LES CONFESSIONS D’UN RECRUTEUR DE DJIHADISTES EN PRISON

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En prison, Chistopher s’est autoproclamé imam. En lien avec une cellule d’Al-Qaïda, il « retournait les cerveaux ». Anciens détenus, aumôniers et matons racontent le processus d’embrigadement à l’œuvre derrière les barreaux.
« Les surveillants m’appelaient Ben Laden… J’en ai retourné des cerveaux. »Christopher* a la voix posée et les épaules larges sans vraiment être costaud. A 37 ans, son visage est de ceux qui ne semblent jamais vieillir. L’homme tire ses derniers jours en semi-liberté. Il travaille la journée et dort en prison. Assis à la terrasse d’un café, cigarette au bec, le grand brun rembobine ses 20 ans à l’ombre. Derrière les barreaux, il était chef de bande. Ou plutôt « imam autoproclamé », en lien avec Al-Qaïda, à la tête d’un groupe de détenus radicalisés.
Un quotidien fait de prêches et d’entraînements « paramilitaires » en promenade. Karim Mokhtari a aussi connu ça. Il a 18 ans quand il tombe pour instigation de vol à main armée. Au contact d’un autre « imam autoproclamé », il se radicalise. Un processus d’embrigadement qui doit conduire les détenus à la lutte armée. « Mais ça, il ne faut pas en parler tout de suite », explique Christopher :
« Il faut attendre, prendre son temps, rentrer dans la tête du gars. Le djihad c’est la dernière étape du processus. »

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http://www.streetpress.com/sujet/1462180400-prison-recruteur-djihadistes-al-qaida

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3 Commentaires

  1. Yaacov dit :

    Ce lien est vraiement pourri et redirige que sur des pubs
    Street press a eviter pour vos lecteurs
    Merci

  2. capucine dit :

    il a retourné des cerveaux il n’a pas de quoi s’en vanter !!
    le ver pourri le fruit de l’intérieur jusqu’à ce qu’il tombe !

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