Palestine ou la naissance d’une escroquerie historique

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Quand la gauche israélienne a donné naissance à la Palestine
La monstrueuse faute de la gauche israélienne, qui avec les accords d’Oslo le 13 septembre 1993, a légitimé avec un total romantisme, le mythe du peuple palestinien. Cette invention va permettre de donner une voix, que nos ennemis vont faire raisonner partout à travers le monde et aura pour effet de permettre à beaucoup de vouloir cette fois délégitimer l’État d’Israël. Non seulement la gauche israélienne est co-responsable d’un mensonge historique à qui elle a donné corps, mais pire elle persévère dans ses propres errements en trainant dans la boue l’Etat d’Israël, avec des prétextes totalement infondés.
Parler de dictature ou de fascisme en Israël, c’est méconnaitre ce qu’a été le fascisme et ses crimes, et c’est dédouaner les assassins du peuple Juif. L’absence de culture juive, et l’assimilation à la culture occidentale, fait qu’au lieu de défendre avant tout l’intérêt du Peuple Juif, elle se range dans le camp de ceux qui recherchent son extermination.
La gauche israélienne est similaire aux juifs hellénisés qui aspiraient à être des citoyens grecs inspirés par des philosophes pédérastes. Après la chute de la Grèce et l’arrivée de l’empire Romain leur glissement continu les a mené à être d’abord des « craignant dieu » puis avec l’arrivée de Paul les premiers chrétiens de Judée, bienheureux de se débarrasser des lois juives contraignantes comme la circoncision ou la cacherout. Telles sont les lois qu’elle promeut contre le shabbat, la cacherout, l’éducation juive, tout en faisant la promotion d’une société où le mouvement LGBT a une place centrale.
Le Judaïsme n’a rien à apprendre en termes de respect de l’homme et de la nature de la civilisation occidentale. Cette dernière est encore loin derrière sur l’amour du prochain, sur la pratique de la justice sur le respect de l’Homme notamment son droit au repos et dans de multiple domaine.
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Le terme Palestiniens désigne aujourd’hui un ensemble de populations arabophones établi principalement dans la région géographique de la Palestine (en Judée Samarie , en Jordanie et en Israël). Dans son acception juridique, il désigne l’ensemble des personnes de nationalité palestinienne.
L’identité nationale palestinienne apparue progressivement depuis la deuxième moitié du xxe siècle, et s’est essentiellement précisée au cours du conflit israélo-arabe, à mesure que celui-ci se poursuivait sous la forme d’un conflit israélo-palestinien. Les actuels Palestiniens revendiquent la reconnaissance par Israël de l’État de Palestine.
Étymologie et sémantique
Le nom de «Palestine» fut attribué au territoire de Judée par l’empereur romain Hadrien, comme mesure punitive à la révolte menée par Bar Kokhba en 135 et en référence aux Philistins Ce nom était lui-même dérivé, par l’intermédiaire du grec, de l’hébreu où le mot peleshet désignait les Philistins, peuple qui occupait la plaine côtière des actuels bande de Gaza et Israël.
Le terme « Palestiniens » définit les habitants de la Palestine.
Encore au début du xxe siècle, les Juifs de la Palestine mandataire sont qualifiés de « palestiniens ».
Fin de l’Empire ottoman
Le développement du nationalisme arabe s’est affirmé dans toute la région principalement sous les effets conjugués de la fin de l’Empire ottoman et d’une réaction au colonialisme européen. La première réunion d’importance des sociétés secrètes arabes eut lieu en 1913 au Congrès général arabe qui déclara la nécessaire reconnaissance du peuple arabe par l’Empire ottoman.
Pour les Turcs, toute manifestation de l’arabisme est un acte de trahison. Les arrestations, les déportations et les exécutions se multiplient. Abdelhamid al-Zahraoui qui était président du premier Congrès arabe est arrêté avec l’un de ses principaux collaborateurs, Abdelkarim Khalil, et, après un jugement sommaire, tous deux furent pendus. Puis, en 1916, Hussein ben Ali eut un rôle déterminant dans la révolte arabe contre l’Empire ottoman, dirigé alors par le parti Jeunes-Turcs. On notera que la Turquie actuelle qui se veut par opportunisme le chantre de la cause « palestinienne » a été son principale ennemi.
Palestine mandataire
« En Palestine, le mandat britannique subsiste en raison de difficultés presque insurmontables. On sait que la Grande-Bretagne s’est engagée à établir un « foyer national pour le peuple juif » (Déclaration Balfour de 1917). Depuis cette date l’immigration des Juifs en Palestine a été favorisée par les organisations « sionistes » ». Comme tous, le journal sioniste The Palestine Post, fondé par Gershon Agron, utilisait le terme de « Palestine » dans ses écrits pour définir la région.
Manifestation arabe à Jérusalem soutenant l’annexion de la Palestine au Royaume de Syrie, mars 1920
Le 3 janvier 1919, l’accord Fayçal-Weizman est signé. Le roi Fayçal Ier accepte la reconnaissance d’une présence juive en Palestine en contrepartie d’un soutien des sionistes à son projet d’un grand royaume arabe indépendant. Quelques mois plus tard, à la suite d’une conférence panarabe, il ne reconnait « plus aucun titre des juifs sur la Palestine ». Toutefois, les premiers projets d’instauration d’« État palestinien » furent rejetés par les Arabes de Palestine qui se considéraient majoritairement comme une sous-partie de la Syrie jusqu’en 1920.
Délégation de Palestiniennes au Congrès des femmes arabes palestiniennes, afin de protester contre la déclaration Balfour et l’immigration juive (1929).
Des conflits entre nationalistes palestiniens et différents groupes nationalistes panarabes se poursuivirent pendant le mandat britannique sur la Palestine. Ces derniers perdirent progressivement de leur importance. En 1937, il n’y avait plus qu’un seul groupe qui exprimait le souhait de se fondre dans une super-entité arabe[réf. souhaitée]. De 1936 à 1939, les Arabes de Palestine se révoltèrent pour mettre fin au mandat britannique et à l’immigration juive. Les citadins abandonnèrent alors le tarbouche, pour porter le keffieh, une coiffe paysanne. Le keffieh devint ainsi, le symbole du nationalisme palestinien. Selon l’historien palestinien Issam Nassar (en), au début du xxe siècle, il serait plus juste de parler des identités palestiniennes, reflétant plus les affiliations locales, régionales et religieuses qu’une seule identité nationale.
Les arabes vivant alors en Palestine, était à Gaza avant tout des égyptiens d’où les noms de Masri, des arabes venus du Liban, de Syrie, d’Irak voyant la croissance économique de la zone grâce à l’apport des Juifs venus s’installer.
Philip Khuri Hitti, historien arabe, ainsi que de nombreuses personnalités arabe tel que, Le roi Hussein de Jordanie, Hafez el-Assad, le représentant de l’Arabie saoudite aux Nations unies et le représentant du Haut-Comité arabe aux Nations unies déclarèrent en 1947 que la « Palestine » est une province syrienne. Les Arabes vivant en Palestine n’étaient pas indépendants. Awni Abd al-Hadi déclara quant à lui en 1937 : « Il n’y a pas de pays tel que la « Palestine ». « Palestine » est un terme que les Sionistes ont inventé ». Certains historiens, considèrent l’identité palestinienne comme une invention, encouragée par les États arabes en conflit avec Israël. Raphaël Delpard soutient que la notion de « peuple palestinien », a été inventée par le KGB au lendemain de la guerre des Six Jours afin que le régime soviétique conserve une influence au Moyen-Orient.
Après l’Indépendance d’Israël
Le 14 mai 1948, l’État d’Israël acquiert son indépendance. Le lendemain, les pays frontaliers, appuyés par la ligue arabe et les milices palestiniennes, lancent une offensive conjointe contre l’État juif. La guerre engendra un exode des Arabes de Palestine, qui se retrouvèrent dans des camps de réfugiés et victimes de persécutions dans leurs pays hôte. Dans ces conditions fut favorisée l’émergence d’une identité palestinienne distincte. Il sera démontré par la suite que le départ de cette population arabes a été en grande partie due à la promesse des pays voisins, que cet éxode est provisoire avant un retour après la victoire arabe.
En 1959, Yasser Arafat, Salah Khalaf et Khalil al-Wazir créent le Fatah, qui finira par prendre le dessus sur son rival le Mouvement nationaliste arabe de Georges Habache. En 1964 a lieu au Caire un sommet arabe où est pensée la création d’une organisation défendant les intérêts des arabes de Palestine. Organisation de libération de la Palestine est ainsi créée le 28 mai 1964 à Jérusalem. Quatre années plus tard, au Caire, la charte de l’OLP devient la Charte nationale palestinienne. Elle a été amendée à plusieurs reprises dont sept nouveaux articles en 1968 à la suite de la Guerre des Six Jours en 1967
Le discours officiel des années 1970 concernant les premiers activistes fedayin Palestiniens est illustré par la déclaration de Golda Meir au Sunday Times en juin 1969 : « There was no such thing as Palestinians. When was there an independent Palestinian people with a Palestinian state? It was either southern Syria before the First World War, and then it was a Palestine including Jordan. It was not as though there was a Palestinian people in Palestine considering itself as a Palestinian people and we came and threw them out and took their country from them. They did not exist ».
Traduction : Il n’y eut jamais rien désigné comme « Palestiniens ». Quand y a-t-il eu un peuple palestinien indépendant dans un État palestinien ? (la Palestine) Ce fut soit le sud de la Syrie avant la Première Guerre mondiale, puis ce fut la Palestine, Jordanie incluse. Ce n’était pas comme s’il y eut un peuple palestinien en Palestine se considérant lui-même comme peuple palestinien et que nous les avons chassés et pris leur pays. Ils n’existaient pas.
En 1970, l’OLP tente une série de coup d’État en Jordanie. Le 17 septembre 1970, l’armée jordanienne bombarde et prend contrôle des camps de réfugiés et des bâtiments qui abritent les organisations palestiniennes, ce qui provoque la mort de 3 400 à 20 000 Palestiniens. En 1971, L’OLP se réimplante au Liban, ce qui lui permet de jouir d’une autonomie politique et militaire, qui durera jusqu’au 21 août 1982, ou elle évacue Beyrouth, à la suite de l’intervention militaire israélienne au Liban de 1982. En 1972, la prise d’otages des Jeux olympiques de Munich et ses conséquences médiatiques permettent aux palestiniens une reconnaissance en tant que Palestiniens et non plus en tant qu’arabes de Palestine. C’est un basculement terminologique qui participe au mensonge et au mythe palestinien.
Armoiries de l’autorité palestinienne
L’expression d’un panarabisme des Arabes de Palestine a continué à s’exprimer officiellement de temps en temps dans la bouche de certains leaders arabes comme Zuheir Mohsen (en), dirigeant de Saïqa, une faction palestinienne pro-syrienne et représentant à l’OLP, qui affirmait en 1977 « Nous parlons aujourd’hui de l’existence d’un peuple palestinien seulement pour des raisons tactiques et politiques, car les intérêts nationaux arabes demandent que nous posions le principe de l’existence d’un peuple palestinien distinct pour l’opposer au Sionisme. Pour des raisons tactiques, la Jordanie, qui est un État souverain avec des frontières définies, ne peut réclamer Haïfa et Jaffa, mais en tant que Palestinien, je ne peux incontestablement demander Haïfa, Jaffa, Beer-Sheva et Jérusalem. Toutefois, à partir du moment où nous réclamerons notre droit à toute la Palestine, nous n’attendrons même pas une minute pour unifier la Palestine et la Jordanie ». Des opinions similaires se sont aussi exprimées en Jordanie où le pouvoir minimisait les différences entre Palestiniens et Jordaniens, pour des raisons de politique intérieure. Toutefois, la plupart des organisations orientaient leur « combat » dans le sens d’un nationalisme palestinien qui a continué à se développer.
En 1977, l’Assemblée générale des Nations unies a créé un « jour international de solidarité avec le peuple palestinien », fixé à la date du 29 novembre.
Au sommet de la ligue arabe de 1987, le roi Hussein de Jordanie déclara que « l’apparition d’une identité palestinienne distincte est une réponse à la revendication par Israël, d’une Palestine juive ». La première intifada éclate la même année, les Palestiniens de Cisjordanie et de la bande de Gaza luttent contre Israël. Ils revendiquent une identité palestinienne à travers le terrorisme palestinien.
La trahison de la gauche israélienne fait que l’on aboutit finalement en 1993 avec la signature des accords d’Oslo, et l’instauration de l’idée de deux États en Palestine, l’un juif, l’autre arabe.
De facto la gauche israélienne avec à sa tête Rabin et Perez, donne corps potentiellement à un état palestinien, ce qui sera en même temps la délégitimation d’Israël sur sa terre ancestrale.
Mais la première Intifada voit aussi la naissance du Hamas, mouvement islamiste, qui prend le contrôle de la bande de Gaza, en janvier 2006.
Pays reconnaissant la Palestine le 29 novembre 2012
En 1993, l’autorité palestinienne voit le jour à la suite des accords de Washington (ou Oslo I).
En 2011, l’État de Palestine accède à l’Unesco. Le 29 novembre 2012, elle sera reconnue comme État observateur non-membre de l’ONU par 138 voix pour , 9 contre et 41 abstentions.
En 2012, les manuels scolaires de l’Autorité palestinienne et d’un certain nombre d’États arabes indiquent que les « Arabes cananéens » constituent les seuls habitants légitimes de Palestine. Cette narration forme un outil politique, destiné à encourager la volonté de combattre Israël et à alimenter l’idée que seuls les Arabes sont propriétaires des lieux.
Pays Population
Cisjordanie 2 300 000
Gaza 1 400 000
Israël 1 213 000
Jordanie 2 598 000
Liban 388 000
Syrie 395 000
Chili 310 000
Arabie saoudite 287 000
États du Golfe 152 000
Égypte 58 000
Autres pays arabes 113 000
continent américain 316 000
Autres pays 275 000
TOTAL 9 395 00035,
En réalité ce sont des arabes qui ont immigrés quelques temps avant la guerre d’indépendance en 1948 en Palestine, puis sont partis quand le conflit a éclaté. Ils n’ont jamais pu avoir de nationalité palestinienne puisqu’il qu’il n’y avait pas d’état Palestinien. Donc tout cela est une escroquerie historique, à la quelle la gauche israélienne a donné une légitimité aux dépends d’Israël.
Polémiques sur les causes de l’échec des Accords
Dès la signature des accords d’Oslo, leur application subit des retards importants. Les premières difficultés surgissent à propos de l’étendue que doit recouvrir la notion de région de Jéricho ou sur le contrôle de la bande de Gaza. La droite nationaliste israélienne cherche à torpiller les accords. Le Hamas organise plusieurs attentats-suicides en 1994 et 1995 (attentat-suicide contre un bus à Afoula (en), à Hadera, Tel-Aviv, Ramat-Gan, Jérusalem).
Des deux côtés, les architectes et signataires des Accords ont tenu des propos les remettant en cause.
Yasser Arafat dès le 13 septembre 1993 – jour de la signature de la Déclaration de principes à Washington entre Yitzhak Rabin, Premier ministre israélien, Bill Clinton, président des États-Unis, et Yasser Arafat, président de l’OLP, organisation de libération de la Palestine) – dans un discours préenregistré et diffusé par la télévision jordanienne, dit :
« Les Palestiniens recevront tout territoire qu’Israël leur remettra, puis l’utiliseront comme tremplin pour procéder à d’autres gains territoriaux jusqu’à ce qu’ils obtiennent la « libération totale de la Palestine », la liquidation de l’Etat juif ».
D’après le site gouvernemental d’Israël, et un enregistrement disponible sur le site YouTube, le 10 mai 1994, le président de l’Autorité palestinienne Yasser Arafat affirme, s’adressant à un groupe de fidèles dans une mosquée de Johannesburg :
« le djihad continuera […] Je vois cet accord comme n’étant pas plus que l’accord signé entre notre Prophète Muhammad et les Qurayshites à La Mecque. », faisant ainsi référence à un accord conclu, puis révoqué par Mahomet à la suite de la violation de cet accord par la partie adverse.
De son côté, le Premier Ministre israélien Yitzhak Rabin déclare le 5 octobre 1995, lors de son dernier discours devant les parlementaires israéliens à la Knesset : « la frontière de sécurité de l’État d’Israël sera située dans la vallée du Jourdain, dans le sens le plus large du terme », englobant ainsi les territoires palestiniens dont les Accords d’Oslo devaient établir la future autonomie.
Dans une entrevue de 2001, ne sachant pas que les caméras tournaient, Benyamin Netanyahou s’est vanté d’avoir fait échouer les accords d’Oslo au moyen de fausses déclarations et d’ambiguïtés. Il a déclaré : « J’interpréterai les accords de telle manière qu’il sera possible de mettre fin à cet emballement pour les lignes d’armistice de 67. Comment nous l’avons fait ? Personne n’avait défini précisément ce qu’étaient les zones militaires. Les zones militaires, j’ai dit, sont des zones de sécurité ; ainsi, pour ma part, la vallée du Jourdain est une zone militaire. ».
Ces « accords d’Oslo » étaient en fait un marché de dupes, où Israël a payé le prix le plus élevé.
Source
JFORUM.FR

happywheels

1 Comment

  1. Franccomtois dit :

    Documentaire déjá mis,mais tellement instructif:
    -Les Origines Nazie et Soviétique de la cause palestinienne
    https://youtu.be/0-W3KTdElBY

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