L’islamiste Hani Ramadan a une version singulière de l’échangisme
Invité à s’exprimer dans une école à Genève, le directeur du Centre islamique provoque un nouveau scandale en stigmatisant les femmes non voilées.
L’idée relevait d’une bonne intention. Les derniers chiffres montrent que les actes de racisme ou de discrimination à l’égard des musulmans ont bondi en Suisse depuis l’année dernière. Une enseignante d’une école genevoise a pris l’initiative d’inviter dans sa classe le responsable d’une mosquée pour parler d’islamophobie. Le choix, en revanche, est plus discutable. Elle s’est adressée à Hani Ramadan, directeur du Centre islamique de Genève et frère aîné de Tariq Ramadan.
Le prédicateur, régulièrement pointé du doigt pour ses prises de position, a commencé par comparer les femmes voilées à des perles protégées dans des coquillages. En revanche, pour lui, « la femme sans voile est comme une pièce de deux euros. Visible par tous, elle passe d’une main à l’autre. » Révélée jeudi par le quotidien Le Temps et par la télévision Léman bleu, l’affaire est aussitôt montée jusqu’au département de l’Instruction publique (DIP), qui estime que « les positions publiques de monsieur Ramadan sont incompatibles avec les valeurs et la mission de l’école publique ». Hani Ramadan « est une personnalité contestée qu’il n’est évidemment pas recommandé d’inviter en classe pour parler d’enjeux sensibles réclamant dans le contexte actuel de la distance et du sang-froid », ajoute Pierre-AndréPreti, le porte-parole du DIP dans La Tribune de Genève.
Le sida, une punition divine
L’enseignante, qui n’aurait pas informé sa hiérarchie, a été convoquée pour un « entretien de service » par le DIP. La réaction est d’autant plus violente en Suisse qu’Hani Ramadan, ancien enseignant dans le secondaire, a été licencié de l’Instruction publique en 2003 pour avoir justifié la lapidation. « Parce qu’il s’agit d’une injonction divine, la rigueur de cette loi est éprouvante pour les musulmans eux-mêmes. Elle constitue une punition, mais aussi une forme de purification », avait écrit le directeur du Centre islamique de Genève dans une tribune publiée dans Le Monde en septembre 2002, un an après les attentats du World Trade Center.
Par ailleurs, le petit-fils d’Hassan al-Banna, le fondateur des Frères musulmans égyptiens, présentait le sida comme une « punition divine à l’encontre des comportements déviants ». « La personne qui respecte strictement les commandements divins est à l’abri de cette infection », assurait-il. Loin de s’amender, un mois plus tard, en octobre 2002, dans Le Matin dimanche de Lausanne, Hani Ramadan justifiait la peine de mort pour ceux qui osent abandonner l’islam pour embrasser une autre religion. « Dans le monde musulman, délaisser la prière, boire et forniquer sont des crimes pour lesquels la loi a prévu des châtiments », lançait-il.
Les décorés du Thalys ? « Une manipulation »
Le frère de Tariq Ramadan est un habitué de ce genre de déclarations intempestives.En août 2015, il s’en était pris aux décorés du Thalys, considérant qu’il ne s’agissait que d’une manipulation tentant de rehausser le prestige des militaires américains, « passablement amoindri par les agissements d’une armée qui sème la mort à grande échelle depuis des décennies partout où elle se rend ». Et le 9 juin dernier, Hani Ramadan rappelait dans la presse helvétique que le Prophète ne serrait pas la main des femmes et que l’imiter est donc « un signe de respect » vis-à-vis des femmes… « Ce tollé suscité par le refus d’une poignée de main montre bien que le moindre prétexte est bon pour alimenter le processus de l’islamophobie », s’indigne-t-il.
Alors que Tariq Ramadan cherche à présenter une pratique de l’islam plus ouverte au monde moderne, Hani Ramadan n’hésite pas parfois à lui « casser la baraque » en rappelant que les deux frères ne sont, en fait, « que les deux faces d’une même médaille ». D’ailleurs, ne siègent-ils pas ensemble au conseil de direction du Centre islamique de Genève ? Un conseil de direction composé uniquement de membres de la famille Ramadan : Wafa, la veuve de Saïd Ramadan, le fondateur de la mosquée, et ses six enfants.
Source :
http://www.lepoint.fr/monde/hani-ramadan-une-femme-sans-voile-passe-d-une-main-a-l-autre-12-06-2016-2046074_24.php
On les emmerdent,mais pourquoi invitent-t-ils des gens pareil ?
Quel taré ce type,sérieusement.
Mais gardez les,vos mochetés immondes couvertes du sol au plafond,c est certain qu’elles ne passeront pas « d une main à une autre »,aucun risque.
allez prêcher votre parole débile dans vos pays,et cessez de nous dire,ainsi qu’aux musulmans,que vous representez une morale.
Chez nous,un pissenlit vous surpasse intellectuellement et lui,n emmerde personne à priori.
Pour le côté « occident décadent blablabla »,on constate que pour être décadent,il faut s’être élevé avant,vous ne risquez donc pas grand chose,côté décadence…
Votre pseudo-morale de frustrés,je me torche avec,et vive les musulmanes cheveux au vent,la plupart doivent être plus épanouies que vos gros thons déguisées en Batman.
hors sujet
http://www.leparisien.fr/faits-divers/etats-unis-fusillade-dans-une-boite-de-nuit-a-orlando-12-06-2016-5876041.php
les femmes n’auraient d’existence que par leur appartenance aux mâles dominants ? quand on voit la tronche du frangin on comprend qu’il veuille les empécher les femmes de prendre le large !
Contre le nazisme du Chamelier Fou, il faut libérer la parole de Adeptes de la… vraie Religion! Ce Monsieur Ramadan parle d’or!!!
je ne comprends pas que les services secrets des pays qui se battent contre l’islam n’est pas mis hors de nuire cet ignoble personnage!
Il serait temps que nos politiques comprennent que nous avons pas les mêmes valeurs et que nous sommes pas fait pour vivre avec ce genre de dégénérés ! Message aux musulmans adeptes des rites ostentatoires , du voile islamiste , de la barbe salafiste et autres signes extérieurs d’obscurantisme : arrêtez de prier ou de faire le Ramadan par exemple, et luttez plutôt contre vos maladies et vos tares innombrables !
On en a marre de votre compréhension rétrograde de la réalité religieuse.
Un jour, vous serez la communauté la plus détestée de la planète et vous ne l’aurez pas volé.