Les dirigeants du Hamas sont des lâches ! Craignant d’être assassinés, ils ont fui le Qatar pour la durée du Mondial

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Le commandement du Hamas se trouve à Doha, la capitale du Qatar, depuis que les chefs terroristes ont quitté la Syrie en 2010, au début de la guerre civile dans ce pays. Mais mardi soir, Kan 11 a rapporté, en citant des sources à Gaza, que les plus hauts responsables du Hamas, à commencer par le chef Ismail Haniyeh, ont quitté le Qatar au début de la Coupe du monde 2022 et ne reviendront à Doha qu’après la fin du tournoi.
Selon les mêmes sources, le Hamas s’est rendu compte que pendant le mois de la Coupe du monde, le Qatar ouvrirait ses portes à tous les pays du monde, ce qui permettrait aux organisations de renseignement d’opérer librement dans le pays, y compris les équipes d’espions s’appelant comme vous savez et venant de vous savez où.

Par conséquent, ces peureux du Hamas ont pris la décision d’évacuer tous leurs hauts responsables du Qatar pendant le mois du tournoi. Ils se déplacent dans le monde entier et se sont installés, pour certains, en Algérie et en Turquie.
Ismail Haniyeh et le reste des trouillards ne devraient revenir que lorsque le Qatar aura refermé ses portes et sera devenu un endroit beaucoup plus sûr pour les terroristes.
 Haniyeh, 60 ans, remplace Khaled Mashal comme chef du bureau politique du Hamas le 6 mai 2017.
 En 2014, les FDI ont bombardé son quartier général à Gaza.
 En février 2020, Haniyeh a rencontré le président turc Recep Tayyip Erdoğan. Le département d’État américain a condamné cette rencontre, déclarant :
« L’ouverture continue du président Erdogan à cette organisation terroriste ne fait qu’isoler la Turquie de la communauté internationale, nuit aux intérêts du peuple palestinien et sape les efforts mondiaux pour empêcher les attaques terroristes lancées depuis Gaza. »
Le Hamas a également une mission officielle permanente et des bureaux en Russie.
Haniyeh est marié et a 13 enfants.
© Equipe de rédaction Israel247.org
Source : https://www.jewishpress.com

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3 Commentaires

  1. Vérité dit :

    Rien de nouveau chez les colons islamistes corrompus qui profitent des aides pour s enrichir en manipulant leur peuple afin de gagner encore plus de fric et essayer de massacrer du mécréant en l occurrence juif.

    Les dits palestiniens (a tord) menteurs dans leur âme sont des fausses vicos mais des vrais terroristes voleurs d histoire et de terre juive.
    Les musulmans sont les Colons historiques avec les 57 pays volés par les massacres aux peuples autochtones depuis le 7 eme siecle, ex: Liban, Arabie saoudite, algerie etc etc…MAIS, ils n auront pas ISRAËL !!!!!

  2. Franccomtois dit :

    Incroyable que le mondial de foot ai pu être refilé á un tel pays!La France a appuyé ce pays me semble t-il et puis vu les affaires de corruption qui touche l´administration européenne liées au Qatar,rien ne m´étonne.Mais comme on dit,l´argent n´a pas d´odeur.Tout cela finira par se payer!

  3. Franccomtois dit :

    Europe-Israel infos:

    Google prouve que le « peuple palestinien » est une invention récente qui n’existait pas avant les années 1970

    Concernant le peuple palestinien, deux auteurs, Guy Millière et David Horowitz, dans leur livre Comment le peuple palestinien fut inventé*, démontrent que le peuple palestinien est une invention récente, confirmant la recherche Google.
    Si la communauté internationale n’était pas devenue folle, elle ne refuserait pas de regarder la vérité en face. Mais voilà, cette vérité bouleverse un certain nombre « d’acquis » géopolitiques :

    Le premier est que le peuple palestinien n’existant pas avant 1960, la notion de Droit des peuples à disposer d’eux-mêmes régulièrement invoquée pour justifier la revendication d’un Etat palestinien sur la Palestine ancienne ne s’applique pas.
    Le second est que ce peuple ne peut revendiquer aucun lien historique – pré-1960 – avec Jérusalem. Ainsi, toutes les résolutions de l’UNESCO attribuant un patrimoine aux Palestiniens sont les travaux de faussaires, et leurs liens avec les lieux saints de Jérusalem ou de Bethléem, des mensonges.
    Le troisième est que les quelque 5 millions de « réfugiés palestiniens » comptabilisés par l’UNRWA ne sont pas des réfugiés palestiniens. Ce ne sont même pas des réfugiés. Au mieux, certains de leurs aïeuls étaient des travailleurs immigrés qui sont venus habiter la région. On ne fait pas un peuple avec des travailleurs immigrés venus de Syrie, d’Egypte, de Jordanie ou de plus loin encore.
    Le quatrième est intéressant car il jette de la lumière sur des questions restées sans réponses :
    pourquoi, avant la déclaration l’Etat d’Israël de 1948, les Arabes qui vivaient sur place n’ont jamais senti le besoin de se constituer en Etat ? Parce qu’ils ne ne voyaient pas, et n’étaient pas, un peuple.
    Pourquoi, lorsque la Jordanie a occupé la Judée Samarie pendant les 19 ans de 48 à 67, les Arabes de la région n’ont pas dénoncé l’occupation jordanienne de leurs terres ? Parce qu’ils ne voyaient pas cela comme leurs terres.
    Pourquoi l’occupation jordanienne ne leur posait-elle pas problème ? Pourquoi n’a-t-elle fait naître en eux aucune revendication ? Parce que c’était pour eux l’occupation de la Terre des juifs, pas la leur.
    Les Arabes ne se voyaient pas comme un peuple, encore moins comme un « peuple palestinien ». Ils n’avaient aucune revendication territoriale. La preuve ultime est que la première convention de la création de l’OLP ne parle même pas d’un Etat ou d’un peuple palestinien.

    Pour la plupart, les habitants de Judée Samarie se considéraient comme jordaniens, leur pays d’origine, pays qui venait d’ailleurs d’être créé sur le sol de Palestine. Et ceux de Gaza venaient d’Egypte. Ils n’avaient aucun problème avec une Jordanie occupant Jérusalem et la Judée : leur pays occupait l’endroit où ils habitaient, qui n’était pas jordanien.

    Le cinquième point est que si le besoin de se constituer en peuple n’est pas né, s’il ne s’agit pas d’un peuple au sens étymologique, c’est-à-dire un « ensemble d’êtres humains formant une communauté structurée, d’origine commune », mais d’un peuple « politique », alors c’est un peuple fabriqué en réaction à Israël. Est-ce un peuple moins légitime ? Pas forcément. Mais ce n’est pas un peuple à qui l’on ne peut attribuer ni passé, ni histoire, ni Terres ancestrales, ni aucun droit sur ces Terres. Et l’on ne peut pas dire qu’un autre peuple, les juifs, occupe « leurs » Terres – elles ne sont pas eux. Tout juste pourrait-on débattre des droits de la Jordanie, qui les ont perdus en 1967.
    Corollaire
    Puisque Google nous confirme que le peuple palestinien est inventé vers 1960, c’est de 1960 que date l’origine commune de ce peuple.
    Avant 1960, l’origine des Arabes de la région est à chercher ailleurs.
    Les « frontières de 67 » dont certains parlent, ne peuvent pas exister puisqu’il n’y a pas d’Etat de l’autre côté de cette « frontière ». Pas d’Etat, pas de frontière, pas d’occupant israélien d’un autre Etat, c’est une lapalissade.
    Il est impossible de se constituer en peuple en 1960, et de revendiquer une archéologie, une histoire, et des racines qui remontent 1000 ans plus tôt. (Sauf à nier la réalité, et bénéficier des complicités d’organismes internationaux comme l’ONU, l’UNESCO, l’UNWRA et l’UE).
    Conclusion
    Puisqu’il n’existe pas de peuple palestinien, les chercheurs et historiens ne devraient pas avoir trop de difficulté à tracer la provenance de ces personnes qui se sont, depuis 1960, constituées en peuple. Seulement ils ne veulent pas le faire, de peur de trop bien savoir ce qu’ils découvriraient.

    Combien d’entre eux sont venus des contrées voisines comme travailleurs immigrés, pour travailler dans les entreprises créées par les Juifs arrivés massivement d’Europe en Palestine ottomane au début de l’ère industrielle, dans la seconde moitié du 19e siècle ? Combien vivaient déjà sur place ? Les chercheurs ne veulent pas le savoir, craignant ce qu’ils pourraient découvrir.

    Ces deux groupes ont pourtant des liens et des droits bien différents avec cette partie de la Terre de Palestine. Les premiers, les travailleurs immigrés, n’en ont aucun, les seconds en ont … peut-être.

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