Attentats du 13 novembre : 266 parties civiles au procès de Jawad Bendaoud
Le «logeur» de djihadistes sera jugé du 24 janvier au 14 février pour recel de malfaiteurs terroristes.
Il y aura au moins 266 parties civiles au procès de Jawad Bendaoud, «logeur» de djihadistes des attentats du 13 novembre 2015, qui sera jugé du 24 janvier au 14 février.
Toujours en détention provisoire, Jawad Bendaoud comparaîtra pour «recel de malfaiteurs terroristes». Il n’a pas assisté à l’audience de procédure qui s’est déroulée ce jeudi. En revanche, plusieurs dizaines d’avocats étaient présents au tribunal qui a indiqué que 266 parties civiles étaient déjà constituées, mais que d’autres devraient encore se rajouter.
Rendu célèbre par une vidéo où il clamait maladroitement son innocence, Jawad Bendaoud sera jugé pour avoir fourni l’appartement de Saint-Denis où Abdelhamid Abaaoud, organisateur présumé des attaques, et un autre auteur des tueries s’étaient repliés.
Ce dossier a été disjoint de l’enquête principale, toujours en cours, sur les attentats qui ont fait 130 morts à Paris et Saint-Denis. Jawad Bendaoud, délinquant multirécidiviste, qui est en détention provisoire, encourt six ans d’emprisonnement.
Des délogés de Saint-Denis
Parmi les parties civiles au procès de Jawad Bendaoud figureront des victimes des attaques du 13 novembre, certaines ayant été blessées au Bataclan et au café La Belle Equipe, des associations de victimes et des habitants de Saint-Denis, délogés par l’opération du Raid contre l’appartement.
«Les victimes se disent qu’après les attentats du 13 novembre, alors que des photos et des noms de suspects avaient été diffusés, des personnes ont aidé» les terroristes, a expliqué à des journalistes l’avocate Héléna Christidis. «Il y a une volonté d’assister à cette audience même si les faits jugés ne sont pas ceux du 13 novembre», a-t-elle poursuivi.
Un des proches de Jawad Bendaoud, Mohamed Soumah, lui aussi en détention provisoire, et Youssef Aïtboulahcen – un frère d’Hasna Aïtboulahcen, décédée lors de l’assaut policier du 18 novembre 2015 contre l’appartement – sous contrôle judiciaire, seront jugés à ses côtés.
Le procès sera retransmis dans deux salles et le jugement sera rendu le 14 février, a indiqué la présidence du tribunal.
Source :
http://www.leparisien.fr/faits-divers/attentats-du-13-novembre-266-parties-civiles-au-proces-de-jawad-bendaoud-21-12-2017-7466466.php
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Djawad, Djawad? Sur la vie de « momo l’enclumeur de chameaux » ( chiasses épaisses et pissats puants de verrats en rut sur lui), c’est pas ce brillant intello dont la« civilisation » muzz ( toutes tendances confondues) devrait s’enorgueillir ? A côté, Einstein est un arriéré mental. De quoi vous donner envie de vous convertir immédiatement à la secte politico- religieuse aux penseurs …détonnants (!). Sans oublier, pour autant, que des Djawad, c’est pas ce qui manque chez eux…z’ont bien « le vicieux coranique ( sa mère), alias « tarik la trique », mais il ne fait plus recette en ce moment. Une chOnce pour la frOnce comme ça, ils ne devraient pas la laisser passer. Pourquoi ne pas lui élever une statue de son vivant à Djawad ( monsieur 2 neurones) que des chiens viendraient honorer chaque matin à leur manière habituelle? Tiens, la mosquée de Paris « ville lumière » et celle des lumières comme Djawad, devrait s’y pencher. A la place de cet arc de triomphe, symbole de la barbarie française, non?Sur la vie de « momo l’enflure » ( chiasses épaisses et pissats puants de verrats en rut sur lui), c’est pas une idée qu’elle est bonne?