Helmut Schmidt ancien nazi et propalestinien est mort : Nous ne le pleurerons pas
On relire l’article mis en ligne sur le site de la LDJ en Décembre 2014 sur l’ancien chancelier allemand
Rappelons qu’Helmut Schmidt est appelé pour son service militaire et commence à servir sur une batterie anti-aérienne à Vegesack près de Brême durant la Seconde Guerre mondiale. Après avoir brièvement été sur le front de l’Est, il retourne en Allemagne en 1942 pour travailler comme entraineur et conseiller au ministère de l’Air du Reich. Cette même année le 27 juin, il épouse son amour de jeunesse, Hannelore Glaser surnommée « Loki » (1919-2010), dont il aura deux enfants : Helmut Walter (1944-1945), mort d’une méningite et Suzanne (née en 1947). Vers la fin de la guerre, à partir de décembre 1944, il sert au grade d’Oberleutnant dans l’artillerie sur front de l’Ouest. Il est fait prisonnier par les Britanniques en avril 1945 dans la lande de Lunebourg et reste prisonnier de guerre jusqu’en août. Durant la guerre, il a été décoré de la Croix de fer
Le père d’Helmut Schmidt est le fils naturel d’un homme d’affaires juif allemand. Cela fut tenu secret dans la famille3,4 jusqu’à ce que cela soit confirmé publiquement par Helmut Schmidt en 1984, après que l’ancien président français Valéry Giscard d’Estaing a, apparemment avec l’accord de Schmidt, révélé cela aux journalistes. Schmidt est de religion luthérienne mais non pratiquant
Et bien non, en effet, nous ne le pleurerons pas ; en revanche , je m’étonne que ce jour l’on ne cesse de nous rebattre les oreilles avec cet homme ! Ces politiques n’ont pas assez de mots pour le parer de toutes les qualités ! il fut , parait il, le meilleur chancelier depuis bien longtemps .
Les français décidément, ont la mémoire qui flanche !
Bon, il est mort, laissons le en paix, mais tout de même , était ce la peine d’en faire tant !!!!!!
J a pourtant lu qu il etait anti nazi ……ou est la vérité ?
Schmidt a caché son passé nazi. Faire carrière en Allemagne en 1960 ou 1970 en se déclarant national-socialiste n’était pas un gage de réussite.
Ce qui est injuste, c’est que des gens mauvais comme lui ont une longue et douce vie. Qu’il aille brûler en enfer…
on nous a laissés dans l’ignorance totale de tout cela- merci les journaux télévisés-
son père naturel était Juif …………
et alors ??
il a baisé une allemande un peu plus hardie que d’ autres a cette époque
rien d’ extraordinaire
son père et sa mère l’ auraient abandonné et il aurait été recueilli par une famille luthérienne Schmidt
qui était ce juif ?? il doit le savoir lui…
Schmidt….c’est en schmidtant qu on devient forgeron …
La FAZ, la Frankfurter Allgemeine Zeitung compare l’ex-chancelier à ses prédécesseurs et à ses successeurs depuis le début de la République fédérale :
« Helmut Schmidt n’aura pas égalé les performances politiques de Konrad Adenauer et d’Helmut Kohl, il n’aura jamais été aussi adulé que Willy Brandt, il n’a pas été non plus le type du copain, comme incarné un temps par Gerhard Schröder, il n’était pas toujours aussi maître de soi qu’Angela Merkel. Cependant, Helmut Schmidt les surpassait tous parce qu’il incorporait à la fois l‘élégance et le pouvoir. Après la guerre, il avait choisi de s‘orienter vers le SPD, le parti de la social démocratie, parce qu’il était plus élégant, plus beau, plus dramatique de travailler pour un parti qui voulait alors concevoir l’avenir, diriger et agir et non pas seulement conserver le statu quo et réagir… »
« Avec la mort de ce grand social-démocrate, le pays perd une instance morale impressionnante, souligne le quotidien Heilbronner Stimme. Schmidt a dirigé la République fédérale au cours de huit années décisives, de 1974 à 1982. Un pays dans la tourmente de défis planétaires: entre la crise économique et la crise du pétrole, entre le réarmement et le terrorisme. »
Le quotidien Main-Post résume: « Helmut Schmidt restera dans les mémoires en tant que grand Européen, important homme d’Etat et défenseur engagé des valeurs humanistes. Il occupera à raison une place de choix dans les livres d’histoire. »
« Schmidt était un homme réservé, précis dans ses analyses, concis et ferme dans ses propos. Un gentleman hanséatique, plus Bismark qu’Obama. Une personnalité d’une autre époque, relève le quotidien Neue Osnabrücker Zeitung qui conclut : tous ceux qui l’ont connu ne l’oublieront pas. Schmidt est déjà une légende ».