BON DEBARRAS ! Sisco : l’exil forcé à Paris des protagonistes de la rixe
EXCLUSIF. Le Point.fr a rencontré une des familles impliquées dans la bagarre du 13 août. Elle a quitté la Corse pour Paris en raison de menaces.
PAR AZIZ ZEMOURI
Jamel B., 29 ans, ne se sent plus en sécurité dans la région de Bastia où il vit depuis treize ans depuis la rixe du 13 août, après laquelle le jeune homme inconnu des services de police a été placé sous contrôle judiciaire. Cet ouvrier dans le BTP, titulaire d’un CAP obtenu dans un lycée bastiais et arrière-petit-fils d’ancien combattant marocain ayant participé à la libération de la Corse, est arrivé à Paris le 25 août avec femme et enfant pour y déposer une plainte pour menace de mort, dit-il, et consulter un collectif d’avocats qui s’est manifesté pour le défendre, lui et ses deux frères, dont l’un est incarcéré.
Nous n’avons pas privatisé la plage
Le Point.fr a rencontré le jeune homme « traumatisé » par cette rixe aux répercussions nationales et internationales dans son hôtel francilien. Sur son visage, il porte les marques de la bagarre déclenchée, selon lui, par des motivations racistes. « On est allés sur la plage de Sisco qui se trouve à 45 minutes en voiture de chez moi pour être tranquilles et faire preuve de discrétion. À aucun moment, nous n’avons privatisé la plage. C’est à tout le monde. Près de nous, d’autres gens se baignaient, il n’y avait aucun problème », dit-il de sa voix très douce. Le frêle jeune homme n’est pas vraiment taillé pour chercher la bagarre : « Je n’ai jamais eu de problème en Corse auparavant. Ma famille a des liens avec la région depuis 1943 quand mon arrière-grand-père a participé à la libération de la Corse. Son nom est inscrit sur le monument au col de Teghime [qui domine Bastia et rebaptisé col des Goumiers, NDLR]. »
Personne ne nous protège
« Je quitte la Corse, car personne ne nous protège, pas même l’État. On nous a menacés de mort, les gendarmes ont été impuissants devant la horde qui attaquait des femmes et des enfants. Ils ont brûlé nos trois véhicules, j’ai 10 jours d’ITT [incapacité totale de travail, NDLR], alors que l’hôpital de Bastia m’a demandé de quitter mon lit le soir même de mon transfert par hélicoptère. Durant mon transfert, sur la civière, j’ai été frappé et on m’a craché dessus. » Selon lui, la situation s’est tendue quand des Corses de Sisco ont commencé à prendre des photos de sa femme portant un hidjab.
Jamel détient un harpon. Comme de nombreux Corses, il s’en sert pour pêcher. Selon lui, il était rangé dans sa voiture quand la bagarre a éclaté. « Après la première altercation, on a rangé nos affaires pour quitter les lieux et le harpon était dans le coffre quand les villageois nous sont tombés dessus. Comme ils ont mis le feu aux véhicules, je pense qu’il ne peut plus servir à l’enquête, assure-t-il, [sur procès-verbal, un protagoniste adverse affirme avoir été touché par une flèche de harpon, NDLR]. Mais durant la bagarre, je suis tombé dans les pommes. Je me souviens seulement de mon dernier geste, j’avais mis mon enfant entre mes jambes et j’étais recroquevillé sur lui pour éviter qu’un caillou ne le blesse. On s’est d’ailleurs tous assis d’ailleurs, car derrière nous, c’était le vide… »
Audience le 15 septembre
Aucun membre de la famille de Jamel ne vit à Lupino, le quartier populaire de Bastia où sont pourtant venus manifester le lendemain de la bagarre des habitants aux cris d’« Arabes dehors », « On est chez nous ». Son père et son frère vivent à la périphérie de la préfecture de Haute-Corse. « Mon frère est en détention [connu des services de police, NDLR] et mon père attend seul la décision de justice. Mon troisième frère est rentré en Espagne où il réside. » Seront-ils présents à Bastia le 15 septembre à l’audience correctionnelle qui doit départager judiciairement les protagonistes ? La question reste sans réponse. Néanmoins, son entourage le pousse à se présenter devant les magistrats.
encore bravo et bravo aux corses!! voilà comment ils ont réussi à faire partir une bande voyous qui raconte encore des mensonges!! l’histoire a été racontée par plusieurs témoins visuels et elle est bien loin de se que nous lisons. Résultat ils dégagent , c’est le seul langage qu’ils connaissent et aprés comme par miracle ils retrouvent une voix douce et mielleuse. Merci la corse et ouvrez les yeux la france!!!
Soutien total aux patriotes corses !
Oh les pauv’ victimes! c’est connu que les corses foutent la pagaille partout tandis que les arabes sont connus pour leur calme et leur respect des lois.
Ne généralisez pas.De nombreux arabes vivant en Corse respectent les lois de la République.
DIXIT ; arrière-petit-fils d’ancien combattant marocain ayant participé à la libération de la Corse
FAUT ARRÊTER AVEC CE TYPE DE DIRES , AVANT ILS ÉTAIENT FRANÇAIS OU DE PROTECTORAT FRANÇAIS, DEPUIS ILS SONT MAROCAINS INDÉPENDANT ET LIBRE DE RESTER OU DE RENTRER CHEZ EUX !;
LA RELIGION MUSULMANE QU’ON CHERCHE À INTÉGRER EN FRANCE EST PIRE QU’UNE MENACE DE MORT INDIVIDUELLE, CAR LA MENACE EST POUR TOUS LES FRANÇAIS, TOUTE L’EUROPE ET ILS SAVENT TRÈS BIEN S’IMPLANTER EN IMPOSANT LEURS US ET COUTUMES …RELIGIEUSES ?
ALORS PARIS ATTENDEZ VOUS À EN RECEVOIR 40000 !!!
Bravo! Bravo, bravo les Corses! Mais pourquoi Paris…? Comme si on en a pas déjà assez… Il serait retourné au bled ou au Yémen!! On a plus de places dans nos prisons si il recommence… on en fait quoi? Je ne remercie pas le gouvernement qui nous a mis dans ce pétrin! Je n’ai pas envie de la Corse indépendante, si ca sera le cas,la France va être amputée d’un membre. Parce qu’une France sans sa Corse, c’est plus la France…
Aliya en corse
bien entendu ce sont les pauvres « arabes » qui sont les victimes !!
Pour les septiques :
allez, venez a Marseille vous saurez ce que c’est de vivres avec ces gens la, haine, racisme, violence et agressions en tous genres!
soutien total au peuple Corse !
en info :
http://actu.orange.fr/france/un-jeune-homme-se-fait-arracher-sa-croix-et-frapper-a-vitrolles-CNT000000sYiQG.html
vous avez raison :les villes de Marseille ou paris et autre à forte concentration musulmane ;sont des problèmes récurants que beaucoups de médias nous cache ;les corse ne supporte pas l »arrogance de ses gens ,qui veulent imposer un mode de vie ou voiles depuis quelques années fleurissent à tout va ;les corses ne veulent pas de quartiers comme sur le continent ;ils se défendent et on bien raison !
Il convient de ne pas généraliser à tous les musulmans.Nombre d’entre eux vivent tranquillement .
beaucoup de blabla pour rien le Conseil d’état a suspendu l’arrêté qui demandait l’interdiction du burkini sur les plages !
les islamistes ont gagné ?la France est fichue !! et nos dirigeants n’ont aucune autorité
bravo les Corses vous n’êtes pas comme en métropole où les islamistes font la Loi dans nos quartiers et imposent le salafisme
Vous n’avez pas assez journalistes vendus de travestir la vérité ( le procureur de la république a présenté les faits et ce ne semble pas correspondre à votre analyse) le procureur serait alors un menteur (?).
Vous présentez ce protagoniste Magrhebin de façon angelique en le victimisant à outrance ( vous étiez donc sur les lieux?) le pauvre chou innocent va être obligé de quitter cette île hostile que ses ancêtres ont autrefois sauvé,avec sa famille traumatisée à vie que les soignants de l’hôpital de Bastia ont mis à la porte alors qu’il y aurait eu des soins multiples à encore dispenser.( à Bastia les soignants sont diaboliques c’est notoire) enfin cette pauvre famille traumatisée va devoir fuir devant cette inhumaine barbarie des Corses…arrêtez d’être tendancieux et de parti pris l’information y gagnera en qualité
Quel sale menteur et hypocrite !!!!!
Pas un mot de vrai !
Ils ont voulu jouer aux durs sur un territoire de la république française mais les citoyens du lieu se sont rebiffés et cela à chauffé pour eux.
L’ancêtre héros doit avoir honte de cette génération !
Le journaliste est totalement partial. La personne blessée au harpon l’aurait simplement déclaré sur procès verbal. Victimisation à 100%.
Si vous les ecoutez ce sont de pauvres victimes, ne soyons pas dupes de ces fourbes il ne faut pas les croires.