Jean Messiha menacé de mort et d’égorgement, un arabe algérien placé sous contrôle judiciaire
Agressé avec sa compagne à la terrasse d’un café, le candidat Reconquête! aux élections européennes a déposé plainte. L’audience est prévue le 12 juin prochain.
Par Amaury Brelet
Depuis plusieurs années, Jean Messiha se sait menacé de mort en raison de ses engagements et de ses idées politiques. Dernier incident en date, le 28 septembre 2023 : alors qu’il est attablé avec sa compagne à la terrasse de la brasserie Aero, place de Passy, dans le 16e arrondissement de Paris, le président du cercle de réflexion Vivre Français et désormais candidat aux élections européennes sur la liste Reconquête! de Marion Maréchal est apostrophé par un individu qu’il ne connait pas et qui lui dit vouloir « mettre du cyanure dans [son] café et [le lui] faire boire », avant de solliciter la substance auprès des autres clients de l’établissement. L’inconnu indique aussi qu’un de ses « très bon[s] ami[s] » rêve de « lui faire la peau » et qu’il va « l’appeler tout de suite », joignant le geste à la parole. Continuant de se montrer agressif durant une vingtaine de minutes, il mime même à plusieurs reprises des gestes d’égorgement, alors qu’une serveuse tente de lui faire quitter les lieux, sans succès.
Craignant pour sa sécurité et celle de sa compagne, également insultée par l’individu, Jean Messiha se réfugie alors à l’intérieur de la brasserie et contacte la police, avant de déposer plainte le même jour au commissariat. Grâce à une brève vidéo filmée par sa compagne au moment des faits, les policiers parviennent, quelques jours plus tard, à identifier l’auteur en fuite : Mohamed H., 44 ans, né en Algérie, sans profession et déjà connu pour des faits d’outrage et de menaces. Convoqué le 25 octobre, le mis en cause ne se présente pas, prétextant se trouver en province, n’avoir pas les moyens financiers de se rendre à la capitale et supposant que la procédure concerne des menaces proférées contre une femme avec laquelle il a entretenu une relation sentimentale virtuelle, une « manipulatrice et nymphomane notoire » animée d’une « basse vengeance », selon ses mots, refusant donc de se déplacer « pour si peu ».
« Salope de beurette », une policière injuriée
Vérification faite, le suspect n’a, en réalité, pas quitté la région parisienne. En outre, la serveuse et témoin de la scène confirme l’intégralité des déclarations des deux victimes aux enquêteurs. Recherché, Mohamed H. est finalement interpellé et placé en garde à vue le 25 janvier 2024. Il explique son aversion pour Jean Messiha en raison de sa prétendue haine des musulmans et de la mise en place par le haut-fonctionnaire d’une cagnotte en soutien au policier accusé d’avoir tué Nahel après un refus d’obtempérer en juin 2023. Devant les policiers, il reconnait d’ailleurs la teneur de ses propos, prétend qu’ils relèvent de l’humour et nie les gestes d’égorgement, ajoutant au sujet de Jean Messiha : « Rien que pour ça je vais pas le lâcher ce fils de pute. Petit fumier, va. » Il en profite aussi pour injurier une policière d’origine maghrébine en lui faisant des doigts d’honneur : « Sale vendue, tu es une salope de beurette, sale traître, va te faire baiser par les Français, c’est à cause de toi que la France est comme ça. »
De son côté, la compagne de Jean Messiha confirme aux policiers les propos relatés dans sa plainte et les gestes d’égorgement mimés par Mohamed H. qui, à l’issue de sa garde à vue, est déféré avant d’être placé sous contrôle judiciaire. L’audience est prévue le 12 juin prochain. Menacé sur les réseaux sociaux et la voie publique, le désormais candidat aux élections européennes sur la liste de Marion Maréchal réclame depuis des années au ministère de l’Intérieur une protection policière. Déjà en 2021, dans un tweet adressé à Gérald Darmanin, Jean Messiha publiait un courrier resté sans réponse. « Depuis l’annonce de mon investiture sur la liste R! aux européennes 2024, les menaces de mort à mon encontre ont considérablement augmentées », alertait-il encore le ministre, sur X, le 10 mai dernier. « Par courriers réitérés, je vous ai demandé la mise en place d’une protection. Lettres restées sans réponses, pendant que vous ouvriez instantanément droit à la demande de protection de Louis Boyard », député LFI.
Source
happywheels
Total soutien à Jean Messiah victime de la haine des chameliers OQTF et ORTF (obligation rester sur territoire Français)
Encore une « chance pour la France »… Marre de ces ….
Soutien à Jean Messiha qui sait de quoi il parle, lui ! Il sait très bien ce que subissent les chrétiens en orient avec le fameux vivre ensemble.
Soutien total á Jean Messiah.Un homme courageux,qui aime la France,intellectuellement interressant,comment voulez-vous que les adeptes de « paix et d´amour » comme leurs larbins gauchiste puissent apprécier un tel individu!
Maher Fayez,monsieur d´une grande humilité,rencontré il y a de cela quelques temps:
-ترنيمة وحدك يا يسوع وليس سواك – المرنم ماهر فايز + فريق الكاروز 🙏
https://youtu.be/dD8ncAt3WTg?feature=shared
-LOUANGE CHRÉTIENNE EN KABYLE »GROUPE ISEGMAN » EWTET AFUS AD GHENIGH
https://youtu.be/jIMGJPUCeME?feature=shared
Une question:
Á ton autant le sourire,le plaisir de vivre chez les adeptes de « paix et amour »?
🙏✝✡👍💪
H.S
La France en perdition,cela ne date pas d´hier vous me direz-vous:
Europe 1
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Une visite du château de Versailles pour des prisonniers attise la colère des policiers et des syndicats
Article de Guillaume Dominguez / Crédit photo : Maria Michelle / Pixabay • 1 h • 1 min de lecture
Le 17 juin prochain, la prison de Toul, en Meurthe-et-Moselle, veut organiser une visite peu conventionnelle pour ses détenus : une sortie au château de Versailles . Entre 10 à 15 prisonniers sont concernés par ce projet. Ils seront encadrés par trois surveillants de l’administration pénitentiaire de la prison. Cet établissement accueille majoritairement des auteurs d’infractions à caractère sexuel, incarcérés pour une longue peine.
Des policiers inquiets de cette visite
Au programme de la journée, quatre heures de bus à l’aller, visite du château, pique-nique et balade dans les jardins, puis quatre heures de bus au retour. Pour certains membres de syndicats, le risque est trop élevé. « L’évaluation des risques, elle, se fait vraiment à l’emporte-pièce et notamment s’agissant des violences qui pourraient être commises contre les personnels. Et je pense que les collègues sont très dubitatifs vis-à-vis de l’utilisation de l’argent public qui en est fait. L’opinion publique attend qu’une peine privative de liberté et un certain caractère dissuasif », souligne Alain Bassuel délégué régional du syndicat UFAP justice.
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D’autres interrogations persistent comme la question de l’encadrement des détenus sur place. Contactés par Europe 1, les policiers des Yvelines s’inquiètent déjà du nombre d’hommes mobilisés le jour de la visite.
🤢🤮🤬😡💩La rage,monde de fou,pauvre France!!!!