Le livre d’Hitler trouvé à Gaza exposé à la Marche des Vivants
Davidi Ben Zion, représentant du KKL-JNF à la Marche des Vivants à Budapest, montre aux participants l’exemplaire de « Mein Kampf » trouvé dans la maison d’un commandant du Hamas à Khan Yunis.
Davidi Ben Zion, représentant du KKL-JNF à la Marche des Vivants à Budapest, a présenté dimanche lors de son discours un exemplaire du livre « Mein Kampf », écrit par le leader nazi Adolf Hitler et trouvé pendant la guerre dans la maison de un commandant du Hamas à Khan Yunis.
Le major (res.) Ben Zion, qui a combattu à Gaza, a spécifiquement apporté avec lui le livre traduit de l’allemand vers l’arabe et trouvé par ses soldats pendant la guerre des Épées de Fer. Le livre a été présenté aux quelque 8 000 participants à la Marche des vivants et devant les caméras des médias internationaux.
« Il y a quelques mois, alors que nous servions à Gaza, nous sommes tombés sur un rappel effrayant du chapitre le plus sombre de l’humanité : Mein Kampf. Nous avons trouvé ce livre au domicile d’un commandant du Hamas dans la ville de Bani Suheila à Khan Yunis, « , a déclaré Ben Zion.
Il a ajouté : « Aujourd’hui, alors que nous participons à un rassemblement de solidarité avec le peuple juif, nos cœurs vont aux courageux soldats de Tsahal, qui se tiennent au front et défendent notre patrie contre le terrorisme et la haine dans tous les secteurs. Nos pensées et nos prières vont à nos frères kidnappés, victimes innocentes retenues captives par l’organisation terroriste Hamas à Gaza dans des conditions inhumaines. Nos cœurs souffrent avec leurs familles et nous espérons tous leur retour bientôt sain et sauf.
« Lorsque nous racontons les luttes et les victoires du peuple juif, nous nous souvenons de la résilience de l’esprit humain et de l’immense pouvoir de l’espoir. Alors que nous commémorons Yom Hashoah ici à Budapest, nous nous engageons à ne jamais oublier les horreurs du passé et de se tenir en garde contre les forces de la haine et du mal qui menacent de nous nuire encore et encore », a poursuivi Ben Zion.
Ben Zion a écrit plus tard sur les réseaux sociaux : « Il y avait une chose que je savais que j’emporterais avec moi de Khan Yunis à la Marche des Vivants à Budapest. C’était le livre Mein Kampf d’Hitler, que nous avons trouvé dans la maison d’un commandant du Hamas. Aujourd’hui, dans mon discours, devant 8 000 participants à la Marche des Vivants, j’ai présenté le livre nazi trouvé à Gaza. Le monde doit se souvenir et comprendre. Les nazis sont toujours là, ils changent simplement de style et de langage. d’Israël sont là pour toujours. Bien sûr, un manifestant pro-palestinien a interrompu mon discours, reliant la négation du massacre commis par le Hamas à la négation de l’Holocauste. Je lui ai répondu à la fin de mon discours : Am Yisrael Chai. »
Source
https://www.israelnationalnews.com/
Mein Kampf en arabe est la traduction en arabe du livre d’Adolf Hitler connu en allemand sous le titre Mein Kampf (Mon combat), qui combine autobiographie avec un exposé de ses vues politiques.
L’ouvrage a été traduit à plusieurs reprises depuis le début des années 1930, sous le titre كفاحي, Kifāḥī.
Les premiers essais de traduction de Mein Kampf en arabe datent du début des années 1930, avec les premiers extraits du livre apparaissant dans les journaux arabes en 19341, notamment en Irak2. Fritz Grobba, l’ambassadeur du Reich au royaume d’Irak, lance le projet de traduire le livre en entier en arabe1. Grobba suggère de modifier le texte « de façon à correspondre aux sensibilités des Arabes concernés par la race ». Il propose de changer le mot « antisémitisme » par « antijuif » et de modérer les arguments sur la suprématie de la race aryenne1.
Hitler va mettre deux ans avant d’accepter les modifications de son livre dans sa version arabe, mais Bernhard Moritz, un arabiste, consultant pour le gouvernement allemand, rejette la traduction proposée, ce qui met provisoirement fin à ce projet1,3.
Par la suite, le ministère de la Propagande allemand décide de faire traduire le livre par la librairie allemande Overhamm du Caire3. Le traducteur est Ahmad Mahmud al-Sadati, un musulman et l’éditeur d’un des premiers livres en arabe sur le nazisme : ادولف هتلر : زعيم الاشتراكية الوطنية مع بيان المسألة اليهودية (Adolf Hitler : za’im al-ishtirakiya al-waṭaniya ma’a bayan lil-mas’ala al-yahudiya, « Adolf Hitler, chef de file du national-socialisme, avec des explications sur la question juive »)3. Le manuscrit est présenté pour révision au Dr Moritz en 1937. Une nouvelle fois, celui-ci rejette la traduction.
Malgré cela, Al-Sadati publie sa traduction de Mein Kampf au Caire en 1937 sans l’accord des Allemands3. Selon l’historien israélien, Yekutiel Gershoni, et le professeur à l’université du Colorado à Boulder, James Jankowski, la traduction de Sadati n’a pas eu un grand succès commercial4 mais un hebdomadaire arabe local a publié un des commentaires d’Hitler sur les Égyptiens, disant que ceux-ci étaient « un peuple décadent composé d’impotents1. »
Cette remarque souleva une forte indignation. Hamid Maliji, un procureur égyptien écrivit : « Amis arabes […] Les copies en arabe de Mein Kampf, distribuées dans le monde arabe, ne sont pas conformes à l’édition originale en allemand car les instructions données aux Allemands nous concernant ont été supprimées. De plus, ces passages ne révèlent pas sa [Hitler] véritable opinion nous concernant. Hitler affirme que les Arabes sont d’une race inférieure, que l’héritage arabe provient d’un pillage des autres civilisations, et que les Arabes n’ont ni culture ni art, ainsi que d’autres insultes et humiliations qu’il déclame contre nous5. »
Un autre commentateur, Niqula Yusuf, dénonce le nationalisme militant de Mein Kampf comme « chauviniste ».
Le journal égyptien al-Isala, qui rejette le nazisme dans plusieurs de ses articles, remarque que : « ce sont les tirades d’Hitler dans Mein Kampf qui transforment l’antisémitisme en une doctrine politique et un programme d’action6. »
Un diplomate allemand au Caire suggère qu’au lieu de supprimer les passages offensants pour les Arabes, il serait préférable d’ajouter une note à l’introduction, indiquant que « le peuple égyptien se trouve à différents niveaux de développement et que les Égyptiens situés à un niveau élevé, ne veulent pas eux-mêmes être placés au même niveau que leurs nombreux concitoyens du bas de l’échelle1 ». Otto von Hentig, un membre du ministère des Affaires étrangères allemand, propose que la traduction soit refaite dans un arabe plus littéraire. Pour lui : « Une très bonne traduction arabe serait accueillie avec une formidable sympathie dans tout le monde arabophone, du Maroc à l’Irak1. »
Elle doit être rédigée dans « un style que tous les Musulmans comprennent : celui du Coran1 ». Finalement, la traduction est envoyée à Chekib Arslan, un émir druze originaire du Liban, exilé à Genève (Suisse). Arslan, dénommé le prince de l’éloquence, possède une grande maîtrise de la langue arabe. Il est le fondateur et éditeur du journal La Nation arabe et est aussi un confident de Mohammed Amin al-Husseini, grand Mufti de Jérusalem et chef religieux et nationaliste en Palestine mandataire, qui rencontra Hitler1.
La traduction de 960 pages d’Arslan est presque terminée quand les Allemands demandent une estimation du coût d’impression des premiers 10 000 exemplaires, avec le titre et le texte du dos de la reliure en toile en lettres d’or3. Le 21 décembre 1938, le projet est rejeté par le ministère de la Propagande allemand en raison du coût trop élevé de la publication1
Une nouvelle traduction est publiée en 1963, traduite par Luis al-Haj, un criminel de guerre nazi, de son vrai nom Luis Heiden, qui a fui en Égypte après la Seconde Guerre mondiale. Le livre est republié en 1995 par les éditions Bisan de Beyrouth avec une couverture arborant une croix gammée et la photo d’Hitler7. En un an, le livre a été vendu à 2 500 exemplaires8.
Selon un rapport du 8 septembre 1999, de l’Agence France-Presse, Mein Kampf se situe au sixième rang des meilleures ventes de la librairie Dar el-Shuruq à Ramallah, mais avec des ventes inférieures à 10 livres par semaine9,10. Le propriétaire de la librairie attribue sa popularité au fait que le livre est indisponible dans les territoires palestiniens en raison de l’interdiction d’Israël, et que l’Autorité nationale palestinienne vient juste d’en autoriser la vente10,7,11.
Depuis avril 2002, les marchands de journaux sur Edgware Road à Londres, un quartier à forte population arabe, vendent cette traduction de Mein Kampf7. En 2005, le Intelligence and Terrorism Information Center, un groupe de réflexion israélien, confirme la vente de l’édition de Bisan dans les librairies de Edgware12. En 2007, un reporter de l’Agence France-Presse interviewe Mahmoud Abdallah, le représentant de la maison d’édition syro-égyptienne, al-Kitab al-Arabi, à la Foire internationale du livre du Caire, qui lui confirme avoir vendu beaucoup de copies de Mein Kampf, et plus particulièrement parmi le public des 18 à 25 ans
Un des dirigeants du Parti Baas syrien, Sami al-Jundi, écrit : « Nous étions racistes, admirant le nazisme, lisant ses livres et la source de ses idées […] Nous étions les premiers à penser traduire Mein Kampf. » Cette déclaration de 1939 est inexacte. Il y a eu d’autres traductions ou traductions partielles du livre avant 19393.
Selon Jeffrey Herf, professeur à l’université du Maryland : « Il est certain que les traductions de Mein Kampf d’Hitler et des Protocoles des Sages de Sion en arabe furent d’importantes sources de diffusion de l’idéologie nazie et de la pensée antisémite du complot parmi les intellectuels arabes et musulmans. Bien que les deux textes soient valables en différentes éditions arabes avant le début de la guerre, ils n’ont joué qu’un faible rôle dans la propagande arabe du Troisième Reich1. »
Mein Kampf a été désigné comme une forme d’influence du nazisme chez les nationalistes arabes. Selon Stefan Wild de l’université de Bonn, le concept du national-socialisme d’Hitler — un État dirigé par un seul chef fort et charismatique avec un peuple soumis et adorateur — a été un modèle pour les fondateurs du mouvement nationaliste arabe.
« Les Arabes ont préféré l’Allemagne aux autres puissances européennes car l’Allemagne était vue comme n’ayant aucune ambition coloniale ou territoriale dans la région. Ceci était un important sujet de sympathie. Ils voient aussi qu’en Allemagne, la Nation allemande a la préséance sur l’État allemand. Ce sera un modèle pour leur propre mouvement »
En octobre 1938, des plaquettes anti-juives comprenant des extraits de Mein Kampf sont distribués à une conférence parlementaire islamique pour la défense de la Palestine au Caire14,3,15.
Dans un discours devant l’Organisation des Nations unies (ONU), immédiatement après la crise du canal de Suez en 1956, le premier ministre d’Israël, Mme Golda Meir, déclare que des traductions en arabe de Mein Kampf ont été trouvées dans les paquetages de soldats égyptiens.
Les manuels israéliens d’histoire, publiés peu après la guerre, présentent une photographie d’un livre de Mein Kampf trouvé dans un avant-poste égyptien pendant la guerre. Le professeur Elie Podeh du Département des études islamiques et Moyen-orientales de l’université hébraïque de Jérusalem pense que la photographie est probablement réelle, mais qu’elle a « servi à déshumaniser l’Égypte et plus précisément Nasser, en l’associant aux nazis
13/11/2023 :Isaac Herzog : une copie arabe de « Mein Kampf » trouvée sur un terroriste du Hamas montre ce qu’est la guerre
happywheels
😉Déjá posté pour un autre article,mais tellement instructif:
Abnousse Shalmani: “Rappelons aux étudiants que la révolution en Iran est née de la jonction entre communistes et islamistes”
2 mai 2024 Tribune Juive Entretien 0
Entretien mené par Alexandre Devecchio
ENTRETIEN – Dans son dernier essai, Laïcité, j’écris ton nom, l’écrivain d’origine iranienne fait l’éloge de l’humanisme et de l’universalisme. Autant de valeurs aujourd’hui menacées face à la montée de l’islamisme, alerte-t-elle.
LE FIGARO. – Vous dédiez votre livre aux 1 160 victimes des pogroms du 7 octobre 2023. Pourquoi ? Cet événement a-t-il été trop vite oublié ?
ABNOUSSE SHALMANI. – Les pogroms et les otages ont été très rapidement occultés par un discours militant islamiste nourri par une haine ahurissante. Les jours qui ont suivi les pogroms, nous avons vu des militants, jeunes et moins jeunes, arracher les affiches représentant les visages des otages. Ce geste négationniste doublé de la joie mortifère de trop de populations arabo-musulmanes, mais pas seulement, en Indonésie, au Yémen, en Tunisie, jusqu’en Allemagne, où une distribution de bonbons a été organisée pour « célébrer » les massacres du 7 octobre, ou dans les universités américaines, où l’attaque terroriste était transformée en « acte de résistance », m’a d’autant plus motivée dans ma volonté de demeurer, envers et contre tout, une humaniste. On ne danse pas sur des cadavres, on ne s’enthousiasme pas de la mort de civils, on n’amalgame pas résistance et massacre.
Que vous inspirent les blocages de Sciences Po ? Manifestation légitime de soutien au peuple palestinien ou illustration de la dérive islamo-gauchiste d’une partie de l’enseignement supérieur ?
S’il est naturel pour un étudiant et même initiatique de manifester, de s’opposer, de résister, s’il est même formateur de se rebeller, ce n’est pas ce qui se passe dans les universités occidentales face au conflit Israël-Hamas. Ce que je vois et entends n’est pas une défense des Palestiniens mais une haine d’Israël qui flirte dangereusement avec l’antisémitisme. Clamer « From the river to the sea Palestine will be free » ne veut rien dire d’autre qu’« Israël doit disparaître de la carte ». Quand les étudiants se peignent les mains en rouge, reproduisant le geste de deux tueurs palestiniens, à Ramallah en 2000, après avoir démembré et tué deux Israéliens, on ne peut pas dire « on ne savait pas », on participe à un discours islamiste moribond qui ne veut pas la paix, mais la disparition d’Israël et des Juifs.
J’aurais aimé voir tous ces étudiants manifester leur dégoût après la destruction du camp palestinien historique de Yarmouk en Syrie par Bachar el-Assad en 2018 et qui est considéré par les 100 000 Palestiniens qui ont dû fuir les bombardements et la faim comme une deuxième Nakba ; j’aurais aimé les voir marcher pour les 377 000 morts de la guerre au Yémen, ou pour défendre les Ouïgours de Chine ou les Rohingyas de Birmanie, victimes de massacres et de génocide culturel. J’aurais tant aimé les entendre crier pour la liberté des Iraniens qui se battent si courageusement contre la mollahrchie, ou en soutien aux démocrates du Sud-Est asiatique. J’aurais aimé qu’ils manifestent en 2007 quand le Hamas arrive au pouvoir à Gaza et tue les membres de l’opposition, défenestre les homosexuels, ferme l’université des Beaux-Arts, détourne l’aide humanitaire et embrigade la jeunesse dans la haine antisémite. J’aurais aimé qu’ils prennent soudain conscience de leur inculture après avoir reçu le soutien de l’ayatollah Khamenei. J’aurais aimé voir des étudiants qui sont l’élite de demain être à hauteur d’humanisme mais ils se vautrent dans l’antisémitisme en s’appropriant la doxa islamiste.
Vous rappelez la tribune cosignée par Élisabeth Badinter, Régis Debray, Élisabeth de Fontenay, Alain Finkielkraut et Catherine Kintzler publiée en 1989 dans Le Nouvel Observateur après la première affaire du voile de Creil. Si le gouvernement et l’ensemble de la société avaient réagi à l’époque, aurions-nous pu éviter les assassinats de Samuel Paty et de Dominique Bernard ?
Je n’aime pas réécrire l’histoire – sauf dans mes romans – mais nous avons été lents, trop lents à réagir. Je ne cesse de relire cette tribune de 1989 : « Et s’ils demandent demain que l’étude des Rushdie (Spinoza, Voltaire, Baudelaire, Rimbaud…) qui encombrent notre enseignement soit épargnée à leurs enfants, comment le leur refuser ? » et nous y sommes, quand des professeurs alertent sur le refus de leurs élèves de visiter le Musée d’Orsay – car trop de nus heurtent les regards – ou celui d’étudier Flaubert – car trop de péchés encombrent Madame Bovary. Ce que nous aurions pu éviter, c’est d’abandonner les citoyens français musulmans à la pression communautaire des islamistes. Ce que nous aurions dû éviter, c’est de laisser les islamistes amalgamer musulmans et islamistes. Ce que nous payons, c’est notre lâcheté et notre peur devant le discours culpabilisateur et mensonger des islamistes, qui ont non seulement transformé nos valeurs universalistes et républicaines en « islamophobie », mais musèlent les citoyens français musulmans dans une illusion communautaire qui dessert tout le monde.
Ce que nous sommes en train de vivre actuellement en France avec l’alliance entre les islamistes et les gauchistes est-il un scénario comparable à celui de la Révolution islamique ?
La révolution islamique de 1979 a été possible grâce à la jonction entre les communistes et les islamistes au nom de l’anti-impérialisme. Après la révolution, Khomeyni n’a pas hésité : il a emprisonné et exécuté ses alliés communistes sans l’ombre d’un doute. Plus tard, en 1999 précisément, un marxiste britannique, Chris Harman, publie Le Prophète et le Prolétariat, où il théorise l’islamo-gauchisme : « Sur certaines questions, nous serons du même côté que les islamistes contre l’impérialisme et contre l’État, notamment en France et en Grande-Bretagne. Là où les islamistes sont dans l’opposition, nous devons être avec les islamistes parfois, avec l’État jamais. » L’islamo-gauchisme est un opportunisme vicieux qui finit toujours par dévorer la gauche.
Est-ce que le combat pour la laïcité est suffisant dans le contexte actuel ?
La laïcité, c’est « la fin du réprouvé », disait Jaurès. La laïcité, c’est la promesse républicaine incarnée : quelles que soient nos différences de naissance, de sexe, d’ethnie, de religion, nous sommes frères et sœurs en humanité. C’est révolutionnaire et puissant. La laïcité est une arme suffisante car elle dit l’universalisme et l’humanisme dans le même mouvement, elle nous offre la possibilité du choix, donc de la liberté individuelle, elle réunit sous le même drapeau et sans discrimination tous les citoyens qui signent le pacte républicain. C’est le pacte républicain qui est en crise, c’est notre désamour qui est le moteur de cette crise. Nous ne savons plus être fiers de la France, nous ne connaissons plus son histoire. En 1989, cette année clé, qui est aussi celle du bicentenaire de la Révolution française, un rapport de la commission de la nationalité est remis à Matignon par un conseiller d’État, Marceau Long. On y lit : « L’affaiblissement des institutions et des valeurs universalistes autour desquelles s’est élaborée la tradition nationale, et qui a permis l’intégration des populations étrangères des deux derniers siècles, constitue le véritable danger pour l’avenir national. » Retrouver les gammes universalistes, être les enfants de Lamartine et d’Aimé Césaire, voilà ce qui peut sauver notre République, la renouveler et la faire rayonner de nouveau.
© Alexandre Devecchio
Pivot est mort , il ne pourra jamais recevoir les grands intellectuels du Hamas…qui sont restés au niveau des égouts .
Á méditer,commentaire dans le Figaro:
Quo vadis, Gallia ?
le 06/05/2024 23:30
Une université irlandaise a infligé une amende record de 214 000 euros à un syndicat étudiant propalestinien qui avait occupé les locaux de l’établissement. Voilà une piste à suivre en France !
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🤬Pendant ce temps en France,la jeunesse bourgeoise jouant les révolutionaires de carton,cassent,alimentent l´antisémitisme,agressent en toute impunité!Á Berlin,des étudiants qui ont essayé de jouer aux cons,pardon aux révolutionaires se sont fait rappeler á l´ordre et c´est rentré en ordre 😁,ou alors ils sont trés discret dans leurs gesticulations.
Je pense que le président Narendra Damodardas Modi a tout compris du danger que représente l´islam,de même que les chinois.Les iraniens dans une grande majorité s´éloignent de cette « religion »,en Europe?c´est le kalifat en marche!Bon,d´un autre côté ne dit on pas que la haine aveugle?Les momos sont vraiment haineux,nous devrions les subir encore quelques temps 😌 et aprés ils ne seront plus qu´une espece en voie de disparition,voeux pieux 🙄?
Pour les ignorants qui croient se battre pour une juste cause:
-Les Origines Nazie et Soviétique de la cause palestinienne
https://youtu.be/0-W3KTdElBY?feature=shared
Voyageons un peu en musique 😁:
HAVA NAGILA Jewish Punjabi Israel India Dance – Downtown Bhangra Vancouver
https://youtu.be/cR1kloYoPjs?feature=shared
2 commentaires de la video ci-dessus qui réconforte par les temps qui courent:
@dharam9
vor 6 Jahren
LONG LIVE ISRAEL AND THE JEWISH PEOPLE. YOU WILL NEVER BE DEFEATED AS A NATION AS PROPHEISED. LOVE FROM AN INDIAN.
5
Antworten
@Punjab_Punjabi_Punjabiat
vor 1 Jahr (bearbeitet)
The foundation stone of the first sikh temple in Calgary was laid by a Rabbi. A good example of love, peace, respect, humility and humanity.
[…] Gauche ont toujours fait la promotion, en fermant les yeux sur le recours au terrorisme et sur l’adhésion à l’idéologie nazie consubstantielle aux « Palestiniens ». Depuis le début des années 2000, […]