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Paris : la tombe de l’écrivain français nazi homosexuel Robert Brasillach dégradée
Des dégradations ont été commises sur la tombe de Robert Brasillach (1909 – 1945) au cimetière de Charonne, dans le 20e à Paris
Des dégradations ont été commises sur la tombe de Robert Brasillach (1909 – 1945) au cimetière de Charonne, dans le 20e à Paris
Des dégradations ont été commises sur la tombe de l’écrivain d’extrême droite Robert Brasillach au cimetière Charonne dans le XXe arrondissement de Paris. L’acte de vandalisme a été perpétré alors qu’un recueillement est prévu sur sa tombe jusqu’à dimanche pour la commémoration de sa mort.
Selon nos informations, les policiers ont été appelés par le cimetière pour un tag à la peinture noire réalisé sur la stèle durant la nuit dernière. La direction du cimetière a renforcé la sécurité autour de la sépulture et les ayants droit ont été prévenus. Le cimetière de Charonne est la propriété de la Ville qui voit d’un très mauvais œil ces rassemblements fascistes.
Cette après-midi, un dispositif de forces de l’ordre important est prévu dans le secteur. Les autorités craignent des affrontements entre militants de l’ultra gauche et de l’ultra droite. Une manifestation anti fasciste est en effet prévue dans l’arrondissement entre la Place de la Réunion et place de la Nation. Les manifestants doivent emprunter la rue de la Réunion et la rue d’Avron.
Bâtons, couteaux, drapeau identitaire et bombe de peinture
Comme à chaque date anniversaire de sa mort, des militants – majoritairement jeunes, parfois cagoulés et habillés de noir, en grande partie connus des services de police – viennent se « recueillir » sur la tombe de l’écrivain au grand dam des autorités, des associations de déportés et d’anciens combattants. L‘écrivain français, rédacteur en chef du journal antisémite « Je suis partout », propagandiste de l’idéologie nazie, avait été condamné à mort pour collaboration et exécuté le 6 février 1945.
En 2023, les fonctionnaires de la sous-direction des services spécialisés (SDSS) et les agents du XXe, accompagnés d’une unité cynophile, avaient débarqué avec des chiens et procédé à 51 contrôles d’identité. Cinq d’entre eux étaient fichés « S ». L’un des suspects, en possession d’une arme blanche, avait été placé en garde à vue et convoqué par la justice pour une ordonnance pénale.
Les policiers avaient retrouvé dans les buissons du cimetière des bâtons, couteaux, drapeau identitaire et bombe de peinture. Sur Twitter, le GUD, organisation étudiante française d’extrême droite dans le collimateur de la justice, avait revendiqué la « cérémonie » avec une photo de ses militants, floutés, fanfaronnant devant la tombe fleurie de Brasillach.
Dans l’après-midi de samedi, 39 individus proches de la mouvance d’ultradroite ont été interpellés pour « participation à un groupement en vue de commettre des violences ou des dégradations », selon les informations de franceinfo. Tous ont été placés en garde à vue.
Ces interpellations ont eu lieu à la sortie du cimetière de Charonne, dans le 20e arrondissement de Paris. La quarantaine d’individus venait alors de rendre hommage à l’écrivain Robert Brasillach, condamné à mort pour collaboration et exécuté à la Libération, le 6 février 1945. Certains de ces militants étaient fichés S ou avaient pour interdiction de se rendre à Paris.
Parmi ces personnes figurent certaines personnalités connues de l’ultradroite, dont Marc de Cacqueray-Valmenier, l’ancien chef des Zouaves Paris, un groupuscule dissous en Conseil des ministres en janvier dernier. Âgé de 24 ans, le jeune homme est actuellement mis en examen et placé sous contrôle judiciaire dans l’affaire de l’agression de militants de SOS Racisme lors d’un meeting d’Éric Zemmour, en décembre 2021.
Ces interpellations surviennent quelques jours après l’arrestation de sept membres présumés de l’ultradroite lyonnaise, après l’attaque d’un local associatif de la capitale des Gaules, où se déroulait une conférence sur Gaza. Cinq d’entre eux ont été remis en liberté sous contrôle judiciaire tandis que deux autres ont été placés en détention, rapporte Le Figaro.
25 septembre 1942, Brasillach : « Il faut se séparer des Juifs en bloc et ne pas garder de petits. » On ne va pas chialer non plus : c’est bien beau qu’il ait une tombe.
Voici une de ses prises qui exprime son « génie »..
Que des Juifs de Varsovie, de Cracovie, de Kiew, etc. soient ramenés au ghetto natal, que cette racaille pouilleuse, que ces parasites, que cette clique étrangère, dont les vols, escroqueries, provocations et assassinats n’ont pas l’excuse d’un patriotisme exaspéré, oui, que ces Juifs, rebut de l’Europe, soient mis hors d’état de nuire à la France, les sacristies s’émeuvent, les chaires retentissent de lamentations .»
Correction:
» voici une de ses proses »..
Scusi .
Quant à sa « tombe dégradée » faut il voir la visite d’un de ses amants rancunier ? »
Car nous le savons le travers sexuel de ces antisémites qui n’ont pas hésité à coucher avec l’ennemi .
Brasillach ne faisait pas exception……De Gaulle pour faire plaisir aux communistes l’a abandonné au peloton d’exécution du fort de Montrouge où fut exécuté aussi Laval .