Plus con tu meures : Les Palestiniens exigent l’arme ayant tué la journaliste Shireen Abu Akleh
À l’occasion d’une cérémonie, l’Autorité palestinienne a demandé, dimanche, à Israël de lui remettre la carabine utilisée pour abattre, en mai, la reporter d’Al Jazeera, Shireen Abu Akleh.
Ce dimanche, des responsables palestiniens ont multiplié les hommages pour marquer le 40e jour de deuil depuis le décès, le 11 mai dernier, de Shireen Abu Akleh, la journaliste de la chaîne de télévision Al Jazeera tuée par balle dans le camp palestinien de Jénine, bastion des factions armées palestiniennes, lors d’une opération musclée de soldats israéliens.
L’Autorité palestinienne, Al Jazeera et le Qatar, pays finançant cette chaîne panarabe, ont accusé l’armée israélienne d’avoir tué la journaliste, tandis que le procureur palestinien a conclu qu’elle avait été la cible d’un tir d’un soldat israélien utilisant un Ruger Mini-14, une arme semi-automatique.
Ces dernières semaines, des enquêtes journalistiques ont aussi pointé en direction de l’armée. Jeudi, Al Jazeera a diffusé une photo de la balle ayant tué sa journaliste vedette et interrogé des experts expliquant que ce type de balle était utilisé par Israël.
Après avoir affirmé que la journaliste américano-palestinienne, qui portait un gilet pare-balles avec l’inscription «presse» et un casque, avait «probablement» succombé à un tir palestinien, Israël a dit ne pas écarter qu’il puisse s’agir d’un tir provenant des soldats israéliens.
L’État hébreu a demandé à l’Autorité palestinienne de lui remettre la balle fatale à la journaliste. «Nous avons refusé de leur remettre la balle et nous exigeons même qu’ils remettent l’arme qui a assassiné Shireen Abu Akleh», a déclaré, dimanche, le Premier ministre palestinien, Mohammed Shtayyeh, lors d’une cérémonie en l’honneur de la journaliste à Ramallah, siège de l’Autorité palestinienne.
La question «n’est plus celle de l’identité du tueur», a indiqué de son côté Walid Al-Omari, directeur d’Al Jazeera dans les Territoires palestiniens, accusant ainsi l’armée israélienne d’avoir tué la journaliste. «Nous ne demandons que justice pour Shireen», a renchéri Anton Abu Akleh, le frère de la journaliste, à l’occasion de cette cérémonie qui a réuni des centaines de personnes au Centre culturel de Ramallah, où ont aussi été exposées des photos de la reporter d’obédience chrétienne.
Samedi, des dizaines de proches se sont réunis dans une église de Jérusalem-Est pour célébrer la «messe de quarantaine».
SOURCE
happywheelsPlus con tu meures : Les Palestiniens exigent l’arme ayant tué la journaliste Shireen Abu Akleh
Palestiniens =colons islamistes= idiots et profiteurs assassins
Ils ne sont pas cons, ce sont de tres bons communicants, capables d’inverser les rôles des victimes et assassins, de voler une terre qui n’est pas leur, de mettre tous les bien-pensants de leur côté, de récolter des fonds injustifiés, de diaboliser et delégitimer l’état Juif, de le faire condamner partout et par tous… Paliwood!