Du SM à Mehdi Meklat : dernières nouvelles de la gauchosphère
La gauchosphère se montre sous son vrai visage
Par Gabriel Robin
À croire que certains rentrent à l’École nationale de la magistrature dans l’unique objectif de servir leurs idées politiques d’extrême gauche… Je ne vous ferai pas l’affront de vous raconter à nouveau en détail l’histoire du « mur des cons » que vous devez connaître par cœur. Je vais simplement rappeler une ou deux anecdotes qui ont dû échapper à votre mémoire. En avril 2013, Atlantico diffusait une vidéo montrant un panneau appelé le « mur des cons ». Parmi les « cons » en question, des personnalités, principalement rangées à droite, mais aussi des photos de parents de victimes, dont le père d’une femme assassinée, torturée et violée par un récidiviste, qui avait demandé la mise en place du fichage des délinquants sexuels… Voilà ce que serait un « con » pour les membres du Syndicat de la magistrature.
À l’époque, ils avaient été soutenus par un Jean-Luc Mélenchon vent debout contre ce qu’il dénonçait comme étant une atteinte à la liberté d’expression. Il avait notamment déclaré : « Un local syndical, selon la convention internationale du travail, est un lieu privé et inviolable. Je m’oppose à ceux qui attaquent. […] J’estime que c’est une provocation monstrueuse contre un secteur extrêmement large de la magistrature, parce que tout de même le Syndicat de la magistrature recueille 30 % des suffrages. » On sait où se trouve Jean-Luc Mélenchon : toujours du côté de la gauchosphère, sa famille de pensée naturelle. Ces juges rouges – car c’est bien ainsi qu’il faut les nommer – se sentent impunis et protégés par la classe politique. Né des suites des événements de Mai 68, le Syndicat de la magistrature a longtemps été proche de la pensée marxiste, publiant dans des revues comme Rouge, Révolution ou La Cause du peuple.
Souvent engagé contre les forces de l’ordre, le Syndicat s’est notamment distingué en publiant, en mars 2001, le livre Vos papiers ! Que faire face à la police ?, dont la couverture était illustrée par un policier à tête de… porc.
« À mort les porcs », scandent les émeutiers en soutien à Théo Luhaka. Parions qu’ils seront relâchés quand ils passeront devant un « juge rouge » du Syndicat de la magistrature. Comment peut-on contester les garants de l’application des lois de la République en appartenant soi-même au troisième pouvoir judiciaire ? Toujours animé par le souci de protéger les voyous et de caricaturer la police, le Syndicat de la magistrature s’est officiellement associé aux rassemblements « contre les violences policières », auxquels participeront des antifas et des racailles. En mai dernier, quatre activistes de gauche radicale mettaient le feu à une voiture de police en plein Paris en marge d’une manifestation de policiers contre la haine anti-flic… Trois des mis en examen avaient été libérés sous contrôle. Un traitement de faveur explicable par des relations haut placées ? La question mériterait d’être un jour posée…
La gauchosphère se montre sous son vrai visage. Chouchou de Christiane Taubira, Mehdi Meklat faisait dernièrement la couverture du magazine Les Inrocks. Clairement engagé dans des idées que l’on peut classer comme appartenant au registre du marxisme culturel (soutien sans faille d’Adama Traoré et de Théo Luhaka), le sieur Meklat anime les Éditions du Grand Remplacement aux côtés de Mouloud Achour. L’histoire était un peu trop belle pour être vraie. En effet, quelques messages diffusés par le jeune homme sont ressortis sur la Toile, montrant une personnalité travaillée par les stéréotypes véhiculés dans les banlieues : haine de Charlie Hebdo, fascination romantique pour Mohammed Merah… En guise d’explication, monsieur Meklat a affirmé qu’il s’agissait des propos d’un personnage inventé qu’il avait surnommé « Marcelin Deschamps ». Un peu gros, non ? Il a bon dos, ce con de « souchard ». Exposé sur les « murs des cons », contraint de supporter des émeutes sans se plaindre, regardant quotidiennement des gens qui le haïssent à la télévision… Jusqu’à quand le supportera-t-on ?
Source :
http://www.bvoltaire.fr/gabrielrobin/sm-a-mehdi-meklat-dernieres-nouvelles-de-gauchosphere,314948
Je ne sais plus quoi dire si ce n’est
HONTE HONTE à notre pays !
On aura vraiment touché le fond !
Et toujours cette banderole qui ressort à chaque manifestation
« Flics violeurs et assassins »
Est ce possible !!! comment peut on tolérer une pareille chose
C’est TOUTE la police d’un pays qui est touchée !
Je soutiens la police française qui nous protège ! risque leur vie chaque jour et à qui l’on ne donne pas les moyens de se défendre !
Et je le dis haut et fort !