Le réseau israéliens d’informateurs à Gaza ébranle le Hamas
Une recrue israélienne aurait par exemple reçu des chaussures de sport équipées de puces d’espionnage. « Ces chaussures lui permettaient de scanner les tunnels »
Les services secrets israéliens auraient développé un vaste réseau d’informateurs à Gaza, selon un rapport détaillé du journal arabe « Al-Sharq Al-Awsat ». Cette infiltration, fruit d’années d’efforts, soulève de sérieuses inquiétudes au sein du Hamas, inquiétudes accrues depuis la tentative d’élimination du numéro 2 de l’organisation Mohammed Deif.
« Israël s’appuie sur des informateurs sur le terrain depuis des décennies, » révèle une source citée dans l’article. « Des centaines de personnes liées aux services de sécurité israéliens ont été arrêtées au fil du temps. »
Depuis samedi dernier, le Hamas s’est lancé dans une « enquête approfondie » au sein de son appareil de renseignement pour découvrir qui aurait pu fournir des informations cruciales sur la localisation de Mohammed Deif, longtemps considéré comme intouchable. Les méthodes d’espionnage israéliennes s’avèrent aussi ingénieuses que variées, révèle l’article. Une recrue israélienne aurait par exemple reçu des chaussures de sport équipées de puces d’espionnage. « Ces chaussures lui permettaient de scanner les tunnels qu’il empruntait dans différentes zones du nord de la bande de Gaza, » précise l’article.
Plus alarmant encore, la collaboration ne se limiterait pas aux échelons inférieurs. « Des dirigeants de second et troisième rang, ont collaboré avec Israël, » indique une source. « Ils ont fourni des informations sur l’emplacement des dirigeants, les sites de production d’armes et de missiles, et même sur les tunnels. » En 2015, une jeune fille aurait été arrêtée pour son rôle dans une tentative d’assassinat contre Deif. Même si l’opération avait échoué à éliminer sa cible principale, elle a coûté la vie à la femme de Deif et à deux de ses enfants. Face à ces révélations, le Hamas tente de maintenir une façade de confiance. Un porte-parole de l’organisation déclare : « Nous travaillons selon le principe qu’il peut y avoir des failles à tout moment. Nous adoptons des mesures et une approche de sécurité complexe. » Il ajoute : « Il n’y a pas un seul endroit, au-dessus ou sous terre, où un leader reste longtemps. »
Source
https://www.i24news.tv/fr/actu/israel-en-guerre/artc-le-reseau-israeliens-d-informateurs-a-gaza-ebranle-le-hamas
Qu´Israel fasse le ménage et ménage ses informateurs hommes ou femmes pour ensuite les aider á prendre en main la politique palestinienne.La paix serait alors quasiment assurée,dans ces contrées muzz,rien ne peut être garantie á 100% malheureusement 😌.Dans tout les cas,prions pour que la paix se fasse en Israel et autours 🙏!
Puis vu comme c´est partis en Europe,il va falloir commencer á trouver des informateurs,le conflit que connait Israel ne devrait pas tarder á s´imposer chez nous donc…mieux vaut prévenir que guérir 🤬!
Voyez:
-Entretien avec Sophie Akl Chedid : libanisation de la France ?
https://youtu.be/nCfShXtElvQ?feature=shared
-Frère Rachid : Les Vérités dérangeantes sur l’Islam et la haine envers les chrétiens | TBN FR(juifs et Israel non oublié dans la video)
https://youtu.be/_YKNiRkYp3E?feature=shared
Certains pourraient me dire que je les postes souvent les videos ci-dessus,oui,mais des nouvelles personnes peuvent découvrir le site de la LDJ entre temps,donc pour eux c´est tout bénef 😁!
Nouvelle d´Algérie,point central pour les révolutionnaires du monde entier dixit la rima hassan(on la vois plus cette… 🤮🤬)
Le Point
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Algérie : un roman en langue arabe déchaîne une vague de haine
Article de Par Adlène Meddi • 18 h • 4 min de lectur
L’autrice et traductrice algérienne Inaâm Bayoud subit, depuis le 15 juillet, une violente campagne de haine et de dénigrement. Une campagne qui a fini par contaminer même le Parlement, où des députés islamistes et conservateurs (d’El Bina et du FLN notamment) ont saisi le Premier ministre pour « sévir » contre les « atteintes à la morale ».
Tout a commencé quelques jours après l’annonce, le 9 juillet, des lauréats du prix Assia-Djebar, parrainé par le président Abdelmadjid Tebboune. Dans la catégorie roman en langue arabe, le roman Houaria d’Inaâm Bayoud rafle le premier prix. Le récit suit Houaria, jeune femme qui affronte les milieux interlopes de sa ville, Oran, dans l’Ouest algérien, pendant les années 1990 marquées par l’insurrection islamiste. Sur les réseaux sociaux, des auteurs ? certains frustrés de ne pas être sur la liste des lauréats ?, des critiques, des journalistes et d’autres internautes ont violemment fustigé l’écrivaine lauréate.
« Pornographie »
Leurs griefs ? L’emploi, dans les dialogues, de mots crus, souvent à connotation sexuelle. « Un roman qui n’a rien de littéraire, plein de mots vulgaires et d’insultes contre la ville d’Oran qui a combattu la France et ce qu’elle a laissé traîner comme spermatozoïdes », assène le religieux Ahmed El-Djazaïri. « Il faut appliquer la loi : l’article 333 bis du Code pénal punit de deux mois de prison toutes productions écrites ou représentations contraires à la décence », appelle le « chercheur » Zine El Abidine Khodja. À LIRE AUSSI Daoud, Khadra, Sansal, etc., au poteau ! « Ce pseudo-roman incite à la débauche, à encourager l’homosexualité et la prostitution? Je ne peux faire entrer chez moi cette pornographie et risquer que ce torchon soit lu par mes enfants, ma femme, mes parents. Les autorités doivent l’interdire pour sauvegarder notre religion et la moralité de la société algérienne », s’insurge un autre internaute.
Ouragan d’intolérance
Les violences et la viralité des attaques ont poussé la maison d’édition MIM, qui a publié le roman, à annoncer sa fermeture le 16 juillet. « MIM a désormais fermé ses portes, contre le vent et contre le feu, lit-on dans le communiqué de cette maison d’édition, dont des romans en arabe avaient raflé des prix littéraires à l’international. Nous n’étions que des défenseurs de la paix et de l’amour et nous ne cherchions qu’à partager cela. Préservez le pays de la discorde et préservez le livre, car un peuple qui lit est un peuple qui ne peut être ni asservi ni affamé. » Entre-temps, des députés d’El Bina (islamiste) et du FLN ont officiellement saisi par écrit le Premier ministre Nadir Larbaoui pour « agir fermement contre cette atteinte à la morale et à l’unité des Algériens ».
À LIRE AUSSI Présidentielle algérienne : une leader de l’opposition jette l’épongeCet ouragan d’intolérance a provoqué une autre vague de commentaires sur les réseaux sociaux et dans les médias. « Je m’arroge le droit de pousser ce coup de gueule, car ces incultes ne savent pas que sans la transgression du triangle interdit, sexe, politique et religion, la littérature ne serait pas la littérature mais une ?uvre de bienfaisance de Dame patronnesse », a réagi l’auteur et éditeur Lazhari Labter, signataire, aux côtés d’autres intellectuels, d’une pétition de soutien à Inaâm Bayoud et à la maison d’édition MIM.
« Je rends hommage à cette romancière qui a pu casser les tabous trop sacralisés. Illustrer le vécu tel qu’il est dans les ?uvres littéraires n’est pas une tâche si simple pour l’actuel écrivain algérien? Inaâm Bayoud a donné l’image d’une femme authentique, audacieuse, tout en assumant tout simplement son rôle de romancière », poste un enseignant.
Descriptions crues du réel
« Aux nouveaux Janissaires [?] je dis : lisez attentivement les textes avant de leur balancer une machette qui aveugle la vue et la perspicacité [?], le texte n’est pas un espace religieux, social ou psychologique, c’est tout cela ensemble. Ce n’est pas pour rien que les critiques font la différence entre deux concepts : personne et personnalité », a commenté l’écrivain Waciny Laredj.
« Lors du procès de la tentative d’assassinat de Naguib Mahfouz, le juge a demandé à l’homme qui a poignardé l’écrivain : ?Pourquoi l’avez-vous poignardé ?? Le terroriste a déclaré : ?À cause de son roman Les Enfants de notre quartier.? Le juge lui a demandé : ?Avez-vous lu ce roman ?? Le criminel a dit : ?Non? », rappelle un internaute.
À LIRE AUSSI Voici pourquoi il faut lire « L’Algérie de Macron » Des intellectuels et écrivains ont également rappelé que la littérature algérienne, et arabe en général, est foisonnante de descriptions crues du réel et des personnages. Pour un internaute, il est « presque normal que les haineux se déchaînent : le prix porte le nom d’une femme, Assia Djebar, il est décerné à une femme, Inâam Bayoud, éditée par une femme, Assia Moussai ! » « Et ça parle d’une femme », ajoute un commentaire?
🙏✝✡👍💪
Bravo Franccomtois 👏🏻👏🏻
Vérité 👍🙏🙂,bonne soirée á vous.
Le Hamas à Gaza ..
Il a un gros défaut ….il parle trop .
Et Israël a lui aussi un gros défaut…
Il a de grandes oreilles .