Les « sionistes et pro-palestiniens » de l’UEJF sont-ils aveugles ou complaisants ?

par Jonathan
Comme toujours, l’UEJF se voile la face.
Suite aux incidents qui se sont déroulés à Paris VIII empêchant ainsi une délégation d’étudiants israéliens de présenter une autre image d’Israël par la tenue d’un stand et l’organisation d’une conférence au sein de l’université, l’UEJF appelle l’administration de Paris 8 à prendre des sanctions à l’encontre de plusieurs activistes pro-palestiniens qui appartiennent d’ailleurs à des associations élues aux conseils centraux de l’établissement.
Pourquoi l’Union des Étudiants Juifs -SOCIALISTES- de France ne mentionne-t-elle pas l’identité politique des perturbateurs antisionistes ainsi que des associations élues en question comme elle sait si bien le faire dès qu’il s’agit du Front national ou du seul magazine pro-israélien en France Valeurs Actuelles qui fut victime de l’indignation sélective et ô combien outrancière de ceux qu’on présente comme les porte-paroles de la jeunesse juive étudiante de France ?
La réponse est malheureusement évidente : l’antisionisme est devenu le fond de commerce électoral d’une gauche extrême -qu’elle soit écologiste ou communiste- qui demeure être une alliée fidèle du Parti Socialiste, une formation politique à laquelle appartiennent la plupart des « leaders » de l’UEJF.
Dans ces conditions, il est inutile de rappeler que ce sont justement des militants de gauche ainsi que des étudiants musulmans proches des différentes mouvances islamistes qui animent aujourd’hui les campagnes de boycott d’Israël à travers les universités françaises. D’ailleurs, Manuel Valls lui-même a très justement rappelé lors du rassemblement organisé par le Crif le 19 mars dernier que l’antisémitisme se nourrissait aujourd’hui des ambiguïtés sur le discours à propos d’Israël.
Dès lors, comment se fait-il que l’UEJF refuse de dénoncer avec force la collusion d’une partie des étudiants affiliés aux syndicats marqués à gauche ou proches de certains milieux musulmans avec un antisémitisme violent dont le masque antisioniste ne trompe plus personne ? C’est bien parce que l’UEJF pratique un deux poids, deux mesures constant entre l’antisémitisme « progressiste » et celui en provenance des milieux conservateurs que de telles incohérences sont rendues possibles.
« A leur stratégie d’intimidation, leurs insultes et leurs menaces, les étudiants de l’UEJF et les étudiants israéliens ont opposé un mot d’ordre ferme, à savoir qu’ils étaient venus ici pour dialoguer, à l’invitation de la présidence de l’Université, et que personne ne les délogerait » précise le communiqué de l’UEJF.
Et au collectif Palestine Paris 8 de leur répondre : « Comme à son habitude, l’UEJF a brandi de manière victimaire et hypocrite la carte du « dialogue ». Nous leur répondons qu’après près de 66 ans d’occupation illégale de la Palestine, de colonisation acharnée, d’emprisonnements arbitraires, de massacres, qu’après l’échec cuisant des accords d’Oslo et le mur de l’apartheid, aucun dialogue n’est possible avec le sionisme !  »
En fait, il y a ceux qui croient encore à l’utopie d’une paix et d’un dialogue possibles avec les « partisans français » de Yasser Arafat ou du Cheikh Yassine et d’autres, bien plus lucides, qui ont compris depuis fort longtemps que seules une confiance indéfectible en l’Éternel et une détermination absolue quant à notre droit légitime de résider sur l’ensemble de la Terre d’Israël constituaient une réponse juste permettant ainsi de mener le projet sioniste à son terme.
De plus, l’UEJF et certains théoriciens de la « Hasbara » sont des partisans d’une « normalisation » d’Israël. Or, c’est justement parce que ce pays est un État juif que toute volonté de normalisation est non seulement vouée à l’échec mais qu’elle nous apparaît d’autant plus inacceptable.
Parce que nous sommes convaincus que l’État d’Israël n’est pas un pays comme un autre, que l’action de Tsahal sera toujours plus décisive pour notre sécurité que tous les efforts diplomatiques possibles et que la critique d’Israël en diaspora à des fins partisanes est moralement inacceptable que nous affirmons qu’à défaut de pouvoir « dialoguer », le juif du 21e siècle doit s’imposer et lever la tête avec fierté.
Après tout, c’est bien ce qui fait toute la différence entre les pionniers de Judée-Samarie et une certaine élite de Ramat Aviv qui est déconnectée des préoccupations des israéliens et dont les discours post-sionistes et « normalisateurs » font de leurs auteurs les idiots utiles de BDS et de la clique d’Abou Mazen. Il y a ceux qui défendent et construisent la nation juive de demain et d’autres qui préfèrent visiblement serrer des mains -parfois tâchées de sang israélien- à Ramallah. Les « sionistes et pro-palestiniens » de l’UEJF sont-ils aveugles ou complaisants ?
Comme toujours, l’UEJF se voile la face.
Suite aux incidents qui se sont déroulés à Paris VIII empêchant ainsi une délégation d’étudiants israéliens de présenter une autre image d’Israël par la tenue d’un stand et l’organisation d’une conférence au sein de l’université, l’UEJF appelle l’administration de Paris 8 à prendre des sanctions à l’encontre de plusieurs activistes pro-palestiniens qui appartiennent d’ailleurs à des associations élues aux conseils centraux de l’établissement.
Pourquoi l’Union des Étudiants Juifs -SOCIALISTES- de France ne mentionne-t-elle pas l’identité politique des perturbateurs antisionistes ainsi que des associations élues en question comme elle sait si bien le faire dès qu’il s’agit du Front national ou du seul magazine pro-israélien en France Valeurs Actuelles qui fut victime de l’indignation sélective et ô combien outrancière de ceux qu’on présente comme les porte-paroles de la jeunesse juive étudiante de France ?
La réponse est malheureusement évidente : l’antisionisme est devenu le fond de commerce électoral d’une gauche extrême -qu’elle soit écologiste ou communiste- qui demeure être une alliée fidèle du Parti Socialiste, une formation politique à laquelle appartiennent la plupart des « leaders » de l’UEJF.
Dans ces conditions, il est inutile de rappeler que ce sont justement des militants de gauche ainsi que des étudiants musulmans proches des différentes mouvances islamistes qui animent aujourd’hui les campagnes de boycott d’Israël à travers les universités françaises. D’ailleurs, Manuel Valls lui-même a très justement rappelé lors du rassemblement organisé par le Crif le 19 mars dernier que l’antisémitisme se nourrissait aujourd’hui des ambiguïtés sur le discours à propos d’Israël.
Dès lors, comment se fait-il que l’UEJF refuse de dénoncer avec force la collusion d’une partie des étudiants affiliés aux syndicats marqués à gauche ou proches de certains milieux musulmans avec un antisémitisme violent dont le masque antisioniste ne trompe plus personne ? C’est bien parce que l’UEJF pratique un deux poids, deux mesures constant entre l’antisémitisme « progressiste » et celui en provenance des milieux conservateurs que de telles incohérences sont rendues possibles.
« A leur stratégie d’intimidation, leurs insultes et leurs menaces, les étudiants de l’UEJF et les étudiants israéliens ont opposé un mot d’ordre ferme, à savoir qu’ils étaient venus ici pour dialoguer, à l’invitation de la présidence de l’Université, et que personne ne les délogerait » précise le communiqué de l’UEJF.
Et au collectif Palestine Paris 8 de leur répondre : « Comme à son habitude, l’UEJF a brandi de manière victimaire et hypocrite la carte du « dialogue ». Nous leur répondons qu’après près de 66 ans d’occupation illégale de la Palestine, de colonisation acharnée, d’emprisonnements arbitraires, de massacres, qu’après l’échec cuisant des accords d’Oslo et le mur de l’apartheid, aucun dialogue n’est possible avec le sionisme !  »
En fait, il y a ceux qui croient encore à l’utopie d’une paix et d’un dialogue possibles avec les « partisans français » de Yasser Arafat ou du Cheikh Yassine et d’autres, bien plus lucides, qui ont compris depuis fort longtemps que seules une confiance indéfectible en l’Éternel et une détermination absolue quant à notre droit légitime de résider sur l’ensemble de la Terre d’Israël constituaient une réponse juste permettant ainsi de mener le projet sioniste à son terme.
De plus, l’UEJF et certains théoriciens de la « Hasbara » sont des partisans d’une « normalisation » d’Israël. Or, c’est justement parce que ce pays est un État juif que toute volonté de normalisation est non seulement vouée à l’échec mais qu’elle nous apparaît d’autant plus inacceptable.
Parce que nous sommes convaincus que l’État d’Israël n’est pas un pays comme un autre, que l’action de Tsahal sera toujours plus décisive pour notre sécurité que tous les efforts diplomatiques possibles et que la critique d’Israël en diaspora à des fins partisanes est moralement inacceptable que nous affirmons qu’à défaut de pouvoir « dialoguer », le juif du 21e siècle doit s’imposer et lever la tête avec fierté.
Après tout, c’est bien ce qui fait toute la différence entre les pionniers de Judée-Samarie et une certaine élite de Ramat Aviv qui est déconnectée des préoccupations des israéliens et dont les discours post-sionistes et « normalisateurs » font de leurs auteurs les idiots utiles de BDS et de la clique d’Abou Mazen. Il y a ceux qui défendent et construisent la nation juive de demain et d’autres qui préfèrent visiblement serrer des mains -parfois tâchées de sang israélien- à Ramallah. Les « sionistes et pro-palestiniens » de l’UEJF sont-ils aveugles ou complaisants ?