Brive : des propriétaires juifs indemnisés 85 ans après le vol de leur tapisserie du XVIIe siècle
L’enquête sur une tapisserie du musée Labenche à Brive-la-Gaillarde a abouti à l’indemnisation d’une famille juive.
Achetée en 1995 par la municipalité briviste, la tapisserie baptisée l’Odorat, était réclamée par une famille juive depuis le milieu des années 2000. Le Figaro rapporte que l’oeuvre, datant du XVIIe siècle, était venue compléter une collection d’autres pièces de la manufacture anglaise Mortlake. Le musée Labenche, qui l’avait obtenue légalement pour 660 000 francs, a indemnisé la famille lors d’une négociation à l’amiable.
Ressemblant en tout point à l’œuvre achetée à bas prix à une famille munichoise en 1936, c’est onze ans après son arrivée au musée Labenche que l’enquête commence. Les recherches ont permis de mettre en lumière le parcours de la tapisserie qui serait passée par des propriétaires privés et trois maisons de vente entre son achat à perte à la famille Drey et son arrivée en terres brivistes.
Vincent Rigau-Jourjon, directeur du musée Labenche, précise : « Les élus étaient à l’unanimité pour dédommager les ayants droit ». Préférant l’indemnisation de la famille plutôt qu’une restitution, une somme importante pour le musée et correspondant au prix d’achat de la tapisserie en 1995, ont ainsi été débloqués, soit 140 000 euros. Le 15 janvier 2021, le « protocole transactionnel » était signé, permettant à la ville de Brive de conserver l’œuvre et de s’inscrire dans une « solution juste et équitable » vis-à-vis de la famille Drey.
Source:
tout a fait normal que des gens récupèrent leurs bien
mais 144 000 euros pour cette daube c’est se
foutre de la gueule du monde
Vous plaisantez ? Cett daube comme vous dites est une œuvre d’art datant du 17ème siècle et a une valeur estimée de 660 000€ !
144 000€ C’est finalement une somme dérisoire.
Cet article pue l’hypocrisie en soulignant l’aspect amiable de la transaction. Il est évident que la famille juive en question a du se “contenter”de cette somme.plutôt que de partir en guerre pendant des années contre l’administration et le musée.
Chacun ses goûts Même pour 50 balles
Je met pas ça sur les murs chez moi
de plus que c’est impossible de savoir
qui a fait cette tapisserie ?
en ces jours c’est n’importe quoi avec
n’importe qui pourvu que ça rapporte des sous
moi je n’achète rien que je connait pas l’origine
Limone vous appelez cela une daube, alors permettez moi de vous dire que vous n’y connaissez rien.
J’aurais bien voulu avoir cette merveille chez moi
ROSA
144000 euros? Ils se sont fait avoir.
ROSA
rosa …
la manufacture a été fondée en 1619
par le roi d’angleterre jacques 1er
a mortakle a l’ouest de londres
a priori ce type ne devait pas être un mauvais
bougre il a écrit une bible, un peu comme le
moise des british a l’époque en quelques sortes …
https://fr.wikipedia.org/wiki/Bible_du_roi_Jacques
Bel échange entre Osh,Limone et Rosa.Moi je n´aime ni les tapis(pas même pour la priere),ni même ce style de tapisserie,véritable nid á poussiere,tout cela est juste bon pour déclencher des crises d´éternument.
Sinon je hais celles et ceux qui profitent de gens en danger pour les voler,de véritable salopards🤮!!!
ouai bon finalement les corréziens n’on pas le bon
flaire se se coup là, ils ont récupérer
une oeuvre d’art chouraver par les nazis du coup ils se sont
fait niquer et rembourser 140 000e a la famille c’est bienfait
pour eux ils auraient du mieux se renseigner sur le sujet avant.
Limone, à vous écouter, la famille juive en question à fait une bonne affaire grâce à la Shoah. C’est assez écœurant de lire ce genre genre de chose sur un forum Juif.
Vous semblez ignorer que l’administration des musées connaît la plupart du temps la provenance et l’itinéraire des œuvres que les musées détiennent. Ce n’est pas pour autant qu’ils se précipitent depuis 75 ans pour les restituer à leur propriétaires. C’est une situation parfaitement connue.
Avec une œuvre estimée à plus de 600000€, c’est plutôt le musée de Brives qui a fait une bonne affaire.
La famille aurait pu la récupérer et la vendre aux enchères où elle se serait vendue bien plus chère, mais certainement par lassitude ils ont accepté ce montant de clodo (je dis clodo aux vues de sa réelle valeur).