Bruno Retailleau a gelé tous les avoirs de l’islamiste proterroriste Elias d’Imzalène.
Cet islamiste était ressorti hilare du tribunal après une condamnation à 5 mois de prison avec sursis, je parie que cette mesure va vite lui faire disparaître son sourire. Pas de doute que les serpillières Insoumises lui ouvriront une cagnotte.
El Yess Zareli, de son vrai nom, connu pour ses participations à des mobilisations propalestiniennes ou en lien avec l’islam et les musulmans, avait été condamné à 8 mois de prison avec sursis pour avoir appelé à «mener l’intifada» dans Paris.
Le gouvernement a gelé les avoirs du militant pro-palestinien connu sous le pseudonyme Elias d’Imzalène, récemment condamné à de la prison avec sursis pour avoir appelé à «mener l’intifada» en France, selon un arrêté paru jeudi au Journal officiel. Cet arrêté, pris par les ministres de l’Intérieur et de l’Économie le 13 janvier, stipule que «les fonds et ressources économiques qui appartiennent à, sont possédés, détenus ou contrôlés» par Elias d’Imzalène «font l’objet d’une mesure de gel des avoirs pour une durée de six mois».
Mettre à sa disposition des ressources économiques de façon «directe ou indirecte» est également interdit pendant cette période, souligne l’arrêté, contre lequel le fondateur du média «Islam et Info» dispose de deux mois pour faire appel. Concrètement, cela signifie qu’Elias d’Imzalène, El Yess Zareli de son vrai nom, ne peut intenter tout changement du «volume, montant, localisation, propriété, possession, nature ou destination» sur ses fonds, selon le Code monétaire et financier.
Le gel de ses ressources économiques empêche en outre «leur utilisation afin d’obtenir des fonds, des biens ou des services de quelque manière que ce soit, notamment leur vente, leur location ou leur mise sous hypothèque», précise le texte de loi. Ce gel des avoirs est prononcé un mois après sa condamnation par le tribunal correctionnel de Paris, mi-décembre, à cinq mois de prison avec sursis pour provocation publique à la haine. Le 8 septembre 2024, lors d’un rassemblement pro-palestinien à Paris après 11 mois de guerre à Gaza, le natif de Versailles avait prononcé un discours dans lequel il incitait les participants à «mener l’intifada à Paris, dans nos banlieues, dans nos quartiers».
«Expression pacifiste»
Ce jour-là, Elias d’Imzalène avait scandé : «Est-ce qu’on est prêt à mener l’intifada dans Paris ? Dans la banlieue ? Dans nos quartiers ? On va leur montrer que la voix de la libération vient de nous. Qu’elle démarre de Paris», avait-il lancé, en haranguant un public survolté. L’orateur a également qualifié Joe Biden et Emmanuel Macron de «complices» du «génocide» palestinien. «Macron ce voleur d’élections, n’est-ce pas ? On les connaît les voleurs qui habitent à l’Élysée et à Matignon. Est-ce qu’on est prêt à les virer eux aussi ?», avait-il lâché.
Malgré ses tentatives de victimisation devant la cour, la procureure avait requis 8 mois de prison avec sursis et 2000 euros d’amende. Cela n’avait pas empêché Elias d’Imzalène de participer à de nouvelles mobilisations pro-palestiniennes
C’était pour ces propos qu’il comparaissait, libre, pour «provocation publique à la haine ou à la violence en raison de l’origine, l’ethnie, la nation, la race ou la religion», en octobre dernier. Face à la juge, Elias d’Imzalène avait défendu avec assurance une autre définition du mot «intifada», qui correspond selon lui à «une expression pacifiste de l’indignation face au génocide palestinien». La magistrate lui avait donc appelé la définition du Larousse : «L’intifada est une révolte populaire menée contre un régime oppresseur ou un ennemi étranger.»
L’audience avait été émaillée de perturbations venant du public, majoritairement composé de soutiens au militant, keffieh et kippa en forme de pastèque sur la tête – ce fruit est devenu un symbole de soutien propalestinien, choisi pour ses couleurs similaires à celles du drapeau palestinien, NDLR.
Défenseur de la cause musulmane
Malgré ses tentatives de victimisation devant la cour, la procureure avait requis 8 mois de prison avec sursis et 2000 euros d’amende. Cela n’avait pas empêché Elias d’Imzalène de participer à de nouvelles mobilisations pro-palestiniennes. Il se trouvait notamment à Saint-Denis le soir du match de football France-Israël, aux côtés d’Éric Coquerel, député LFI et président de la commission des Finances de l’Assemblée.
Interrogé le lendemain au micro de RMC, sur la présence de cet homme poursuivi par la justice, l’élu avait estimé qu’Elias d’Imzalène était «plus respectable» que ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau. Le militant originaire de Trappes défend régulièrement des causes liées à la Palestine, aux banlieues ou à l’islam, comme son soutien à l’imam Iquioussen expulsé. Il s’était également tenu aux côtés d’Assa Traoré après la mort de Nahel, mais aussi devant une école à Trappes pour dénoncer l’interdiction de l’abaya à l’école et avec les étudiants de Sciences Po durant le blocus contre «le génocide à Gaza».
Source
Le Figaro
Avec l’ accord de Macron? Si tel est le cas, macron semble décider avec prudence, sa peur des islamogauchistes le paralysant ou le rendant muet. Une hypothèse honorable, mais elle n’ est pas la seule, malheureusement.
Bravo à Bruno Retailleau qui est bien seul dans son combat contre l’islamisation galopante.
Créer des commandos parallèles et exécuter ce genre d’individus dangereux . Ces commandos existaient par le passé à l’époque de Pasqua parfois en liaison avec les espagnols pour combattre l’ETA (entr’autres) .
(suite)
Le Mossad et les EU utilisent aussi ces méthodes radicales .
Quand je dis les EU je pense à la CIA bien sûr .
Elias d’Imzalène quelle tête sympathique 😁!Je n´ose imaginer le sort réservé aux gauchistes par ce doux visage 🤬 une fois obtenue son objectif!
Je comprend trés bien pourquoi de nombreux musulmans se détournent de l´islam.
🙏✡✝💪👍