Le pape François ose évoquer « des accusations de génocide» à Gaza

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Le pape François si discret sur les très nombreux actes de pédophilie au sein de l’église depuis des siècles évoque les accusations de « génocide » à Gaza visant Israël, dans un livre à paraître et dont des extraits ont été publiés dimanche en Italie. « D’après certains experts, ce qui se passe à Gaza a les caractéristiques d’un génocide. Il conviendrait d’étudier cela attentivement afin de déterminer si (la situation) correspond à la définition technique formulée par les juristes et les organismes internationaux », estime le pape.

Ces propos sont tirés du nouveau livre de François, L’espérance ne déçoit jamais. Pèlerins vers un monde meilleur, à paraître mardi en Italie, en Espagne et en Amérique du Sud, et dont le quotidien La Stampa a publié dimanche des extraits.
Le silence du Pape sur les persécutions des chrétiens en Lybie, au Pakistan ,en Afghanistan ou en Iran en dit long sur son courage.


Jeudi, un comité spécial des Nations unies a publié un rapport estimant que les méthodes de guerre employées par Israël « correspondent aux caractéristiques d’un génocide ». Ce rapport, qui doit être présenté à l’Assemblée générale de l’ONU à New York, a déjà été condamné par les États-Unis. Le comité spécial de l’ONU, chargé d’enquêter sur les pratiques israéliennes dans les Territoires palestiniens occupés, existe depuis 1968.
L’Afrique du Sud pro Hamas a notamment intenté une procédure en ce sens devant la Cour internationale de justice (CIJ), avec le soutien de plusieurs autres pays, dont la Turquie, l’Espagne et le Mexique.

Il boit du Canada Dry le pape ? Parce que ce n’est pas un genocide, c’est une guerre. Qu’il use de son influence pour faire libérer les otages et cette guerre pourra s’arrêter

happywheels

4 Commentaires

  1. Franccomtois dit :

    C´est pas 10 ans d´échecs,c´est l´apparition de cette secte idolâtre,génocidaire,adepte du blasphême,drag-queen,pilleuse et de bien d´autres saloperies qui a fait souffrir l´humanité!Des représentants de commerce véreux qui utilisent Dieu pour s´en mettre plein les fouilles!Lá je ne parle pas des cathos qui croient sincerement á Dieu et qui sont dupés par les crevures déguisées en habit de carnaval!Mandarom-église de Rome kif-kif bourricot 🤬!!!

    Romains 3:13
    Leur gosier est un sépulcre ouvert; Ils se servent de leurs langues pour tromper; Ils ont sous leurs lèvres un venin d’aspic;

    🙏La paix pour toutes et tous,d´oú que nous venions.

  2. David92 dit :

    Le Vatican n’a jamais été un exemple de moralité et il ne cesse de donner des leçons aux autres .
    Souvenons nous des Borgia et de Savoranole .
    Qu’il aille se reposer à Castel Gondolfo et qu’il nous oublie .

  3. josué bencanaan dit :

    Et son rôle extrement douteux quand il y a eu la junte au pouvoir en Argentine, il en parle pas ??

    • liguedefensejuive dit :

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      https://www.lemonde.fr/international/article/2013/03/16/la-polemique-sur-les-annees-de-plomb-en-argentine_1849406_3210.html

      Le rôle de Jorge Mario Bergoglio, le pape François, pendant la dictature militaire (1976-1983) fait l’objet de controverse depuis plusieurs années à Buenos Aires. A l’origine, le directeur du quotidien progouvernemental Pagina 12, Horacio Verbitsky, avait publié, en 2005, un livre polémique, El Silencio (non traduit), où il dénonce la complicité de l’Eglise catholique argentine avec les militaires.

      Le journaliste accuse en particulier Jorge Bergoglio, qui était à l’époque responsable de la Compagnie de Jésus en Argentine, d’être impliqué dans l’enlèvement de deux jeunes prêtres jésuites qui travaillaient dans un bidonville, en 1976. Torturés pendant cinq mois, Orlando Yorio et Francisco Jalics avaient été remis en liberté et s’étaient exilés. Le premier est mort en 2000, le second vit en Allemagne. Dans un communiqué publié, vendredi 15 mars, sur le site Internet des jésuites en Allemagne, ce dernier déclare qu’il ne peut « prononcer sur le rôle du père Bergoglio dans ces événements ». Il indique aussi avoir eu « l’occasion de discuter des événements avec le père Bergoglio qui était entre-temps devenu archevêque de Buenos Aires. Nous avons ensemble célébré une messe publique (…). Je considère l’histoire comme close », a-t-il précisé.
      source
      https://www.lemonde.fr/international/article/2013/03/16/la-polemique-sur-les-annees-de-plomb-en-argentine_1849406_3210.html

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