Reims : un musulman algérien interpellé pour apologie du terrorisme dans une boulangerie
Le jeudi 12 décembre à 19h15, à Reims, un individu a été aperçu utilisant un engin pyrotechnique contre la devanture d’une boulangerie. L’individu alcoolisé a été interpellé.
Jeudi 12 décembre à 19h15, à Reims, un individu a été aperçu utilisant un engin pyrotechnique contre la devanture d’une boulangerie, a appris Valeurs actuelles de source policière. Il est ensuite entré dans le commerce et a lancé d’autres engins pyrotechniques en direction des personnes présentes. Au cours de son action, il a tenu des propos terroristes, menaçant de revenir armé d’un fusil d’assaut pour tuer tout le monde, en se référant au conflit israélien.
À 19h35, l’homme, âgé de trente-huit ans, de nationalité algérienne, inscrit au fichier TAJ (traitement des antécédents judiciaires) mais inconnu des registres du RT (renseignement territorial), a été interpellé sans incident. En état d’ébriété, il a été placé en garde à vue, avec une notification différée de ses droits.
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C’est à 19h15, qu’un homme de 38 ans a été aperçu en train d’attaquer la devanture d’une boulangerie à Reims avec un engin pyrotechnique. Il a ensuite pénétré dans le commerce et lancé d’autres engins similaires vers les personnes présentes. Selon des témoins, il aurait tenu des propos à caractère terroriste, menaçant de revenir armé d’un fusil d’assaut pour tuer. Ces propos faisaient référence au conflit israélien.
Malgré la tension, l’individu, en état d’ébriété avancée, a été interpellé sans incident à 19h35. Originaire d’Algérie, il était inscrit au fichier des antécédents judiciaires (TAJ), mais n’était pas surveillé par les services de renseignement territorial. D’après les informations de Valeurs Actuelles, il a été placé en garde à vue avec une notification différée de ses droits.
LFI et la controverse sur l’apologie du terrorisme
Ce drame intervient peu après que, le 19 novembre, Ugo Bernalicis, député de La France insoumise, a déposé une proposition de loi visant à supprimer le délit d’apologie du terrorisme, introduit en 2014. Selon lui, cette législation menace la liberté d’expression et serait utilisée de manière abusive pour sanctionner des opinions critiques, notamment depuis les attaques du 7 octobre.
Une circulaire émise par le ministre de la Justice, Éric Dupond-Moretti, après ces événements, a appelé à une répression renforcée de tout discours perçu comme favorable aux actions du Hamas ou du Djihad islamique. Cette ligne dure a entraîné une augmentation notable des poursuites : au 30 janvier 2024, 626 procédures pour apologie du terrorisme étaient ouvertes, contre 278 l’année précédente.
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https://www.frontieresmedia.fr/
DEHORS ! Retour au gourbi.
Le COVID n’est rien à côté du virus intégriste .
Un vaccin , parmi d’autres , qui pourrait leur convenir c’est le 11.43 …..