Meurtre de Sarah Halimi, les interrogations de Gilles-William Goldnadel
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La chronique de Gilles-William Goldnadel sur Radio J en date du 25 mai 2017 : il pointe du doigt les négligences coupables, que ce soit la police qui, bien que sur place, a laissé la torture puis le meurtre se poursuivre sans rien faire, de la justice qui a aussitôt « psychiatrisé » l’affaire, ou des dirigeants de la communauté juive dont la servilité est inacceptable.
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Entièrement raison Mr Goldanadel, de vous indigner, en particulier en faisant de ces fous d’Allah des malades ou des névrosés. cela permet aux « autorités » d’évacuer un horrible crime antisémite. Revenons nous donc progressivement à la période noire de Vichy ???
75 minutes de présence policière pendant l’horreur, comment ces types-là pourront encore se regarder dans la glace et revêtir leur uniforme ?
exact !
Mais c’était les mêmes que ceux qui ont « obeï » aux ordres des boches au cours de la rafle du vel-d’hiv. Mais la différence, c’était que les lois de désobéissance aux ordres criminels n’avaient pas encore été instaurées. Et ceux-ci ont d’autant moins d’excuses. Évidemment si cette victime avait été musulmane, l’ordre d’intervention aurait été donné illico (ce qui eut été normal).