« En 1942, Adolf Hitler trouvait déjà certaines vertus au djihad islamique »
De Dimitri Casali
Nul ne sait où il va, s’il ne sait d’où il vient. Tel est l’enjeu de l’histoire : apprendre à observer le passé pour mieux comprendre le présent et tenter d’anticiper l’avenir. Une tâche rendue possible parce que l’histoire se répète – au moins deux fois, sinon plus. « La première fois comme une tragédie, la seconde fois comme une farce » , précisait Karl Marx. Nous pouvons en rire, mais la farce perd de son mordant s’il s’agit de vivre à nouveau les moments les plus sombres de notre histoire. Extrait de « L’histoire se répète toujours deux fois » de Dimitri Casali et Olivier Gracia, publié aux Editions Larousse. 1/2
Débarrassé du communisme, le monde d’aujourd’hui est confronté à une nouvelle idéologie totalitaire, aussi féroce que la précédente : l’islamisme radical. Pour les mouvements nationalistes, l’islamisme, trahi par des prédicateurs adeptes de la terreur, est partout et s’immisce dans toutes les sphères de la société : des couches les plus populaires aux classes moyennes éduquées, et jusqu’aux élus de la République qui trahissent leur attachement à la laïcité pour quelques succès électoraux. L’islamisme radical est confus ; il s’accommode de l’exclusion des nouvelles générations d’immigrés, prie pour une « guerre civile » en Europe et joue de la haine de l’Occident et de tous ses maux consuméristes comme de la haine d’une société dénuée de spiritualité et de sacré.
Il est international et s’invite à la tête de pays tantôt alliés parce que riches, tantôt ennemis parce que terroristes.
L’idéologie véhiculée par des organisations criminelles qui se prévalent d’un islam authentique est aussi totalitaire que le nazisme, aussi intolérante que le fascisme, aussi universelle que le communisme. En 1942, Adolf Hitler trouvait déjà certaines vertus au djihad islamique : « Si à Poitiers Charles Martel avait été battu, la face du monde aurait changé. Puisque le monde était déjà voué à l’influence judaïque (et son produit, le christianisme, est une chose si fade !), il eût beaucoup mieux valu que le mahométisme triomphât. Cette religion récompense l’héroïsme, elle promet aux guerriers les joies du septième ciel… Animés par un tel esprit, les Germains eussent conquis le monde. C’est le christianisme qui les en a empêchés. »1 Hier les soviets russes voulaient « soviétiser » la France, aujourd’hui les islamistes radicaux veulent « islamiser » l’Hexagone, détruire l’identité républicaine et ses fondements progressistes. Comme les « rouges » hier, les radicaux aujourd’hui bénéficient d’une implantation locale, infiltrée au sein de la population française, prête à exploser à chaque coup d’éclat pour déstabiliser le système et y semer les germes d’une terreur sans fin. Plus de dix-¬neuf mille islamistes sont fichés « S », donc potentiellement dangereux sur notre territoire national, une véritable petite armée.
À l’extérieur, dans les rangs de Daesh, on a compté jusqu’à deux mille Français, nourris et éduqués au frontispice de la République française. Comme les soviets, les religieux radicaux contribuent aux bons résultats électoraux des extrémismes de droite ou de gauche, qui comptent sur la peur suscitée par la théorie du « grand remplacement » pour engranger les suffrages des Français. L’islam de « terreur » est devenu la raison de toutes les peurs et l’effroi de toutes les raisons. Il menace à la fois une France aux origines chrétiennes dans sa religiosité et une France républicaine et laïque. Le péril vert est aussi redoutable que le péril rouge, jouant avec les peurs des Français et la promesse d’une guerre civile entre les non-¬assimilés et ceux qui ont réussi à s’intégrer. Pascal Blanchard, Yvan Gastaut, Renaud Dély et Claude Askolovitch précisent : « Dans les années 30, cet ennemi-là venait de l’Est, il déboule désormais du Sud. Sa simple présence, sa seule existence déchaîne la haine et engendre un violent discours de rejet.1 » L’islam, dans sa compréhension la plus radicale et liberticide, a pris la place du marxisme dans la critique du libéralisme, « l’opium des peuples » prenant le pas sur une idéologie parfaitement athée. L’histoire des totalitarismes se répète toujours deux fois, la première fois comme une tragédie, la seconde fois… toujours comme une tragédie.
Extrait de « L’histoire se répète toujours deux fois » de Dimitri Casali et Olivier Gracia, publié aux Editions Larousse.
De Dimitri Casali
Dimitri Casali, historien, spécialiste de l’enseignement de l’Histoire, est l’auteur de Désintégration française (JC Lattès, 2016), du Nouveau manuel d’histoire (La Martinière, 2016), de L’Empire colonial français (Gründ, 2015), d’Ombres et Lumières de l’Histoire de France (Flammarion, 2014), du manuel Lavisse-Casali Histoire de France, de la Gaule à nos jours (Armand Colin, 2013), et de L’Histoire de France interdite. Pourquoi ne sommes-nous plus fiers de notre histoire (Lattès, 2012). Son dernier livre, La longue montée de l’ignorance, est paru aux éditions First (mars 2017). Il collabore régulièrement avec la presse écrite, la radio, la télévision. Pour plus d’informations, consultez le blog de Dimitri Casali : http://dimitricasali.fr/
source :
happywheels
Quelques formules m’interpellent :
« Hitler trouvait certaines vertus au djihad islamique »
ce qui en dit long sur la nature de tous ces demeurés et leurs admirations réciproques
« Débarrassé du communisme »
mais pas de l’ultra-libéralisme (pouvoir de la finance à outrance), vil usurpateur du capitalisme entrepreneurial et assassin des progrès sociaux
« le monde d’aujourd’hui est confronté à une nouvelle idéologie totalitaire, l’islamisme radical »
si le monde est à ce point confronté aux radicalismes c’est d’abord parce qu’il est doublement rongé par le trouduculisme et la trahison des prétendus modérés (nul besoin d’appartenir à quelconque mouvement nationaliste pour en faire le constat)
« L’islamisme s’accommode de l’exclusion des nouvelles générations d’immigrés »
exclusion ? on nous impose des vagues d’immigrés et de clandestins, on les favorise à tous les étages de la société, on les soigne et les loge au détriment des autochtones, on chouchoute même leurs crevures de criminels et on ose encore nous parler d’exclusion des immigrés ??
« Si à Poitiers Charles Martel avait été battu, la face du monde aurait changé »
la face du monde serait tristement voilée et si ce n’était pas Charles Martel c’est un autre qui aurait dézingué les soldats de satan
« Puisque le monde était voué à l’influence judaïque (et son produit le christianisme une chose si fade) »
quoi de plus logique une citation pareille venant d’une langue de vipère adepte des lèches-cul de la civilisation judéo-chrétienne : seule la fadeur ne peut qu’inonder leurs appréciations gustatives
« il eût beaucoup mieux valu que le mahométisme triomphât. Cette religion récompense l’héroïsme »
pas de bol pour toi sale con de moustachu, c’est le bien qui a triomphé car il ne récompense pas les lâches !
« elle promet aux guerriers les joies du septième ciel »
elle corrompt les âmes leur faisant croire au paradis pour les entraîner dans l’abîme
« la peur suscitée par la théorie du grand remplacement »
peur fondée sur le constat de la réalité sauf par les négationnistes du présent
« L’islam de terreur est devenu la raison de toutes les peurs et l’effroi de toutes les raisons »
c’est le pouvoir qui est entre les mains des collabos qui nous tétanise, aucun souci pour charcler de l’envahisseur
« la promesse d’une guerre civile entre les non-assimilés et ceux qui ont réussi à s’intégrer »
??? il y a certes des divergences et rivalités entre différents courants de l’islam mais en quoi constituent-ils le moteur d’un risque de guerre civile ?
de bien plus graves animosités sont perceptibles au sein même des populations de souche, anarchistes, fascistes, attentistes, … la présence musulmane n’étant qu’un accessoire supplétif à leurs propagandes respectives
En terres d’Europe ni les nazis ni les antifas ni les musulmans modérés ni même les élus ne combattent vraiment les islamistes, ceux-ci avancent sans rencontrer d’embûche bien au contraire !