BEN GVIR SERAIT-IL LE DANGER PUBLIC MONDIAL No. 1 ?
Par Thérèse Zrihen-Dvir
Itamar Ben Gvir, qu’il le veuille ou pas, est devenu en l’espace de quelques mois seulement, l’ennemi le plus virulent, agressif et dangereux, tant au regard des médias gauchistes israéliens qu’au sein des occidentaux. La Gauche israélienne en a fait un monstre, un danger public… mondial. Personne ne peut lui pardonner son affiliation au parti radical Kach et Kahane Chai, qui a finalement été désigné comme organisation terroriste et interdit par le gouvernement israélien.
Les USA ont froncé les sourcils face à cette nouvelle ignominie appelée Itamar Ben Gvir qui va, semble-t-il, pulvériser l’harmonie politique mondiale et surtout la stabilité du petit État d’Israël qui insiste à demeurer juif, et dont un éventail d’inconscients et d’antisémites n’en veulent pas, qu’ils soient démocrates ou autres.
On se demande quelles pourraient être les portées, provocations de cet homme phénoménal qui ose défier la sécurité et stabilité d’Israël, que dis-je du monde ? Qu’a-t-il osé faire pour créer un tel remue-ménage ? Une telle crainte, et tel déchaînement ?
Je vais vous le dire : Il a osé hurler tout haut tout ce que ce beau monde se dit tout bas. Il a osé parler de l’intégrité d’une nation, du nationalisme, et s’est placé directement sous les feux des projecteurs pour leur faire comprendre leurs erreurs, dont l’acceptation de se faire avaler par le tiers-monde, envahir par des hordes barbares islamiques qui sans vergogne emploient le ventre mou et les valeurs démocratiques pour atteindre leur objectif qui n’est autre que la capitulation des pays occidentaux. Chez ces derniers, à l’heure actuelle, c’est le règne de la terreur, de l’incohérence, tandis que le laïcisme perpétue son nettoyage de tous les fonds de tiroirs sans trop de succès, puisque un peu partout demeurent un noyau et une foi, plus ou moins accentuée chez certaines ethnies que chez d’autres.
Mais ce n’est pas tout : Les animaux malades de la peste refusent que l’un d’eux tente d’échapper à ce mal, en luttant pour qu’il rétrograde tout en s’amant d’éléments qui l’empêcheront d’être tout autant contaminé, d’être envahi et substitué par un autre peuple, régulièrement appelé falestinien.
L’Occident est malade et son mal est généralisé. Sa course effrénée vers le suicide s’affirme de jour en jour. Qu’a-t-il gagné en se dépouillant de ses garde-fous, de sa précaution, de toute sa prudence ? Il n’en reste que des poussières. Il subit le mal tout en étant conscient qu’il est trop tard pour éviter son naufrage.
Il se déplume chaque jour un peu plus. Il a perdu toute logique, toute décence, toute dignité. Il frôle la faillite financière, humaine, sécuritaire, mais, il en garde quelque peu de ce zèle pour reprocher à Israël de vouloir lutter pour sa survie.
Itamar Ben Gvir n’est qu’une des multiples raisons du dénigrement des occidentaux de l’État Juif d’Israël. Ils n’ont jamais cessé de financer la terreur et d’aduler les terroristes et leurs représentants tandis que leurs médias soudoyés, suivent religieusement cette propension néfaste contre tous juifs du monde.
Des Hitler, de tout bord, genre et couleur, on en ramasse à la pelle.
Thérèse Zrihen-Dvir
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BEN GVIR SERAIT-IL LE DANGER PUBLIC MONDIAL No. 1 ? PAR Thérèse Zrihen-Dvir
Itamar Ben-Gvir and Bejamin Netanyahu caricature
(Image: Guy Morad)
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