Les Patriotes : le film sur Jonathan Polard
Les Patriotes est un film français d’Éric Rochant sorti en 1994, détaillant le parcours d’un jeune Français dans les services de renseignement israéliens.
Ariel Brenner, un jeune juif parisien de 18 ans, décide de partir pour Israël pour vivre dans un kibboutz. Il est plus tard recruté par les services secrets. Tout d’abord candidat pour entrer au Mossad, il est finalement recruté par un service indépendant appelé Unité 238.
Ses fonctions l’amèneront à être mêlé à deux affaires assez différentes, toutes deux inspirées de faits réels.
Tout d’abord, la manipulation d’un physicien français impliqué dans un projet de construction d’une centrale nucléaire par un pays arabe (et qui rappelle l’action du Mossad qui conduira au bombardement par l’aviation israélienne du site nucléaire d’Osirak en Irak, l’opération Opéra en 1981).
Ensuite, la démarche de Jeremy Pelman, officier du renseignement américain, de confession juive, qui contacte de lui-même les services secrets israéliens (et qui est très inspirée de l’histoire de Jonathan Pollard, qui a livré des secrets à Israël, bien que les noms des personnes et institutions impliquées aient été modifiées dans le film).
Voir le film en cliquant sur le lien ci-après
https://ok.ru/video/300875385485
Très bon film, vraiment réaliste.
Avec cependant un constat a charge pour les services Israélien,notamment sur le final.
Ils auraient été (l’équipe du film) bien inspirés de laisser entendre que tous les services du monde sont capables de faire se genre de truc.
Par certains aspects il (le film) m’a rappelé « La Manipulation » de Denys de la Patelière.
Pollard n’a pas transmis d’informations aux russes directement
Dans l’hebdomadaire The New Yorker du 18 janvier 1999, Seymour Hersh, à l’évidence puissamment alimenté par des sources de renseignement américaines, avait, à l’inverse, accrédité la version d’un espion de haut vol. Pollard y était accusé d’avoir fourni aux Israéliens, pour beaucoup d’argent, le Rasin (pour Radio Signal Notations), manuel de base en dix volumes de la NSA, l’agence américaine d’écoutes téléphoniques, ainsi que le Sigint (Signal Intelligence) fournissant les codes d’accès et de cryptage du Rasin.manuel qui aurait été ensuite livré en pleine guerre froide aux Soviétiques en échange de l’émigration vers Israël d’un million de juifs présents en URSS
pollard est arrivè avec son epouse en israel ou il a ètè accueilli par le premier ministre en personne !!cela prouve bien des choses !c est grace a ses renseignements que Tsahal a pu bombarder efficacement le refuge de l olp en tunisie avec aussi la complicitè de l ex president tunisien recrutè par le Mossad !!!
alors pourquoi les israéliens se sont acharnès depuis des années a demander sa liberation et ensuite son autorisation a quitter le sol americain vers israel???qu ont ils donc a faire avec un pareil looser a vous entendre ??
LONGUE VIE A MR POLLARD ET SA FEMME…
IL A SAUVE LA VIE DE MILLIERS D ISRAELIENS. EN PLUS AUCUN ESPION N A SUBI 1 TEL ACHARNEMENT!!!!
Excellent film! Une référence dans l’espionnage !Je félicite la prestation de feu Yossi Banai.
Banai est né à Jérusalem à l’ époque du Mandat et a grandi dans le quartier du marché Mahane Yehuda . Il était l’un des membres les plus éminents d’une famille célèbre pour avoir produit plusieurs interprètes et musiciens célèbres: ses frères Gavri , Ya’akov et Haim sont des acteurs, son fils Yuval et ses neveux Ehud , Uri, Me’ir et Eviatar sont des musiciens et chanteurs. (dont certains agissent occasionnellement), et sa nièce Orna est actrice et comédienne.
Banai a été l’un des premiers membres de la célèbre troupe d’artistes de Tsahal , la troupe Nahal . Il a abandonné l’école en sixième pour rejoindre le théâtre, a étudié le théâtre avec Fanny Lovitch et a finalement rejoint la compagnie du théâtre Habima . Tout au long de sa vie, il a collaboré avec la plupart des compagnies de théâtre actives en Israël se produisant dans d’innombrables productions. Il avait une relation particulièrement étroite avec le dramaturge Nisim Aloni et a joué dans les premiers ministres de nombreuses pièces d’Aloni. Banai a également inauguré des rôles célèbres dans les pièces de Hanoch Levine et Yaakov Shabtai .
Banai lui-même a écrit plusieurs revues de style cabaret , qu’il interprétait généralement en solo. Il a également écrit et réalisé des sketches comiques pour le trio comique Hagashash Hachiver , dont l’un des membres était son frère, Gavri.
En tant que chanteur, il était célèbre pour sa présentation personnelle, sa voix enfumée et son penchant pour les chansons françaises . Certaines de ses revues consistaient en des interprétations des chansons de Jacques Brel et de Georges Brassens , souvent traduites du français pour lui par Naomi Shemer . Shemer a également écrit plusieurs de ses propres chansons pour Banai.
Il est mort d’ un cancer à Tel Aviv . Il laisse dans le deuil sa femme et ses trois fils (dont Yuval Banai, chanteur principal de l’un des groupes pop rock les plus influents d’Israël, Mashina ).
Prix
En 1998, Banai a reçu le prix israélien des « arts de la scène – théâtre » pour sa contribution au théâtre israélien. [1]
Filmographie
An Titre Rôle Remarques
1962 Havura Shekazot
1963 Af Milah L’Morgenstein
1966 Fortuna
Yosef Buzaglo
1967 Ervinka
Maurice
1967 999 Aliza Mizrahi
Théodore Rothschild
1972 Ha Glula
1973 Haham Gamliel
1994 Les Patriotes
Yossi (rôle final du film)
Merci LDJ pour le lien vers le film!
Dommage que des Juifs se répandent en calomnies contre ce héros qui a donné 35 ans de sa vie pour nous transmettre des infos vitales..