Paris : de nombreux tags antisémites retrouvés sur des façades de magasins
C’est une étoile de David sur le rideau baissé d’une fromagerie et sur celui d’un vendeur de vélos, « Je suis raciste » inscrit sur une armoire électrique… L’Union des étudiants juifs de France (UEJF) a dénoncé, ce lundi, la réalisation de plusieurs tags antisémites dans la nuit sur la façade de plusieurs commerces du IXe arrondissement de Paris.
« Tout le quartier est recouvert d’étoiles de David, du mot Jude ou encore de l’expression Je suis raciste tagués en grandes lettres blanches », a dénoncé l’UEJF sur Twitter. « La présence juive historique dans le quartier ainsi que la proximité de nombreuses synagogues et institutions juives font de ces tags un véritable enjeu sécuritaire », continue l’organisation.
« Ça arrive de voir des tags antisémites de la sorte, et d’habitude on ne tweete pas, mais c’est très rare de voir à une telle ampleur », explique auprès du Parisien Samuel Lejoyeux, président de l’UEJF. Lui-même en a dénombré « au moins une dizaine » dans rue des Martyrs et dans le quartier, sans « logique particulière ». Ce n’est pour lui rien d’anodin alors que l’arrondissement est « le quartier juif historique » de la capitale et que doit avoir lieu vendredi « la cérémonie de libération des camps » de concentration.
Une plainte a été déposée auprès des autorités. « Nous avons fait intervenir les services de la propreté pour les retirer ce matin », a relevé sur Twitter Jean-Baptiste Gardes, adjoint de l’arrondissement, en charge de la propreté. « Ces tags antisémites sont une honte absolue », a réagi de son côté l’adjointe socialiste à la mairie de Paris Lamia El Aaraje. Le député Renaissance de Paris Sylvain Maillard s’est, lui, dit « profondément choqué ».
Source
https://www.leparisien.fr/paris-75/paris-75009/paris-des-tags-antisemites-decouverts-sur-les-facades-de-plusieurs-commerces-une-plainte-deposee-23-01-2023-CDBB2GEIHZHQDIZVBFQVVC2F5U.php
Deux caméras de vidéosurveillance couvrent l’avenue Trudaine
L’UEJF a l’indignation antiraciste très variable
Elle rencontre ses bons antisémites notamment ceux de Ramallah et de Jericho
Sans doute le meurtre de juifs israéliens par l’OLP est moins grave que de simples tags
Espérons que l’enquête aboutisse, et que l’on connaisse l’identité de ces « courageux » !
Nouvelle communication de la tournée mbala!Pour se qui est de l´UEJF je pense qu´ils ne sont pas bien net dans leur tête,ou alors tout simplement des juifs honteux!Qu´iös recherchent la paix avec des personnes issus de pays musulman,trés bien,mais lá avec rencontrer ne serait-ce que l´OLP,y a un gros malaise.Je suis certain qu´il y a des gens de paix et non judéophobe du côté de Gaza et Ramallah qui sont de plus que malmenés,il faudrait tout simplement qu´ils voient de ce côté et mettent les projecteurs sur ces personnes!
Je pencherais plutôt du côté juif honteux mais non moins dangereux pour les personnes de confession juive et par ricochets le peuple d´Israel!
Qu´ils se rassure,du côté des chrétiens et surtout du côté de l´institution catholique qui ne représente en aucun cas le christianisme,y a de quoi pleurer:
Radio-France
« Homes indiens », l’histoire sombre des pensionnats catholiques en Guyane
Par Yann Lagarde
Publié le mercredi 30 novembre 2022 à 18h30
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En Guyane dans les années 30, des centaines d’enfants amérindiens ont été placés dans des pensionnats catholiques. Ils y ont été victimes d’une assimilation forcée, d’un isolement qui a brisé leurs liens avec leurs familles et leurs repères culturels. Retour sur un épisode colonial resté tabou.
Sur le territoire français, en Guyane précisément, dans la première moitié du XXe siècle, des enfants indigènes ont été retirés à leurs familles et élevés par des missionnaires dans des pensionnats catholiques, les “homes”. “La spécificité des homes guyanais c’est qu’ils étaient destinés à des populations bien identifiées : les Amérindiens. Les populations marronnes elles aussi ont été visées par la politique d’assimilation et d’évangélisation déployée dans les homes” raconte la journaliste Hélène Ferrarini.
Début des années 1930, dans la colonie française de Guyane, le père Du Maine part à la rencontre des communautés autochtones qui vivent le long des fleuves. Sous prétexte de les scolariser, le prêtre commence à rassembler les enfants des villages kali’nas dans le presbytère de Mana.
En 1946, la Guyane devient un département français, d’autres pensionnats ouvrent sur le même modèle, comme le rappelle Hélène Ferrarini : « Ces pensionnats sont considérés comme un moyen privilégié d’évangéliser ces populations que l’Église catholique cherche à convertir en Guyane depuis des siècles. On y rassemble des enfants qu’on qualifie de « païens ».
La guyane,toujours colonie francaise et rien,pas un mot!
Je lis en ce moment un livre de Jean Contrucci « le printemps des maudits »un autre génocide avant les horreurs pour les parpayots quelques 30 ans plus tard.Instructif.
à tous les coups ce sont encore et toujours les p’tits copains
islamo-gauchiasses et nazislamiques de leur maire/mère Aïcha Hidalgo
Qui ont peinturluré et tagué toutes ces devantures et vitrines de magasins
dans un Paris de plus en plus envahi et occupé par les islamo-Nazis Parisiens
et dont l’objectif est de faire accuser l’extrême-droite ou/et l’ultra-droite pour ensuite en faire des suspects idéaux et Numéro 1 dans l’opinion publique
tout comme des responsables et des coupables de tous ces actes antisémites !..
des croix gammées Nazies ou/et des étoiles de David
taguées sur des murs, des façades d’habitations,
des vitrines de magasins ou des portes et des frontons de synagogues
des églises profanées saccagées, vandalisées ou/et incendiées
Paris est-elle une ville Nazie ? ou/et une ville islamiste ?
ou/et alors une capitale Nazislamiste ???