Les antisémites du BDS atteints de maladie de Charcot vont mourir

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Percée israélienne vers le traitement de la maladie de Charcot
Selon une étude réalisée par les doctorants Roy Maimon, Ariel Ionescu et Miguel Weil sous la direction du Dr. Eran Perlson de la Faculté de médecine de l’Université de Tel-Aviv, la destruction des neurones moteurs chez les patients atteints de SLA, provient de toxines sécrétées par les muscles. La maladie de Charcot est une maladie nerveuse dégénérative qui a notamment causé la mort du physicien Stephen Hawking,
Poursuivant leurs recherches, les chercheurs ont trouvé une molécule capable d’inhiber les gènes produisant ces toxines, et qui pourra donc servir au développement d’un médicament contre la maladie de Charcot, et par la suite peut-être contre d’autres maladies neuro-dégénératives, comme la maladie d’Alzheimer et celle de Parkinson.
Cette étude révolutionnaire, réalisée en collaboration avec le Prof. Oded Behar de l’hôpital Hadassah à Jérusalem, et qui donne un nouvel espoir aux patients atteints de cette maladie mortelle jusque-là incurable, a été publiée le week-end dernier dans la prestigieuse revue Journal of Neuroscience.
La SLA, sclérose latérale amyotrophique, aussi connue en France sous le nom de « maladie de Charcot », est une maladie neuro-dégénérative qui paralyse progressivement les muscles du corps, et mène finalement à la mort. En Israël, parmi les autres patients célèbres décédés de la maladie ces dernières années, on trouve l’industriel Dov Lautman et le présentateur Meir Einstein.
Comprendre les mécanismes de la maladie
« La SLA est une maladie dégénérative violente et mortelle qui n’a actuellement aucun traitement efficace », explique le Dr. Perlson. « Dans la plupart des cas elle touche les personnes âgées, mais elle peut également se manifester chez les jeunes. Les patients perdent progressivement leur capacité de bouger, de parler et d’avaler, et finissent par mourir à la suite d’une paralysie des muscles du système respiratoire. La paralysie est causée par la dégénérescence et la mort des motoneurones, qui conduisent les instructions du cerveau vers les muscles. Le premier site touché est la pointe de l’axone à son point de rencontre avec le muscle (synapse), mais à ce jour, les chercheurs n’ont pas compris la cause et le mécanisme de ce phénomène, ni surtout pourquoi, parmi toutes les cellules nerveuses du corps, ce sont justement les neurones moteurs qui sont affectés. Comprendre les mécanismes qui causent la maladie est essentiel pour le développement de futurs médicaments ».
Dans la première phase de l’étude, les chercheurs ont développé une puce particulière en silicium, sur laquelle il est possible de cultiver un système actif de neurones et de cellules musculaires, permettant d’effectuer une série d’expériences qui ne peuvent être réalisées sur un organisme. Dès les premiers essais, ils ont remarqué que contrairement aux cellules musculaires saines qui sécrètent des substances entrainant la croissance des cellules nerveuses, celles des patients atteints de SLA provoquent leur dégradation et leur dégénérescence. Ils en ont conclu que les cellules musculaires des patients atteints de SLA secrètent des toxines.
Après avoir numérisé toutes les protéines secrétées par le muscle du malade par rapport à celles d’un muscle en bonne santé, ils ont constaté une augmentation du niveau d’une protéine appelée sémaphorine, une toxine connue pour son action pendant le développement du système nerveux du fœtus, et dont le rôle est de détruire environ 50% des axones que produit l’embryon, qui sont en fait inutiles. En condition normale, la semaphorine est active principalement au stade embryonnaire. On sait, cependant qu’elle réapparaît dans une variété de cas pathologiques ou traumatiques, comme la maladie de Parkinson et la SLA, et après un accident vasculaire cérébral ou une lésion de la moelle épinière.
Une baisse du niveau de toxicité
Poursuivant leurs recherches, les chercheurs ont découvert que les cellules musculaires des malades de la SLA libèrent une grande quantité de sémaphorine vers leur point de rencontre avec les cellules nerveuses, contribuant ainsi à leur destruction. Ils ont également remarqué une augmentation du récepteur de la sémaphorine appelé NRP. Ils ont donc tout d’abord tenté de bloquer l’association entre la sémaphorine et le NRP par un anticorps, n’obtenant qu’un sauvetage incomplet des cellules nerveuses. Ce résultat partiel n’a pas satisfait les chercheurs, qui ont réalisé que probablement d’autres toxines étaient également secrétées par le muscle.
Ils ont donc cherché une ‘super-molécule’ qui soit capable d’inhiber tous les gènes provoquant la sécrétion par les cellules musculaires de toxines qui détruisent les cellules nerveuses. Utilisant une technologie de pointe de séquençage génétique, ils ont constaté que les niveaux de toxines diminuaient parallèlement à l’augmentation d’une molécule spécifique de type microARN connue sous l’appellation de miR126. L’ajout de cette molécule à la puce expérimentale a entraîné une grande amélioration de l’état des axones. A ce stade les chercheurs ont décidé de tester leurs hypothèses sur des souris de laboratoire, et on pu en effet constater l’effet positif de la molécule: réduction des toxines, amélioration de la structure cellulaire dans les tissus musculaires et à la jonction nerf- muscle (détruits par la maladie), et amélioration des tests de marche.
« Nous pensons que notre découverte représente une véritable percée dans le développement de médicaments efficaces contre la SLA, et par la suite éventuellement contre d’autres maladies neuro-dégénératives qui tuent des cellules nerveuses de différents types, comme la maladie d’Alzheimer et celle de Parkinson », conclut le Dr. Perlson. « En outre, la puce que nous avons développé pourrait constituer un outil efficace dans le domaine de la médecine personnalisée, car elle permettra de produire des cellules à partir du patient lui-même, et de créer à partir d’elles des systèmes sur des puces, sur lesquels on pourra tester les réactions aux divers médicaments. Cela permettra de trouver un traitement approprié rapidement et efficacement, sans exposer le patient à des traitements prolongés et inefficaces, et qui parfois même peuvent lui causer du tort ».

source :
http://www.ami-universite-telaviv.com/index.php/2013-05-26-08-41-51/recherche/sciences/medecine/892-perc%C3%A9e-de-l-universit%C3%A9-de-tel-aviv-vers-le-traitement-de-la-sla

happywheels

8 Commentaires

  1. Lys dit :

    Bravo à ces brillants chercheurs Israeliens !!
    Vraiment chapeau !!

  2. Haimpb67 dit :

    En tant que Doc ,vraiment respect car c est une maladie terrible 👏👏👏👏👏🇮🇱🇮🇱🇮🇱🇮🇱🇮🇱 . Par ailleurs le bds ne pourra en bénéficier à cause du boycott , il faudra qu ils attendent que les Palos de Gaza l invente!!! Ils vaut mieux qu ils achetent des fauteuils car à Gaza ils en sont au cerf volant pacifiste 😁 mais surtout bravo à ces chercheurs israéliens pour cette découverte et que ça aide tous les humains ! Sauf les antisémites et antisionistes .

  3. vrcngtrx dit :

    « Les antisémites du BDS atteints de maladie de Charcot vont mourir »
    de toute façon ils vont crever de la maladie de Charia

  4. Eretz dit :

    Metsuyan !! Kol Hakavod !!
    Cet excellent article explique plusieurs choses qu’on avait observé jusque là. Le déclenchement de la SLA est multifactoriel mais il est associé à un empoisonnement. Plusieurs sportifs de haut niveau (chocs + sollicitations excessives des muscles) l’ont dévéloppé. Mais pas les cyclistes.

  5. Ben dit :

    Merci à media part. Grâce à votre liste moi qui suis un français catholique je vais m’empresserai d’acheter en masse ces produits.
    https://www.google.fr/url?sa=t&source=web&rct=j&url=https://blogs.mediapart.fr/jjmu/blog/210714/liste-des-produits-disrael-boycotter&ved=2ahUKEwjQtdHk9qzbAhUiM5oKHWK5AHYQFjABegQICRAB&usg=AOvVaw2DzTQRKElKLzAwlXfPl_3q
    FUCK BDS !! Je vais en acheter des tonnes 😁

  6. zeev dit :

    Pire que la maladie de charcot, la maladie de la Charia : Avant de finir par en crever , tu en as tué plein autour de toi
    Serial killer,destructeur de la civilisation

  7. Pour rebondir sur la charogne putride de hawkins – que son nom soit effacé – sa « lumière » de petit boycotteur fut plutôt modeste, puisqu’il a déterminé que d’un trou noir ne s’échappent qu’un ou deux photons de temps à autre. Nous savons ainsi que les gravistars s’évaporent en un temps largement supérieur au délai d’existence du ‘olam haze ! Wouaouh la belle jambe !

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