PYERENEES ORIENTALES :Une rue d’Argelès-sur-Mer porte en 2024 encore le nom d’un catalaniste « vichyste et antisémite »
Sur proposition de Charles Campigna, condeiller municipal, le maire d’Argelès-sur-mer, Antoine Parra, s’obstine encore et encore en refusant de débaptiser la rue de l’antisémite Alfons Miàs…
-“Lors du dernier conseil municipal, j’ai proposé de débaptiser la rue d’Argelès-sur-mer qui porte le nom d’un antisémite reconnu, Alfons Miàs, proposition refusé par le maire d’Argelès-sur-mer et sa majorité.
Adhérent de l’Action Française pendant la seconde guerre mondiale, il se compromet avec le régime de Vichy et sympathise avec les Allemands.
Les actions des résistants sont pour Alfons Miàs, “des actions terroristes, avec une haine féroce pour les communistes”.
Il dénonce des personnes en possession de fausses cartes d’identité, des juifs, des résistants qui seront ensuite déportés dans des camps de concentration.
Je suis choqué par les propos tenus par le maire d’Argelès Antoine Parra (Divers Gauche/ DvG)) « cela ne changera pas l’histoire » ou « je reconnais que c’est gênant » ou encore « Est ce suffisant choquant pour débaptiser cette rue » et le silence des élus de sa majorité lors de cette séance est encore plus lamentable.
Les noms des rues doivent être le symbole et la fierté des citoyens, pas la honte.
Par respect, pour l’honneur de tous les résistants, anciens combattants, pour nos convictions de liberté et de la France, les élus d’Argelès-sur-mer doivent prendre leurs responsabilités et retirer la plaque de cet antisémite.
Il est temps que ses élus d’Argelès-sur-mer se réveillent et votent avec leurs convictions républicaines pour garantir la liberté de nos enfants et petits-enfants”.
Charles Campigna, conseiller municipal d’opposition d’Argelès-sur-mer.
Pas étonné, Argeles sur mer et les contrées environnantes sont en phase avancée d’islamisation. Le Maire s’adapte à ses nouveaux électeurs.
C´est un peu á l´image de la France aujourd´hui me semble t-il?
🙏✝✡💪👍
Il y a l’inverse aussi, et dans le genre, certain décrochent la timbale de l’ignominie. Exemple: dans la 3e circo du Cher, un petit maire véreux qui fait les quatre volontés d’un vieux bigot catho a débaptisé en 2017 la place Leclerc qui existait depuis 1945 (et qui depuis n’a plus de nom) pour faire plaisir à son maître. Alors on fouille, et on découvre que le catho en question, Jérôme Dunod, grand bourgeois parisien, est le petit-fils du collabo Henri Dunod, et qu’il a fondé dans ce patelin minable un « Cercle Auvity », du nom du prélat nazi de la Lozère qui a interdit dans son diocèse la diffusion de la « lettre sur le devoir d’humanité envers les Juifs » et qui a été chassé de Mende à la Libération! Le cas a été signalé à tous les niveaux administratifs: zéro réaction. A part ça, la France n’est pas antisémite, non, non. A VOMIR.