Deep State> La corruption de l’USAID et son influence sur les médias mondiaux.

Le démantèlement de l’USAID sous l’administration Trump et Musk n’a pas été qu’une question budgétaire, mais un coup porté à un système bien rodé de corruption mondiale. Réduite de 10 000 employés à seulement 290, l’USAID a perdu son statut d’agence indépendante, dévoilant au passage des pratiques douteuses qui ont profondément influencé les médias et la politique mondiale.

Pendant des décennies, des milliards de dollars ont circulé à travers l’USAID pour acheter des médias étrangers dans des pays stratégiques : la BBC, des médias allemands, français, européens, partout a travers le monde. L’objectif n’était pas simplement de diffuser des messages favorables aux intérêts américains, mais de créer un réseau de récits biaisés qui serviraient ensuite à justifier des actions sur le sol américain.

Comment cela fonctionnait ? Selon la loi américaine, des agences comme la CIA ne peuvent pas agir directement sur les affaires internes des États-Unis. Mais en finançant des campagnes médiatiques massives à l’étranger, l’USAID permettait aux médias américains et aux partis politiques de se référer à ces « sources étrangères crédibles » pour influencer l’opinion publique. C’est ainsi que des manipulations ont été introduites pour soutenir des campagnes de désinformation, comme celles justifiant l’impeachment de Trump ou d’autres opérations politiques internes ou étrangères.

Les médias, un outil de contrôle massif. Ne sous-estimez jamais la puissance des médias dans la fabrication du consentement. Ce pouvoir de conviction a permis à des fausses informations ou des récits orientés de circuler librement et de s’enraciner dans la conscience collective. Désormais, avec le démantèlement de l’USAID, le mécanisme est enrayé, mais la bataille continue. Si vous vous demandez pourquoi la presse traditionnelle ment sans scrupule, rappelez-vous que derrière chaque fausse narration, il y a des décennies d’un système bien huilé qui a corrompu la vérité au nom d’intérêts progressistes. L’USAID n’est qu’un rouage d’un mécanisme mondial. Ce modèle de corruption et d’influence médiatique n’est pas exclusif aux États-Unis. La Russie, la Chine, la Turquie, l’Iran, le Qatar ou encore l’Arabie saoudite ont chacun leurs agences dédiées à la manipulation de la politique étrangère par des investissements stratégiques et la corruption des élites et des médias à travers le monde. Le combat contre cette influence n’est donc pas seulement américain, mais international.
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