CHASSE AUX NUISIBLES :EMILIO MESLET JOURNALISTE AU JOURNAL COMMUNISTE L’HUMANITE INTERDIT D’ENTRER EN ISRAEL

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Emilio Meslet, reporter au service politique de l’Humanité, s’est vu, à quelques jours de l’ouverture de la conférence internationale de Jérusalem contre l’antisémitisme, retirer l’accréditation presse pour cet événement, qui pourtant, lui avait été accordée.
« Nous vous informons que votre accréditation a été annulée. Vous n’êtes plus autorisé à participer à la conférence de lutte contre l’antisémitisme », lui a indiqué, au dernier moment, le ministère israélien des affaires de la Diaspora et de la Lutte contre l’antisémitisme.
Organisée les 26 et 27 mars par le gouvernement israélien, cette conférence a pour vocation de réunir dirigeants politiques, organisations internationales et personnalités de la société civile mobilisés dans la lutte contre l’antisémitisme. Pour la première fois, Jordan Bardella, président du Rassemblement national, et Marion Maréchal, députée européenne, sont invités à y participer.
Le gouvernement israélien déroule donc le tapis rouge aux patriotes français et écarte un journaliste chargé de haine d’Israel.

Le plus surprenant est l’étonnement du journal L’Humanité qui 365 jours par an crache sur Israël et qui fait le surpris quand Israel lui dit qu’il n’est pas le bienvenue.

happywheels

5 Commentaires

  1. Martin Ben Noah dit :

    Excellent.
    😁

  2. Bravo dit :

    Bravo 👏🏻👏🏻👏🏻
    Dehors le collabo!!!!!

    • liguedefensejuive dit :

      Le 27 août 1939, le gouvernement Daladier interdit de parution L’Humanité après son approbation du Pacte germano-soviétique. Dès octobre 1939, le journal paraît clandestinement[22]. Plus de 300 numéros sortent jusqu’en 1944, tantôt feuilles ronéotées, tantôt pages imprimées.

      L’été 1940, le journal ayant été interdit par le gouvernement Daladier, des dirigeants communistes ont entamé des négociations ayant pour objectif la reparution officielle du journal[23] avec les services allemands, essentiellement le lieutenant Weber de la Propagandastaffel. Une militante communiste, Denise Ginollin, est chargée des premières négociations, Jacques Duclos les suivant de près[24]. Celui-ci ne manque pas d’informer l’Internationale communiste de ces démarches et précise qu’elles ont été réalisées « sans engager les dirigeants du Parti »[25]. Maurice Thorez, depuis Moscou, valide ces démarches ce qu’il niera par la suite[26].

      Le 26 juin 1940, une seconde négociation pour faire paraître le journal a lieu entre des cadres du PCF, notamment Maurice Tréand, Jean Catelas et Otto Abetz qui les reçoit à l’ambassade d’Allemagne. Ces premiers s’engagent dans une lettre le même jour sur un certain nombre de promesses. Parmi celles-ci, « L’Humanité, publiée par nous, se fixerait pour tâche de dénoncer les agissements des agents de l’impérialisme britannique qui veulent entraîner les colonies françaises dans la guerre et d’appeler les peuples coloniaux à lutter pour leur indépendance contre leurs oppresseurs impérialistes »[27]. Cette démarche auprès des autorités allemandes doit être replacée dans le cadre du pacte germano-soviètique de 1939.

      Ainsi, on peut lire dans L’Humanité du 4 juillet 1940 :

      « Il est particulièrement réconfortant en ces temps de malheur de voir de nombreux travailleurs parisiens s’entretenir avec les soldats allemands, soit dans la rue, soit au bistro du coin. Bravo camarades, continuez même si cela ne plaît pas à certains bourgeois aussi stupides que malfaisants ! La fraternité des peuples ne sera pas toujours une espérance, elle deviendra une réalité vivante »

      (L’Humanité, 4 juillet 1940)

  3. josué bencanaan dit :

    Les communistes ont toujours été les ennemis de la France, 2éme guerre mondiale, guerre d’indochine et présence de membres du parti dans les camps de prisonniers, guerre d’Algérie, et maintenant ils sont amis des islamistes, du Hamas et du Hezbollah et travaille a la destruction d’Israël !

  4. Paul06 dit :

    L’ Humanité un torchon rédigé par des islamistes. Ce torchon n’ existe que grâce aux subventions étatiques. Il faudrait couper les subventions.

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