“L’Humanité” caricature Eric Zemmour en gobelin défraîchi, nez crochu, oreilles pointues
En 2022, l’Humanité, par le dessin de « Bobika », déshumanise le candidat Zemmour, le colorise en verdâtre et le grime en monstre. Pour ceux qui douteraient, le dessin le présente avec d’autres candidats présentés, eux, sous forme et couleur de peau humaines. Et pour les plus rétifs, la compulsion généalogique des dessins de cet épouvantable dessinateur établit que Zemmour est le seul personnage déshumanisé, présenté en monstre et de couleur verdâtre.
La méthode antisémite de déshumanisation des Juifs est connue depuis la nuit des temps : puisqu’il est impossible de les reconnaître, la déshumanisation et l’animalisation permettent les distinguer. Ce n’est pas nouveau. Il suffit de se référer à l’antisémitisme occidental et oriental, médiéval, moderne, contemporain, nazi, communiste, soviétique, arabe, etc. Le choix de l’immonde est vaste.
« Bobika » lui-même n’en est pas à sa première démonstration antisémite de Zemmour. Il l’a déjà représenté en poisson hideux, difforme et verdâtre.
L’ambiance antisémite fait rage en France. Les Français juifs sont dépossédés de leurs droits élémentaires, ceux qui relèvent de la sécurité, de l’identité & de la liberté. L’antisémitisme tue en France des personnes parce qu’elles sont nées. Être Juif devient un courage et un danger.
Dans ces conditions, il appartient aux organisations représentatives des Français juifs, religieuses et laïques, comme aux organisations de défense des droits humains de saisir le parquet.
Il est anormal qu’un dessinateur se permette un délit d’antisémitisme & qu’un quotidien national s’y associe. Il est normal que la communauté juive française organisée réagisse et fasse réagir. Au-delà de la réaction juridique, il est possible et souhaitable de saisir les députés & les sénateurs, d’écrire son dégoût, son indignation et sa révolte au président de la république et au premier ministre, d’alerter les media, etc.
Il y a peu de chance que la solidarité nationale se manifeste si les victimes et surtout leurs représentants ne réagissent pas.
Le danger d’accoutumance à l’humiliation permanente guette les cibles des voyous antisémites.
Les violences antisémites de la presse et de dessinateurs tels ce « Bobika » ne sont pas moindre que celles qui se manifestent physiquement.
Il paraît de plus en plus difficile d’en terminer en France avec les délits et crimes antisémites tant ils pullulent et sont protéiformes. Même si c’est difficile, les réactions d’ordre général doivent être développées. Quant aux organisations encadrant le Judaïsme français, il relève de leur plus expresse responsabilité de saisir l’autorité judiciaire, les pouvoirs publics et les media.
Pierre Saba
Habituel chez l’humanité. C’est un journal qui produit des caricatures antisémites avec l’appui de tous les gouvernements au pouvoir depuis 40 ans. Ils sont financés pour le faire par des subventions publiques, puisque leur lectorat ne leur permet pas de vivre. C’est le même système qu’en Iran ou un concours de caricatures antisémites sur l’holocauste a été organisé en 2006:
https://fr.wikipedia.org/wiki/Concours_international_de_caricatures_sur_l%27Holocauste
Sauf que chez nous le concours dure depuis 40 ans, que de l’argent public est donné chaque année pour les récompenser avec la bénédiction des gouvernements en place.
ZEMMOUR PRÉSIDENT!!!!!
Les subventions publique pour ce torchon qu´est le journal coco á la trappe!Sans subvention venant des impôts payés par les francais,comment cette merde pourrait survivre?
-Les Inconnus – L’ex communiste:
https://youtu.be/uVoXrHnC0RE
H.S,mais avec de l´humour avec les excellents Inconnus:
-Les Inconnus – La situation au Moyen Orient
https://youtu.be/WjwNAt1nek8
jadis pierre mendes france a qui zemmour ressemble beaucoup !!a subi les memes caricatures de la part des communistes entre autres !!toujours verdatres
L’Humanité souhaitait la bienvenue aux troupes Nazies en 1940 en raison du pacte germano-soviétique..
Donc ce journal revient à ses premières amours: l’antisémitisme vulgaire.
Soral était officiellement ………… communiste !!!
Les sources divergent quant à son entrée au Parti communiste français, certains enquêteurs mettant en doute sa réalité tandis qu’Alain Soral lui-même multiplie les versions concernant cette adhésion : au milieu des années 1980 pour certains, en 1991 pour Nicolas Lebourg et Joseph Beauregard, entre 1992 et 1994 d’après un CV issu d’un dossier de presse. Sa propre version varie souvent : incapable de dater son engagement, il parle parfois d’une période située entre 1991 et 1993 mais parfois aussi d’un engagement de sept ans. L’écrivain Simon Liberati indique qu’il s’est encarté avec Alain Soral davantage par anticonformisme que par idéologie, jugeant « dommage que le parti disparaisse comme l’Église catholique avait disparu » et qualifiant leur petit cercle de « pieds nickelés ». Selon les auteurs de La Galaxie Dieudonné, cette appartenance au PCF n’a cependant jamais été prouvée. D’après Robin d’Angelo et Mathieu Molard, journalistes à StreetPress, les responsables du parti de l’époque ne se souviennent pas de son passage. Alain Soral a mis en ligne sur son site ses cartes d’adhérents au Parti communiste français à la cellule Paul-Langevin, de 1995 à 2000. Il déclare également avoir animé pendant cette période, aux côtés de Marc Cohen, le « Collectif communiste des travailleurs des médias » (dit aussi « cellule Ramón-Mercader »), faisant paraître un bulletin confidentiel aux parutions sporadiques intitulé La Lettre écarlate. Cette initiative n’aurait pas de lien avec le PCF. Selon Jean-Paul Gautier et ses coauteurs, « en réalité, ce collectif était dirigé par Henri Malberg, membre du comité central du PCF. Lors de nos investigations, nous n’avons trouvé aucun document qui laisserait entrevoir qu’Alain Soral aurait joué le rôle qu’il cherche à s’attribuer. » D’après des témoignages recueillis par Mathieu Molard et Robin d’Angelo c’est néanmoins en côtoyant ce « courant nationaliste encore présent au PCF » qu’il devient « obsédé par les juifs ».
Après avoir fait campagne pour le non au référendum sur le traité de Maastricht de septembre 1992, il déclare avoir participé en mai 1993, toujours avec Marc Cohen, rédacteur en chef de L’Idiot international de Jean-Edern Hallier, à la rédaction de l’appel « Vers un front national », signé par Jean-Paul Cruse — ancien membre de la Gauche prolétarienne, membre du collectif et délégué SNJ-CGT de Libération, dont il est l’un des fondateurs — et publié en première page de L’Idiot. Cet appel, s’appuyant sur la vision de la « destruction précipitée de la vieille gauche », propose « une politique autoritaire de redressement du pays », rassemblant « les gens de l’esprit contre les gens des choses, la civilisation contre la marchandise — et la grandeur des nations contre la balkanisation du monde […] sous les ordres de Wall Street, du sionisme international, de la bourse de Francfort et des nains de Tokyo » et appelle, pour « forger une nouvelle alliance », à la constitution d’un « front » regroupant « Pasqua, Chevènement, les communistes et les ultra-nationalistes », un nouveau front pour « un violent sursaut de nationalisme, industriel et culturel ». Une polémique naît alors sur l’existence de convergences « rouges-bruns ».
Alain Soral cesse ensuite d’être membre du PCF, disant s’opposer à l’abandon de son contenu révolutionnaire, tout en continuant à approuver l’« outil d’analyse » marxiste.