EXCELLENTE NOUVELLE :L’expulsion de l’imam antijuif et antifrançais Mahjoub Mahjoubi validée par la justice
L’imam de Bagnols-sur-Cèze a été expulsé le jeudi 22 février vers la Tunisie après avoir été accusé de propos anti-France et d’appels à la haine.
on premier recours a échoué. La justice a validé l’expulsion de l’imam Mahjoub Mahjoubi, indique Le Parisien. Selon le quotidien, le tribunal administratif de Paris a rendu sa décision ce lundi 4 mars après avoir examiné, vendredi dernier, la requête de l’imam, expulsé le jeudi 22 février vers la Tunisie après avoir été accusé d’appels à la haine et de propos anti-France.
Son avocat avait déposé un recours en « référé-liberté » pour contester son expulsion vers la Tunisie en y défendant notamment la vie qu’il a construite en France. Selon lui, son expulsion n’était pas une décision proportionnée aux troubles susceptibles d’être provoqués par la présence de l’imam en France.
L’imam tunisien de la mosquée de Bagnols-sur-Cèze (Gard) est accusé d’avoir proféré des prêches anti-France et des appels à la haine visant les femmes et les juifs. Dans une vidéo, il qualifiait notamment le drapeau tricolore de « satanique » qui n’a « aucune valeur auprès d’Allah », sans préciser toutefois qu’il s’agissait du drapeau français.
Selon l’imam, cette vidéo a été enregistrée en parallèle de la finale de la Coupe d’Afrique des nations et comprenait un « lapsus ». « C’est une maladresse de langage, un problème de formulation », avait-il justifié.
Ses propos avaient fait l’objet d’un signalement du préfet du Gard au procureur de la République qui avait conduit, dans un premier temps, le ministre de l’Intérieur à faire la demande du retrait de son titre de séjour en vue de son expulsion du territoire. Une enquête pour apologie du terrorisme avait été ouverte en parallèle.
Le 22 février, Mahjoub Mahjoubi a été interpellé puis placé dans un centre de détention en région parisienne avant d’être expulsé, 12 heures après, vers la Tunisie.
SOURCE
https://www.lepoint.fr/
Il fera appel, et ira jusqu’à la cour européenne des droits de l’homme qui lui donnera raison à coup sûr. Et comme les décisions de l’UE sont supérieures au droit national, il reviendra ici sans qu’on ne puisse rien faire. Et il pourra continuer son œuvre de haine.