La nouvelle mosquée de Combs-la-Ville en sympathie avec les Frères Musulmans
Les prédicateurs invités par la mosquée sont des alliés des Frères Musulmans, comme Hassan Iquioussen ou Mohamed Bajrafil.
Iquioussen, négationniste du génocide arménien, est un fervent défenseur des Frères Musulmans et du retour du califat politique. Dans une conférence de janvier 2013 consacrée à l’Empire Ottoman il expose sa stratégie pour un retour du califat, où les lettrés et les savants de l’islam auront pour rôle de « ramener les musulmans dans le giron de l’islam pour recréer cette entité politique qui a pour objectif de permettre aux musulmans de vivre leur foi dans tous les domaines : économiques, politiques, et tout ce que vous voulez. Donc le califat est en train de revenir, ça va prendre du temps mais il y a un début à toute chose, regardez : révolutions, on renverse les tyrans despotes, d’accord, qui étaient tous laïcs, islamophobes. »
Dans une conférence à la Grande mosquée de Dunkerque (qui fut inaugurée par le sénateur-maire PS de la ville en 2013, Michel Delebarre) le prédicateur de l’UOIF abordait le génocide arménien :
« Cinq cent mille arméniens ont fait pression sur l’ex président de la France Sarko pour qu’il vote une loi pour condamner les turcs, pour un péché qu’ils n’ont pas commis. On est bien d’accord, le pseudo génocide arménien. La loi n’est pas passée hein, donc je peux dire que ça existait pas. Si la loi était passé, alors là je ferme ma bouche. Vrai ou faux ? Si la loi était passée je ne pourrais pas dire que le génocide arménien n’existe pas, parce que la loi me condamne. Donc là je peux m’éclater ! Regarde je parle, il n’y a pas eu de génocide, et j’ai les preuves historiques qu’il n’y a pas de génocide »
Aussi, l’imâm salafiste de la mosquée de Gonesse, Ahmed Hilali, récemment médiatisé pour avoir été l’imâm de Mickael Harpon, l’assassin de la préfecture de police de Paris, était invité de la mosquée de Combs-la-Ville le 30 mars 2019 !
Ahmed Hilali , fiché S, fut aussi imam à la mosquée de Sarcelles de novembre 2013 à septembre 2015, date à laquelle il fut licencié.
« Cet imam était très connu, avant d’être à Gonesse il était à Sarcelles. Nous avons fait en sorte, avec les responsables d’une des mosquées de Sarcelles de l’évincer de la ville car il commençait à avoir des attitudes extrêmement dangereuses pour la communauté musulmane de la Ville », déclara au FigaroFrançois Pupponi, maire de Sarcelles jusqu’en août 2017 et désormais député.
Pupponi ajoutait : « Il recrutait des jeunes délinquants, mettait dehors les anciens musulmans de la mosquée, faisait rentrer des salafistes, etc. Les anciens ont vu arriver ce jeune qu’ils ont recruté. Très vite, il a commencé par tout diriger dans la mosquée, par faire entrer des gens peu fréquentables. Les services de renseignement savaient. Pour en parler régulièrement avec eux, il savait cet individu dangereux. Il a même été à l’époque sous le coup d’une obligation de quitter le territoire français en 2015. Celle-ci n’a jamais été mise en oeuvre ».
« Comment est-il possible qu’un imam radicalisé, et ce sont les services de renseignement qui le disent, à qui on notifie une obligation de quitter le territoire français en 2015, est toujours là en 2019 ? Cela s’appelle un dysfonctionnement majeur, cela s’appelle une faute, c’est grave », s’agace l’ancien maire de Sarcelles, François Pupponi.
« Cette obligation de quitter le territoire n’avait pas été délivrée du fait de ses prêches radicaux et de ses fréquentations, comme l’on dit certains. Mais parce qu’il n’apportait pas la preuve qu’il subvenait aux besoins de son enfant », indique-t-on du côté du ministère de l’Intérieur contredisant les affirmations du député. Il n’en demeure pas moins que son salafisme est avéré et que c’est encore plus inquiétant que son OQTF ne fusse motivée pour son radicalisme. L’Intérieur démontre son laxisme.
Selon le ministère de l’Intérieur, « l’obligation de quitter le territoire français avait été abrogée après que celui-ci a apporté la preuve qu’il s’occupait bien de son enfant ».
Ajoutons que Hilali a fréquenté à plusieurs reprises la mosquée clandestine salafiste Dar AT Tawid rue d’Estienne d’Ovres à Sarcelles. (Note SCRT de 2017 sur « L’influence salafiste dans les mosquées marocaines du Val d’Oise »)
Début 2015, il avait fait l’objet d’une obligation de quitter le territoire français sous 30 jours. Mais quatre ans plus tard, l’imam est toujours dans l’Hexagone et continue son activité plusieurs fois par jour dans cette mosquée du Val d’Oise.
Source :
http://islamisation.fr/2019/12/30/la-nouvelle-mosquee-de-combs-la-ville-en-sympathie-avec-les-freres-musulmans/
iL FAUT FERMER CES REPAIRES DE FANATIQUES.
C’est à Castaner de le virer définitivement de la France et de le dechoire de la nationalité française. …qu’il retourne dans son pays d’origine ou dans un des 57 pays musulmans! Il a le choix tout de même? ???
Bien dit . Ces gens là ne sont pas dignes d’être français.
Capucine, ne rêvez pas Castaner les aime tellement qu’il n’en fera rien et fermera encore et encorer les yeux.
Bonne année 2020.
ROSA
ils ne se refusent rien les frères musulmans ? je dirais même qu’ils ont la folie des grandeurs !! la mosquée est tellement grande que ceux qui habitent Lieusaint et aux alentours pourront y aller aussi !!