Le propalestinien Edgar Morin dénigre les caricatures “grossières” de Charlie Hebdo et juge qu’il faut “mesurer les conséquences de sa liberté d’expression”
Edgar Morin sur les caricatures de @Charlie_Hebdo_ : "Ce n'était pas la liberté française. C'était seulement de grossières caricatures."#Europe1 pic.twitter.com/CXZD6VOUiL
— Europe 1 🎧🌍📻 (@Europe1) November 23, 2020
Edgar Morin : les divagations antijuives d’un grand vieillard
4 septembre 2015 Tribune Juive
Edgar Morin, de son vrai nom Edgar Nahum, est né à Paris en 1921. Sa famille était originaire de l’illustre communauté juive de Salonique, en Grèce.
Sociologue et philosophe, c’est un intellectuel apprécié et écouté. Mais lorsqu’il évoque son identité ou sa vision d’Israël, toute réflexion est bannie. Il n’obéit plus qu’à ses pulsions haineuses.
Ses positions ressemblent à celles des propagandistes du nouveau fascisme français : l’« humoriste » Dieudonné et son inspirateur, l’essayiste « rouge-brun » Alain Soral.
Edgar Morin a d’ailleurs eu, lui aussi, des déboires judiciaires pour incitation à l’antisémitisme et au terrorisme.
Ennemi juré du sionisme, il prétend que l’existence d’Israël découle purement et simplement de la culpabilité de l’Occident après la Shoah.
Une injuste « compensation » à ses yeux. Plus encore : en occupant la Terre Sainte, les Juifs se rendraient coupables d’« ingratitude » à l’égard des musulmans qui les auraient « toujours protégés ». Deux contre-vérités historiques qui n’embarrassent nullement ce grand érudit.
Depuis une quinzaine d’années, il ne cesse de signer ou cosigner des publications anti-israéliennes, en compagnie d’écrivains appartenant à la sphère islamo-gauchiste, comme Sami Naïr, Tariq Ramadan ou Danièle Sallenave, soutiens du Hamas et du Hezbollah.
En vieillissant, il semble atteint du même syndrome que Jean Daniel ou feu Stéphane Hessel : sa haine grandit, son obsession croît au point d’occuper son esprit en permanence.
Il alimente notamment les colonnes du sinistre Monde Diplomatique, mensuel antijuif survivant d’un tiers-mondisme radical qui a quasiment disparu ailleurs en Europe, mais qui trouve encore des adeptes dans l’extrême gauche française.
En vérité, Edgar Morin a une idée bien précise de son identité, même si son inculture abyssale en matière de judaïsme est flagrante : « Je romps avec le peuple élu, a-t-il écrit, mais je demeure dans le peuple maudit ». En effet, le philosophe se vit comme un « post-marrane », incarnation contemporaine de ces Juifs de la péninsule ibérique naguère convertis au christianisme, contraints d’oublier peu à peu leurs traditions ancestrales.
La problématique soulevée par Edgar Morin est double. D’une part, contrairement aux marranes, personne ne l’a forcé à renier ou ignorer la foi et les principes de vie de ses aïeux. En second lieu, il fait de cette ignorance non pas un sujet de honte – ce qui serait normal pour un intellectuel, par définition curieux -, mais au contraire un étendard ! Il souhaiterait que tous les Juifs soient comme lui, des « Juifs non-juifs », selon l’expression de son ami Jean Daniel qu’il a souvent reprise à son compte.
Pour résumer : selon Edgar Morin, un Juif s’assumant comme tel et attaché à l’histoire de son peuple serait un… mauvais Juif. Le « bon Juif », dans son esprit, est l’israélite assimilé (version 19ème siècle), invisible et hostile à toute revendication nationale ou cheminement spirituel rappelant, de près ou de loin, cette judéité honnie.
En d’autres termes, le philosophe s’inscrit dans la droite ligne de l’antijudaïsme chrétien qui a donné naissance à l’antisémitisme moderne : les Juifs ne sont tolérables qu’à condition de se renier eux-mêmes. Cachés, persécutés, « maudits », ils sont sympathiques. En s’organisant en communautés ou en Etat-nation, à l’instar des Israéliens, ils sont affublés de tous les défauts du monde. Ainsi, Edgar Morin n’hésite pas à écrire, à propos du « cancer israélien » : « Les Juifs de ce pays, descendants des victimes d’un apartheid nommé ghetto, ghettoïsent les Palestiniens ». Un raccourci saisissant qui est aussi l’« argument », ou plutôt le prétexte favori des mollahs iraniens et de ceux qui souhaitent, à travers la planète, la disparition d’Israël.
Norbert Cohen, écrivain et journaliste
on croirait un cousins a biden
Nahum alias Morin tout est dit: un gros connard
Vieux con! La haine de soi et des valeurs de la République.
tout est dit dans cet article ! et fort bien dit !mais en fait ce genre d individu ne compte pas !sauf peut etre sarko qui l avait reçu a l elysèè !quelle connerie ! une de plus !
Quelle honte !
Renegat , lache traitre ! soumis a l ennemi !
J espere qu Israel ne le laissera jamais souiller son sol
Israel pays des lumieres