolytes ont immédiatement sauté sur l’individu pour le désarmer et l’ont frappé.
Le fusil était approvisionné en munitions
Celui-ci, ivre et sonné par le choc avec la voiture, mais pas blessé, n’a opposé aucune résistance. Il avait sur lui « un sabre et un fusil semi-automatique », confirme-t-on au parquet de Bobigny.
Le fusil était approvisionné en munitions. Lors de la perquisition à Villemomble, au domicile du mis en cause, deux autres fusils ont été retrouvés. Il a été placé en garde à vue pour violences volontaires avec arme, menaces avec arme, détention, port et transport d’arme. Mais l’affaire n’a pas été transmise au parquet anti-terroriste. « Il a certes crié Allah akbar, mais n’a aucun antécédent judiciaire inquiétant et on n’a rien trouvé d’autre pour l’instant pouvant laisser penser à une radicalisation », reprend-on au parquet de Bobigny.
Au moment de son interpellation par la police, l’agresseur présentait un taux d’alcoolémie proche d’1g par litre d’air expiré. L’affaire a été confiée à la police judiciaire.
« On a cru qu’on allait mourir »
« On reste sur une affaire de droit commun car on se trouve face à quelqu’un de perturbé sur fond de très forte alcoolisation, confirme une source proche de l’enquête. Mais il n’en restait pas moins dangereux. Car une cartouche était chambrée dans son fusil semi-automatique. »
Cet homme s’était déjà manifesté à deux reprises au cours de la soirée. Lorsqu’un premier groupe de convive avait quitté la salle de réception de l’hôtel Ibis durant la nuit, il avait menacé l’un d’eux avec un sabre. Avant de récidiver vers 6 heures, lorsqu’un autre fêtard avait aussi décidé de rentrer chez lui.
Désormais les enquêteurs travaillent avec les services de renseignements pour tenter de cerner un peu mieux l’individu. Un examen psychiatrique est aussi prévu dans les prochaines heures.
Source :
https://www.leparisien.fr/faits-divers/seine-saint-denis-arme-d-un-sabre-et-d-un-fusil-il-fonce-sur-des-fetards-en-criant-allah-akbar-20-07-2020-8355579.php
Surtout pas d’amalgame intempestif avec l’islamisme : c’est sûrement un pôvre déséquilibré…
c’est pas grave !!!!! faut bien que jeunesse se passe , ils tuent juste pour rigoler , (vivement le retour de la peine capitale pour les racailles) et vivement le retour de la veuve , la guillotine ou encore la planche a bascule pour cette sale race de crapules !!!!.
Pas d’accord avec la guillotine : en plus il faudrait nettoyer le sang et enterrer le corps ! l’emmener en pleine mer et après l’avoir laissé faire une dernière prière à Allah (nous sommes humains, nous), par dessus bord, les poissons feront le reste ! Je sais, les écolos vont hurler à la pollution, comme d’hab, mais on s’en fout !
merci !!! C-D-T .
Un sacré soulard en tous cas. c’est fou comme les adorateurs d’allah se mettent aussi à aimer la bouteille;
Je pense que sa peine sera sévère, car être sous l’emprise de l’alcool ou des stupéfiants aggrave la peine encourue .
Pas terroriste? mais habillé en treillis et criant allah akbar, il se croyait en Syrie sans doute .
En tous cas bonne réaction de celui qui l’a percuté , mais surtout de la réaction de ses amis qui lui ont administré une bonne correction , on aimerait voir cela plus souvent , il faut réagir et qu’ils sachent qu’ils ne peuvent plus se permettre de blesser ou assassiner les gens sans aucune réaction.