EUROPE ISRAEL :Dans un article fielleux, Guillaume Gendron de Libération ose encore salir la réputation d’Israël
En février 1939, le journal Je suis partout, qui allait devenir ,après 1941, le principal journal collaborationniste de France , publiait un numéro spécial intitulé Les Juifs et la France. Dans cette édition Lucien Rebatet – futur auteur du célèbre best-seller antisémite Les Décombres (1942) – proclamait à nouveau la «culpabilité »…d’ Alfred Dreyfus, bien que ce dernier ait été innocenté en 1906 (!).
Fin juillet 2019, le journaliste Guillaume Gendron,« correspondant à Tel-Aviv » du quotidien français Libération ne se résoud pas à croire en l’innocence pourtant avérée par les autorités policières et judiciaires chypriotes, de douze jeunes touristes israéliens accusés à tort d’un prétendu viol collectif . Bien que la plaignante, une jeune britannique de dix-neuf ans, ait reconnu avoir inventé «son viol » (et qu’elle a même été arrêtée pour sa dénonciation calomnieuse !), notre journaliste professionnel, le sieur Gendron, n’a pourtant pas hésité à pondre le 31 juillet un article ignominieux intitulé: «Israël : les « héros » douteux d’une sordide affaire de viol à Chypre. »
Alors qu’il sait pertinemment au moment où il écrit son article que les jeunes israéliens sont innocentés, le fils spirituel de Lucien Rebatet veut insinuer le contraire : pour cela Guillaume Gendron utilise des sous-entendus particulièrement fallacieux. Commençons déjà par le titre: le journaliste français évoque donc un viol bien qu’il n’ait jamais eu lieu ! De plus, Gendron fait un pléonasme en parlant d’une « sordide affaire de viol» (titre plus raccoleur): faut-il donc comprendre qu’il existe pour lui des viols non sordides, des viols «nobles» (antonyme du mot « sordide»)…
Guillaume Gendron parle donc de ces jeunes, dont il dit pourtant dans le corps de l’article qu’ils ont été blanchis, comme des personnes «douteuses »…
Il est intéressant de noter que les médias du monde entier, français en tête, parlent ‘’d’agresseurs présumés ’’ quand ceux-ci appartiennent aux minorités dites visibles (même si leur culpabilité ne fait aucun doute), mais pour le sycophante de Libération, les jeunes israéliens ont été certes blanchis mais trop «subitement », sous-entendant un aspect complotiste. Gendron écrit pourtant que l’ enquête (avec tests ADN à l’appui) a duré une dizaine de jours pendant lesquels les malheureuses victimes israéliennes étaient en prison, traitées comme des criminels.
Ensuite, Gendron perd complètement ses nerfs: n’ayant plus rien à se mettre sous la dent, il stigmatise avec une virulence irrationnelle la célébration des jeunes israéliens arrivés en Israël, jugeant cette joie «obscène » (sic).
Usant de casuistique, Gendron nous embarque dans un débat qui a l’air d’ être tout droit sorti du premier chapitre de La philosophie pour les nuls, en écrivant : «Ce qui est légal , ou plutôt ce qui n’est pas passible de poursuites, est-il éthique ? »
Oui , c’est en effet bien connu qu’à Libération on ne plaisante pas avec l’ordre moral ! Ces jeunes israéliens étaient des fêtards ayant bu de l’alcool et cela, le père la pudeur Guillaume Gendron ne peut le supporter. Ils auraient même parlé de la jeune britannique dont l’accusation calomnieuse les a fait enfermer pendant près de deux semaines dans une prison comme d’une «p…» : les vilains garçons !
Ensuite, reprenant à son compte les poncifs de la putride extrême gauche israélienne, Gendron ose parler d’une prétendue « culture du viol» en Israël, associée à « la masculinité toxique» dans une société «au machisme militarisé». N’en jetez plus, la cour est pleine ! On croirait entendre la petite voix de crécelle de la décérébrée hystérique Judith Butler…
Je rappelle que le sieur Gendron a déjà été épinglé par ma consœur Thérèse Zrihen-Dvir dans un remarquable article paru le 24 juillet sur le site Riposte Laïque et intitulé : ‘’À Guillaume Gendron de Libé, ras le bol, foutez la paix à Israël !’’
Dans ce texte Mme Zrihen-Dvir dénonce avec force le manque de déontologie journalistique et les mensonges idéologiques de Gendron.
Déjà en septembre 2018, Europe-Israel publiait un article du journaliste Alex Rehouv intitulé : ‘’Guillaume Gendron, journaliste amateur, pro-terroriste, se moque des morts israéliens’’.
Je rappelle aussi que cette année, deux journalistes de Libération, Vincent Glad et Alexandre Hervaud furent impliqués dans le harcèlement de militantes et de journalistes féministes au sein de la pitoyable « Ligue du LOL».
Pour finir, n’oublions pas que Libération appartient au milliardaire franco-luso-israélien Patrick Drahi ( grand thuriféraire du pouvoir macronien)…
Comme quoi, nous Juifs, ne sommes jamais aussi mal servis que par nous-même…
Enfin, je voudrais exprimer ici ma position personnelle concernant l’auteur avéré d’un viol : la peine devrait être la prison à perpétuité réelle.
© Frédéric Sroussi (journaliste-essayiste) pour Europe-Israël.org
Source ;
expulsez cette ordure
Ce journal c’est de l’ordure ainsi que tout les journalistes si on peu les appeller come ça
Encore un imbecile qui essaye de paraître intelligent et cultivé sous le regard bienveillant du profiteur pognon de la république
Le Patrick ne va plus investir un centime en Europe il pense qu’elle agonise c pourquoi il vient d acheter une société de contenu aux usa
Les abandons de créance à la charge des contribuables vont bientôt arrivées
Ces journaux d organes politiques sont des budgets cachés des futures campagnes législatives et présidentielle mais non inscrite aux budgets de campagnes bien évidement
Ubuesque !!!!
Qui détient ce torche cul ?
Patrick Drahi
https://fr.wikipedia.org/wiki/Patrick_Drahi
Comment écrire directement à cette ordure pour lui signifier ce qu’il est et lui dire qu’il est perdant d’avance.
ISRAËL l’enterrera, lui, toute sa haine et tous ceux qui crèvent de rage de ne pas avoir de prise sur cet état
pluri millénaires qui sans cesse se relève de ses cendres.
Laissons le creuver dans sa rage et avançons avec des gens cultivés, intelligents et de bonne foi.
On ne peut pas plaire à tout le monde, donc laissons les cons sur le bas côté et avançons.