Le gouvernement israélien coupe tous ses liens avec le journal pro terroriste Haaretz

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Le gouvernement a voté aujourd’hui (dimanche) à l’unanimité en faveur de la proposition du ministre des Télécommunications,
Shlomo Karhi, de couper tous les liens entre les institutions gouvernementales et le journal Haaretz et de ne plus diffuser de publicités dans ses pages.
La décision a été prise suite à de nombreux articles qui ont nuit à la légitimité de l’Etat d’Israël dans le monde et à son droit à la légitime défense, en particulier à la lumière des derniers propos du directeur de la publication, Amos Schocken.
”Nous ne pouvons pas accepter une réalité dans laquelle un directeur de la publication d’un journal reconnu publié en Israël appelle à imposer des sanctions contre Israël et soutienne les ennemis de l’Etat en pleine guerre et qu’en plus il soit financé par l’Etat, à l’heure où des institutions internationales portent atteinte à la légitimité de l’Etat d’Israël, à son droit à se défendre et imposent des sanctions contre lui et contre ses dirigeants (y compris des sanctions pénales)”
Source LPH info
Shem-Tov/Knesset)
En réponse aux récents commentaires du directeur de Haaretz, Amos Schocken, qualifiant les terroristes palestiniens de « combattants de la liberté », le gouvernement annonce qu’il rompt tous ses liens avec le journal de gauche.
Le bureau du ministre des Communications Shlomo Karhi a déclaré que le cabinet avait approuvé à l’unanimité sa proposition de supprimer toutes les publicités et annonces d’appels d’offres gouvernementaux, tant dans l’édition imprimée que sur le site Internet de Haaretz.
La résolution stipule que si le gouvernement soutient la liberté de la presse et la liberté d’expression, il « n’acceptera pas une situation dans laquelle l’éditeur d’un journal officiel appelle à l’imposition de sanctions contre lui et soutient ses ennemis en pleine guerre ».
Ainsi, le gouvernement va « rompre toute relation publicitaire avec le journal Haaretz et appelle toutes ses branches, ministères et organismes, ainsi que toute société ou organisme gouvernemental financé par lui, à ne pas avoir de contact avec le journal Haaretz sous quelque forme que ce soit et à ne publier aucune publication dans celui-ci », ajoute-t-il.
Dans un communiqué, le bureau de Karhi indique que la décision de boycotter le quotidien de gauche fait suite à « de nombreux articles qui ont porté atteinte à la légitimité de l’État d’Israël dans le monde et à son droit à l’autodéfense » et en particulier aux commentaires de Schocken lors d’une conférence à Londres le mois dernier.
Dans son discours, Schocken a déclaré que « le gouvernement Netanyahou ne se soucie pas d’imposer un régime d’apartheid cruel à la population palestinienne. Il minimise les coûts que doivent assumer les deux parties pour défendre les colonies [de Cisjordanie] tout en combattant les combattants de la liberté palestiniens qu’Israël qualifie de terroristes ».
Il a déclaré que la seule façon d’établir un État palestinien nécessaire est « d’appliquer des sanctions contre Israël, contre les dirigeants qui s’y opposent et contre les colons » – suscitant des appels de plusieurs ministres à imposer un boycott.
Haaretz a ensuite tenté de prendre ses distances avec Schocken, en publiant un éditorial affirmant que « toute organisation qui prône le meurtre de femmes, d’enfants et de personnes âgées est une organisation terroriste, et ses membres sont des terroristes. Ils ne sont certainement pas des « combattants de la liberté ». »

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