« Quand l’extrême droite résistait, 1939-1945

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Pendant ce temps, à Vichy, le Commandant Georges Laustaunau-Lacau et sa secrétaire Marie-Madeleine Fourcade soutiennent la Révolution Nationale du Maréchal Pétain mais préparent en secret la revanche.
En zone Occupée, une organisation clandestine voit le jour sous l’impulsion d’hommes issus de diverses mouvances d’extrême-droite : l’OCM (Organisation Civile et Militaire).
L’extrême-droite, présente en force dans ces premières heures de la Résistance, joue aussi un rôle à Alger où un groupe de comploteurs aide les anglo-américains à débarquer en 1942. Mais également au sein du plus gros mouvement de Résistance, Combat, dans lequel les monarchistes Pierre de Bénouville et Jacques Renouvin assument d’importantes fonctions.
Finalement, à la Libération, l’expérience de la guerre a fait évoluer idéologiquement et politiquement nombre de ces hommes, délaissant notamment leur antisémitisme de jeunesse.

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3 Commentaires

  1. David92 dit :

    Les étiquettes ne valaient plus rien dire ….chaque homme se trouvait face à son destin .
    Seuls les communistes étaient à la remorque des Russes depuis depuis la signature du pacte germano soviétique et ont commence à entrer en résistance après l’opération  » Barbarossa  » .
    Après guerre ils sont devenus  » plus blanc que blanc  » en effaçant les périodes sombres en intellectuellesant sa résistance …..Aragon et d’autres ont été aussi à la manoeuvre .
    La paix rétablie ils ont repris les  » bonnes relations  » avec l’URSS dans l’échiquier politique avec la complicité de la CGT .
    On connaît la suite .

  2. David92 dit :

    Correction…

    « Chaque homme et femme  » .

    Scusi.

  3. David92 dit :

    « intellectualisant  »

    Scusi

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