Juifs et Palestiniens – la différence entre nous et eux
Par Michael Freund
http://www.michaelfreund.org/18328/jews-and-palestinians
Adaptation Mordeh’aï pour malaassot.com reproduction autorisée avec mention de la source et du lien actif
De temps en temps, un élément d’information vient capturer l’essence d’une problématique, en encapsulant un point aussi crucial et fondamental qu’il parvient à transmettre à peu près tout ce qu’il faut savoir sur un sujet donné. Tel était le cas avec un communiqué de presse publié le mois dernier par le Centre palestinien basé à Ramallah pour la recherche politique et d’Enquête sur les conclusions d’un sondage effectué parmi les Palestiniens en Judée, Samarie et Gaza.
Ce document, devrait être une lecture obligatoire pour toute personne qui prétend offrir une opinion éclairée sur le conflit israélo-palestinien, et il souligne le gouffre moral profond qui existe entre les deux parties. En effet, il sert comme un rappel puissant – que l’affrontement dans lequel Israël se trouve n’est rien de moins qu’un affrontement entre le bien et le mal.
L’enquête, qui a été réalisée par le Dr Khalil Shikaki auprès d’un échantillon aléatoire de quelques 1.270 Palestiniens adultes, permet fermement de se reposer l’affirmation que seule une petite fraction de nos ennemis soutient la violence et le terrorisme contre des civils innocents.
Les chiffres parlent d’eux-mêmes: Un énorme 67 pour cent des Palestiniens – (deux sur trois!) – soutien virulent aux attaques contre des Israéliens.
Pensez-y un instant. Cela signifie que l’écrasante majorité des Palestiniens ne voit absolument rien de mal dans l’acte de prendre un couteau et de le plonger dans un autre être humain tout simplement parce qu’il ou elle est un Juif israélien.
Ce n’est pas une question de lâcheté morale, c’est une descente collective dans la dépravation.
Bien sûr, chaque société a ses marginaux, ceux qui embrassent un comportement immoral ou destructeur. Mais lorsque cette immoralité devient la norme, lorsque tourmenter les innocents est considéré comme une voie socialement acceptable, alors comment peut-on éventuellement envisager de faire même la paix avec ces gens? L’étude a également révélé que 60% des Palestiniens soutiennent un retour à une Intifada armée et que 66% estiment qu’un tel soulèvement violent servirait » les intérêts nationaux palestiniens. »
Ces données indiquent la mesure dans laquelle le carnage et les effusions de sang sont considérés comme étant des outils légitimes de l’expression politique de la société palestinienne.
Il y a ceux, en particulier la gauche israélienne, qui chercheront à expliquer de telles statistiques, affirmant qu’elles ne font que refléter la frustration ascendante de la part des Palestiniens avec l’échec du processus de paix.
Mais qui n’est rien de plus qu’un prétexte fallacieux garni d’un raisonnement erroné. Après tout, depuis quand une frustration personnelle ou politique justifie un recours à la violence aléatoire? Au milieu de la toile de fond des actes d’accusation qui ont été émis contre les auteurs présumés de l’attaque israélienne de Douma, dans laquelle une famille palestinienne a été tué lorsqu’une bombe incediaire a mis le feu à leur maison, la question prend une résonance supplementaire.
Bien entendu que pour les suspects frustrés de la Douma, aucun dirigeant israélien et certainement pas la majorité du public n’aurait permis de rationaliser leurs actions ou de tenter de les exonérer sur la base qu’ils ont été « entraîné par un sentiment l’exaspération. »
Alors, pourquoi des prétextes devraient être inventés afin «d’expliquer» ou «comprendre» des Palestiniens qui adoptent le terrorisme? Le fait est qu’en Israël, il y a toute une variété d’organisations couvrant le spectre politique, certaines appelant à l’annexion de la Judée, la Samarie et de la bande de Gaza et d’autres exigeant que les territoires soient remis aux Arabes.
Mais vous ne trouverez pas une diversité similaire chez les Palestiniens.
La dernière fois que j’ai vérifié, des organisations telles que « Amis de Gaza et d’Israël » ou « les Palestiniens pour la paix et les implantations » devait encore s’établir.
Alors qu’Israël a une voix, importante et active à gauche, il n’y a aucun mouvement palestinien correspondant appuyant la réconciliation. Et si la société palestinienne était vraiment désireuse de paix, comme certains le prétendent, alors son arène politique serait sans doute très différente de ce qu’elle est aujourd’hui.
À quand remonte la dernière fois que vous avez entendu parler des groupes de secours palestiniens offrant d’aider les victimes israéliennes du terrorisme? Quand les organisations de défense des droits de l’homme palestiniens ont pressé les responsables palestiniens à faire des concessions à Israël? Combien de religieux palestiniens ont rendu des décisions interdisant des attentats suicides? Nous connaissons tous la réponse à ces questions.
Le soutien populaire à la violence parmi les Palestiniens, et l’absence d’une tendance similaire en Israël, n’est pas une coïncidence. C’est un témoignage éloquent qui en dit long sur les deux sociétés, leurs valeurs, leurs buts et leurs objectifs.
L’Etat juif peut avoir quelques pommes pourries ici et là, mais dans le cas des Palestiniens, les sondages indiquent que la plupart des vergers est avarié, et c’est là le hic la disparité morale écrasante entre les deux sociétés.
source :
http://malaassot.over-blog.com/2016/01/juifs-et-palestiniens-la-difference-entre-nous-et-eux.html
Je cite: que la plupart des vergers est avarié.
A la campagne quant un champ est comme cela, on arrache tout, on brûle sur place, puis on replante une variété plus adaptée.
Quant vous êtes arrivé il n’y avait rien, il n’y a qu’a regarder comment est votre pays aujourd’hui.
C’est évident, vous savez faire.
Arrachez avant que se soit eux qui vous arrachent dans l’indifférence générale.