LA BRIGADE JUIVE VOUS PRESENTE XAVIER RENOU

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Salut la Brigade,
En préparant le dossier de Xavier Renou, de la France insoumise, nous sommes tombés sur une perle alors comme on vous aime bien …
De Vichy a Drancy,
Pour lui les juifs…les communistes…les tziganes ( Sorry Django ) ne sont que des étrangers.
Pour lui militant ne rime pas avec résistant mais seulement avec argent.Pour lui le racolage n’est pas interdit en veille d’élection.Pour lui faire un live chez Lidl Pour lui appeler au Boycott d’Israël
C’est juste une L’occasion de faire connaitre son nom
« >

happywheels

5 Commentaires

  1. Michel De Lonsdale dit :

    Xavier Renou, chef des désobéissants
    Activiste radical et non violent, il prône l’insoumission civile et sociale. Dénoncé par les militants traditionnels, il s’invite avec les membres de son réseau dans tous les mouvements de contestation.
    LE MONDE | 25.02.2009
    Les manifestations République-Bastille-Nation, il n’en veut plus. Le militantisme « plan-plan » non plus. Lui, c’est l’action directe et non violente qu’il préfère. Xavier Renou a débarqué dans la galaxie écolo et altermondialiste comme un ovni. Toujours décalé et inventif. Ses manières charmeuses ont fait le reste.
    Depuis deux ans, on a vu cet apôtre de la désobéissance civile un peu partout où la contestation du système s’active. En avril 2008, lors du passage de la flamme olympique à Paris, pour protester contre la participation aux Jeux de Pékin ; au Salon de l’automobile, lors de la visite de Nicolas Sarkozy, pour dénoncer la pollution automobile. Il est alors traité par le président de la République d' »agité du bocal ». Xavier Renou est également un assidu des actions antipub, de celles de Jeudi noir pour dénoncer la pénurie de logements à Paris.
    Il le revendique, cet aspect vibrion. « Les moyens traditionnels s’épuisent. Pour redonner du plaisir à la politique, il faut théâtraliser les luttes et pousser à leur convergence », avance ce trentenaire. Refus des cadres militants traditionnels et, surtout, volonté de frapper les esprits sont ses seules lignes de conduite.
    Des organisations politiques, il a pourtant un peu tout essayé : le PCF de loin, puis le trotskisme par les livres au lycée, l’anarchisme un peu, jusqu’à se retrouver dans un groupe libertaire antifasciste, Scalp-Reflex. Le petit provincial, fils unique d’une famille modeste de Caen, est alors étudiant à Sciences Po Paris, un peu perdu au milieu de la fine fleur de la bourgeoisie parisienne. Les parents, elle secrétaire, lui employé de banque, sont gentiment socialistes. « J’avais l’impression d’être un extraterrestre dans cette école où on apprend à gérer le système », se souvient ce grand jeune homme au crâne précocement dégarni. Il s’adapte, épouse les comportements et se dissimule, milite en douce à l’UNEF et côtoie les autonomes à l’ultragauche, parce que le Front national lui fait « très peur ». Mais là encore, il ne se sent pas à sa place avec son « bomber et (ses) rangers ». Il préfère animer une émission sur Radio libertaire et s’inscrit à la faculté d’Assas, où il organise des initiatives antifascistes et entame un travail de recherche sur le GUD, mouvement étudiant radical d’extrême droite. « Il était assez atypique dans notre mouvance », se souvient Eric Wash, militant du Scalp.
    Lassé du « petit ghetto radical », il part en coopération et obtient un poste d’enseignant à l’université du Cap, en Afrique du Sud. C’est l’époque de la découverte de la force de l’ANC, de l’engouement pour un pays qui sort de l’apartheid. Quand il évoque ces « années heureuses », son regard devient mobile et, lui, très bavard : « C’était passionnant d’être en contact avec l’élite noire », dit-il. Il a tellement aimé « être utile au Sud » dans « un de ces pays que l’on pille », qu’il part en mission humanitaire en Algérie pour un an. Puis enchaîne des boulots d’intello précaire et finit par lâcher sa thèse. Tout ça lui paraît trop fade.
    En 2005, Greenpeace l’embauche comme chargé de campagne contre le nucléaire militaire. Xavier Renou pense, enfin, tenir sa chance et montrer en quoi la politique peut être différente. Avec les réseaux antinucléaires, il lance sa première opération d' »inspection citoyenne » dans le centre d’essais des Landes : une trentaine d’activistes se font arrêter devant les caméras. Mais ses méthodes ne plaisent guère dans l’association. « C’est son irresponsabilité que nous avons sanctionnée. Renou est un charlot qui s’active beaucoup et ne produit pas grand-chose », tacle Bruno Rebelle, ancien président de Greenpeace.
    « Trop activiste », « trop brouillon ».La critique revient souvent dans le petit milieu altermondialiste. Depuis qu’il a quitté l’association écologiste, le trublion a monté son propre réseau, Les Désobéissants. Un groupe à son image, non structuré, foncièrement « anti-orga », partisan de la non-violence, où l’on croise des nouveaux militants comme des chevronnés de l’écologie et de l’antimilitarisme. Il a lâché tout travail salarié. « J’ai pas envie de retourner au chagrin », dit-il. Le chagrin, c’est sa compagne qui s’en charge. Elle pourvoit aux besoins, lui se contente de quelques indemnités chômage.
    Une nouvelle urgence lui mord la nuque : le « danger » représenté par l’accession de Nicolas Sarkozy à l’Elysée. Il s’agit pour lui désormais de dénoncer sa politique sur tous les terrains par des actions coups d’éclat qui se préparent par SMS : un lieu, une cause, et l’équipe débarque au milieu d’une manif, d’un rassemblement, souvent avec des journalistes « embedded ». Cet art du spontané, un peu décalé, que Xavier Renou cultive, fait grincer dans les réseaux militants. « Il récupère ce que font les autres et on a toujours l’impression qu’il est au centre », lâche Yannick Jadot, ex-directeur de campagne à Greenpeace. « Il roule tout seul comme un mercenaire de la désobéissance civile sans tenir compte des décisions collectives prises par les organisateurs », remarque Nicolas Haeringer, militant altermondialiste. Il a beau être charmeur, certains ne digèrent pas ses méthodes. « Il oublie un peu vite la finalité de l’action », remarque José Bové. « Il mélange toutes les causes avec des formes douteuses », renchérit Stéphane Lhomme, du réseau Sortir du nucléaire.
    Son côté provocateur choque même parfois. Comme à Vichy, lors de la manifestation contre la politique d’immigration, en novembre 2008, où il est apparu déguisé en prisonnier de camp de concentration. Ou quand il a versé de la peinture rouge sur la tête d’Hubert Védrine pour stigmatiser le rôle de la France dans le génocide des Tutsi au Rwanda. « C’est vrai qu’il fait les choses à sa manière, joue avec les médias et n’a aucun tabou. Mais c’est aussi parce que les autres ne se bougent pas assez », rétorque Manuel Domergue, responsable de Jeudi noir. « Il croit en ce qu’il fait. Ce qui est important, c’est le résultat », insiste Serge Perrin, militant du Mouvement pour une alternatice non violente. Le jeune homme pressé lui sourit et avoue « vouloir être partout pour que ça change » et avoir parfois « du mal à dire non ».
    Ses méthodes séduisent de nombreux militants : son réseau s’est étoffé en deux ans pour compter 4 000 contacts déclarés. Les stages de désobéissance civile qu’il organise touchent de plus en plus de monde : syndicalistes de SUD ou de la Confédération paysanne, militants du Réseau éducation sans frontières ou d’Amnesty International. Xavier Renou tisse sa toile et construit sa notoriété. Il fait désormais partie des habitués des vidéos de Dailymotion et a été invité à deux reprises sur France Info par un David Abiker séduit par sa gouaille. La rappeuse Keny Arkana a mixé sa voix sautillante dans son dernier album. Et il scande un des textes sur celui d’Enhancer. Encore un moyen de « jeter des ponts et ne pas rester spectateur », dit-il.

  2. il faut bloquer ce gent de raciste

  3. marredestocards dit :

    Attention Xavier, si tu boycottes Israël, tu limites les importations du concessionnaire Mercedes de Gaza.

  4. Dédé dit :

    « De Vichy a Drancy,
    Pour lui les juifs…les communistes…les tziganes ( Sorry Django ) ne sont que des étrangers. »
    Vous sortez ça d’où ?

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