Le Coran contre la République : Les versets incompatibles
de Laurent Lagartempe.
source :
https://www.amazon.fr/Coran-contre-R%C3%A9publique-versets-incompatibles/dp/2851621815
Ce livre recense quatre cents versets du Coran qui sont incompatibles avec nos lois : Constitution, code civil, code pénal. Les titres des chapitres sont révélateurs : Provocations à la discrimination religieuse et à la haine,… au racisme anti-juif,… au meurtre et à la guerre pour cause de discrimination religieuse,… au mensonge, etc. À la lecture des citations, qui ne conclurait avec Laurent Lagartempe : « Toute autre publication contemporaine contenant des provocations analogues serait aussitôt l’objet de poursuites pour délit de presse ». Mais le Coran n’est pas un article de journal. C’est, pour un milliard deux cent millions de nos contemporains, le livre de Dieu, éternel, incréé comme Lui, valable pour tous les hommes de tous les temps et tous les lieux.
Qu’il s’agisse de ce que nous nommons théologie, droit, morale,… tout dans le Coran est sacré, intouchable, indiscutable. Envisager que les musulmans pratiquent un jour un tri entre les versets pour rendre le texte plus conforme à nos droits de l’homme ou pour faire de l’islam une religion de la sphère privée à l’exemple du christianisme n’est qu’utopie. Il n’existe pas de parti de la réforme en islam. Partout, dans la Maison de l’islam comme dans la diaspora, déferle l’islamisme – un retour à l’identité musulmane après la parenthèse de la colonisation, dans une civilisation dont la dynamique est fondamentaliste, réactionnaire, involutive. Nous, Occidentaux, Européens, Français, qui avons accueilli des millions d’immigrés « d’origine musulmane », serons-nous confrontés à un choix dramatiquement binaire : soit accepter la présence sur notre sol de communautés musulmanes de plein exercice, disposant de leur droit et, donc, ne renonçant aucunement à leur devoir religieux, coranique, d’expansion par la contrainte et la violence, soit interdire l’islam (la Reconquista) ? Qui peut aujourd’hui définir une troisième voie ?
Présentation de l’éditeur :
Les versets du Coran qui abordent les aspects politiques et sociaux se comptent par centaines. L’argument de sacralité du livre doit-il continuer de s’opposer à la question de son incompatibilité avec le droit français ? Les musulmans proclament haut et fort : » Le Coran est notre constitution ! » Les versets du Coran pouvant donner lieu à critique pour incompatibilité avec les lois de la République sont nombreux. Le présent ouvrage en cite plus de quatre cents qui sont manifestement des écrits ayant le caractère de » provocations à crimes et délits contre les personnes « . Ce sont en premier lieu des versets énonciateurs de droit civil, concernant surtout le statut de la femme et le régime de transmission des biens par héritage, dont on sait qu’ils sont en discordance complète avec le Code Civil Français. D’autres versets instituent un droit pénal radicalement incompatible avec les dispositions du Code Pénal Français, à cause notamment du recours à des châtiments corporels allant jusqu’à la mutilation. Qui plus est, certains versets que l’on peut difficilementconsidérer comme faisant partie d’un quelconque droit pénal, instituent un régime de châtiments par vengeance personnelle et application du talion. Le Coran est extrêmement précis, ne laissant à la limite aucune place à une quelconque interprétation, ce qui obère a priori toute tentative tendant à rendre le droit coranique compatible avec les lois de la République. La lecture comparée des versets du » livre révélé » de l’islam et des articles du Code Civil et Pénal fera juge le lecteur.
Ne serait-ce que l’article 18 de la déclaration des Droits de l’Homme , que l’Islam bafoue tous les jours !