Le parquet antiterroriste saisi par des élus parisiens après un tweet de Rima Hassan

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Le vendredi 18 octobre, Rima Hassan a fait l’objet d’un signalement au parquet antiterroriste à la suite d’un message publié sur X, dans lequel elle mentionnait « la résistance armée du peuple palestinien ». Ce signalement a été initié par deux élus du XVIIe arrondissement de Paris.
Deux élus de la mairie du XVIIe arrondissement de Paris ont signalé, ce vendredi 18 octobre, un tweet de Rima Hassan au parquet antiterroriste. Aurélie Assouline, adjointe au maire et présidente du collectif 7 Octobre, a partagé la lettre de signalement, qu’elle a signée conjointement avec Jean-Christophe Martin, conseiller municipal. Dans ce courrier, ils dénoncent un message publié sur X par l’eurodéputée de la France insoumise.
« La résistance armée du peuple palestinien est légitime […] face à ce qu’est Israël : un régime génocidaire et colonial dont l’objectif est d’aboutir à un nettoyage ethnique des Palestiniens », avait alors écrit le jeudi 17 octobre Rima Hassan. Les deux élus parisiens dénoncent une provocation directe à des actes de terrorisme.

« Madame Rima Hassan, coutumière des propos polémiques, n’hésite désormais plus à glorifier et encourager ce qu’elle qualifie de résistance du peuple palestinien de façon publique », écrivent Aurélie Assouline et Jean-Christophe Martin. Ces propos sont, d’après eux, « de nature à troubler gravement l’ordre public ».
La provocation directe à des actes de terrorisme en ligne est passible de sept ans de prison et d’une amende de 100 000 euros. À ce jour, Rima Hassan n’a pas encore réagi à la publication du courrier.



SOURCE
valeursactuelles.com

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2 Commentaires

  1. Paul06 dit :

    Les islamistes ont investi la France grâce à melenchon… avant de l’ occuper.

  2. Juan dit :

    « Les islamistes ont investi la France grâce à melenchon… avant de l’ occuper. » Pas exactement. C’est Mitterrand qui a pris l’initiative d’implanter 150 quartiers du Front Islamique du Salut en France en 1991-1992 pour, délibérément, par un calcul politique avoué, « salafiser les quartiers » (sic). A l’époque, Mélenchon n’était qu’un porte-coton sans autonomie décisionnelle.

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