BIENVENU EN ENFER : MORT DU NEGATIONNISTE SERGE THION
Il est mort à Créteil, le 15 octobre 2017.
À la fin des années 1970, Serge Thion commence à s’intéresser au discours négationniste de Robert Faurisson, qui remet en cause l’existence des chambres à gaz et le nombre de morts pendant la Seconde Guerre mondiale. La question émerge au grand jour à la fin de 1978, avec la publication par Le Monde d’un texte de Faurisson, suivie de diverses interventions (Gabriel Cohn-Bendit, etc.) dans différents organes de presse. Notamment, un numéro de la revue Esprit en septembre 1980 traite à la fois la question du négationnisme (Pierre Vidal-Naquet) et du Cambodge (Serge Thion, Paul Thibaud).
À cette époque, Serge Thion publie Vérité politique ou vérité historique ? et Faurisson Mémoire en défense, avec une préface de Noam Chomsky. Les deux livres paraissent aux éditions dirigées par Pierre Guillaume La Vieille Taupe, d’origine marxiste-libertaire (Guillaume venant de Socialisme ou Barbarie), mais ayant évolué vers le négationnisme au cours des années 1970.
Accusé par la suite d’avoir « remis en cause l’existence de crimes contre l’humanité », Serge Thion est révoqué en novembre 2000 de ses fonctions de chargé de recherche au CNRS par une commission présidée par l’historien François Bédarida. Il est régulièrement accusé par de nombreuses associations de promouvoir le négationnisme
.
Avec Pierre Guillaume, il est considéré comme étant l’un des fondateurs du plus important média négationniste en langue française, le site Aaargh.
Après les attentats du 11 septembre 2001, Serge Thion conteste le rôle d’Oussama ben Laden dans leur organisation.
En 2003, il participe à des réunions publiques organisées par des membres du Parti des musulmans de France.
Lors des élections de 2007, des chroniques sont publiées sous le pseudonyme de « Serge Noith » sur le site de campagne de Dieudonné M’bala M’bala ; le magazine L’Arche a fait un rapprochement entre ce pseudonyme et le nom de Serge Thion.
En juin 2009, Serge Thion intègre le Mouvement des damnés de l’impérialisme7 de Kémi Séba
Bon débarras
P.S:qu’ils enlevent le « n » en trop à « annales »,ça correspondra mieux à ce genre d êtres abjects.
c est un malada, vous devriez arréter vous-meme de parler de lui comme étant un etre humain…
Il était déjà mort depuis longtemps ! Chacun sait qu’une raclure de bidet qui se complait au milieu de pissats et étrons en tous genres, finit toujours par être emporté par une chasse d’eau libėratrice.
Reste plus que le maitre-es- imposture, le rejeton cacochyme, victime d’un accident de capote. Préparons le champ!
Il n’est pas difficile de penser que cet homme était un antisémite. Il n’est pas difficile de penser que son négationnisme était l’expression de cette haine.
Une ordure en moins ! Cela fait plaisir !
Next, Faurisson, dans une mort lente et douloureuse !