AMI OU ENNEMI par le Pasteur Gérald FRUHINSHOLZ
De Jérusalem,
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Ce que nous vivons actuellement par rapport aux événements en Israël et plus précisément Gaza est pour le moins stupéfiant. Des millions de chrétiens sont persécutés dans le monde, 300 000 civils ont été tués en Syrie depuis 2011, un millions d’Ouïghours musulmans sont persécutés par les Chinois (de même les Tibétains), des Ukrainiens et des Russes meurent par milliers tous les mois, des millions de Soudanais vivent une famine sévère, le Congo est dans une guerre depuis 30 ans faisant des milliers de victimes, etc…, mais c’est Gaza – 35 000 victimes (selon les dires du Hamas) dont une grande partie de terroristes – qui attire le plus l’attention du monde et des médias.
Pourquoi cette particularité de Gaza ? Ne serait-ce pas parce que le peuple juif et Israël sont dans l’équation ? …
Les rues, les universités, les gouvernements, s’enflamment dans le monde entier contre Israël. Après les horreurs du 7/10 et la détermination du gouvernement israélien d’en finir avec ce terrorisme endémique – rappelons simplement les attentats de Beyrouth en 1983 par le Hezbollah qui causèrent la mort de 241 soldats américains, et de 58 parachutistes français – les nations se retournent contre Israël ! On propose même de mettre au pilori, plus exactement d’accuser de « crimes de guerre » le PM israélien Netanyahou. Rien de moins. Des gouvernements coupent toute relation officielle avec Israël et ces mêmes pays veulent absolument créer « la Palestine » en sachant que cela signifie la mort d’Israël.
Dans cette folie furieuse à l’encontre de la seule démocratie au Moyen-Orient, toute personne sensée peut-elle se poser et réfléchir ? Pourquoi cette haine du peuple juif et d’Israël ?… Quelle différence y a-t-il entre l’antisémitisme nazi des années 30-40 et celui d’aujourd’hui ?
Je voudrais faire suivre les propos d’un ami juif de Jérusalem, Richard Elkaïm :
« […] L’antisémitisme, on connait. Hélas. Depuis toujours. L’antisionisme, on connaît aussi, hélas. Depuis moins longtemps et pour cause. Depuis la naissance de l’État d’Israël. Mais depuis le 7 octobre, on pourrait dire, si j’osais prendre le sujet à la rigolade, ou sourire l’espace d’un court instant pour éviter le tragique et dramatique de la chose, que c’est une affaire qui marche. Qui court même. De partout de par le monde.
Comme chacun de nous, je regarde les images télé nous envahir. Que ça. Pas une chaîne d’info sans les Universités du monde, les Sciences Po de France, les manifs contre Israël, contre Netanyahou, contre les Juifs, les drapeaux palestiniens brandis, tels des océans fougueux et enivrés, ivres de semer la mort, les keffiehs sur les têtes, sur les épaules ou autour des hanches de toutes ces jeunes blondasses bien de chez cette pauvre France tellement profonde. Et débile. Devenue folle de tant de haine. Tout est antisémitisme, pire qu’aux pires époques de l’histoire de l’Europe de tous les temps […] ».
Depuis que la ligne (au fer) rouge a été tracée le 7/10, nous pouvons dire que nous n’avons que le choix d’être « ami ou ennemi d’Israël ». Il n’y a maintenant plus de zone d’ombre où se cacher. C’est au moins clair. Le Président Biden par exemple est-il vraiment un ami ?…
L’ancien ambassadeur David Friedman y répond dans un interview, tout d’abord par rapport à l’Iran : « Je blâme l’Amérique pour cela. L’Amérique, depuis que nous avons quitté le pouvoir, n’a pas appliqué de sanctions contre l’Iran. Ils leur ont fourni des dizaines de milliards de dollars d’allègement des sanctions, qu’ils ont utilisés pour répandre le terrorisme et les armes à travers tout le croissant du Moyen-Orient jusqu’en Irak, en Syrie, au Liban, à Gaza.
Israël se bat pour sa vie et Biden se bat pour le Michigan. Il a besoin de montrer qu’il n’est pas tellement pro-Israël, donc il a déçu beaucoup, beaucoup, beaucoup de Juifs. Je pense qu’il a fait un mauvais calcul politique, mais plus important encore, je pense qu’il vient de faire un calcul très immoral.
L’effet de ce qu’il a fait est d’enhardir le Hamas. Il augmente le prix qu’ils imposeront pour tout retour d’otages. Cela leur donne plus de pouvoir de négociation. Cela va exactement à l’encontre de ce que M. Biden souhaite accomplir, à savoir mettre un terme à la guerre.
Biden n’a fait que de commettre des erreurs depuis qu’il est au pouvoir. Il a commis une énorme erreur en Afghanistan, dans ses relations avec la Russie, avec l’Iran, et maintenant avec le Hamas et le Hezbollah ».
Donc, même si Mr Biden dit le contraire, il n’est pas un ami d’Israël. Une définition de l’amitié se trouve dans la Bible (Proverbes 17,17) :
« L’ami aime en toute circonstance, et dans le malheur il se montre un frère ».
A chacun de nous définir dans ces temps troublés. Presqu’un siècle après l’antisémitisme nazi, posons-nous la question. Il est vrai que jusqu’en 1945, le monde n’était pas vraiment sensible à « la question juive ». A-t-on appris de l’Histoire ?…
Israël demeure la conscience de l’humanité – Le Mémorial de Yad Vashem à Jérusalem en témoigne. La conscience des nations serait-elle seulement motivée par ses intérêts économiques, avec le pétrole arabe ? Je crois hélas que cela va plus loin. La haine anti-juive est irrationnelle et elle doit être combattue avec force dans les esprits.
J’apprécie l’amitié de l’ambassadeur David Friedman : « Le peuple d’Israël est l’un des peuples les plus incroyables au monde. J’ai vu l’unité, comme je n’en ai jamais vu dans aucun pays, et on en a désespérément besoin ici. Cela n’enlève rien au fait qu’il y a beaucoup de tristesse et beaucoup de traumatismes (suite au 7/10), beaucoup de questions sans réponse. Il y aura un règlement de comptes pour cela, pour ces échecs à un moment donné. Mais le peuple israélien est l’un des plus grands du monde et je suis très fier d’eux ».
A l’heure où nous voyons dans le monde les drapeaux palestiniens être brandis, il est bon de se réveiller ou réveiller nos consciences et pourquoi pas lever le drapeau d’Israël. Déjà, ces bannières frappées de l’Etoile de David fleurissent dans les rues de Jérusalem en vue de Yom haHatsma’out, le Jour de l’Indépendance, le 14 mai. Kol hakavod (Bravo et honneur) à Israël qui malgré ses traumatismes et le nombre de victimes dans cette guerre, sait, avec l’aide de D.ieu, se relever et vivre fièrement.
🙏 Une définition de l’amitié se trouve dans la Bible (Proverbes 17,17) :
« L’ami aime en toute circonstance, et dans le malheur il se montre un frère ».
Que rajouter á cette définition de la bible sur l´amitié?Mes ami(e)s juif,permettez-moi aujourd´hui de vous considérez comme des frêres 🙏.
🙏✝✡💪👍
H.S
Comme quoi faire des généralités sur des personnes d´origine maghrébine et completement stupide,faut-être un dégénéré::
👍Le journaliste Radouan Kourak menacé de mort après avoir dénoncé les propos de Nassira El Moaddem sur la France
Article de leJDD • 12 h • 2 min de lecture
Le journaliste Radouan Kourak dénonce le racisme et les menaces dont il est victime après avoir critiqué les récents propos de Nassira El Moaddem, qui qualifiait la France de « pays de racistes dégénérés ».
Sur X (ex-Twitter) le 2 mai, Radouan Kourak s’en était pris à la position de sa consœur journaliste, déclarant notamment : « Vous semblez cracher dans la soupe et renier ce pays qui nous a pourtant tout donné. Nous lui devons tout. La France est le pays le moins raciste du monde ». Sur CNews le lendemain, le journaliste du magazine Entrevue et chroniqueur à Touche pas à mon poste ! (TPMP) sur C8 avait réitéré ses critiques, déclarant : « On n’insulte pas la France ». Et de poursuivre : « La France m’a tout donné. La France n’est pas un pays de dégénérés et encore moins un pays de racistes. »
À lire aussi « Pays de racistes dégénérés » : les propos d’une journaliste d’Arrêt sur images soulèvent un tollé
Sa prise de position lui a valu de nombreuses insultes sur les réseaux sociaux, certaines à caractère raciste. « Ceux qui se revendiquent de l’antiracisme sont en réalité les plus racistes. Car me traiter “d’Arabe de service”, c’est du racisme. Et me dire “sale Blanc” reste du racisme, mais anti-blanc ! », a commenté le chroniqueur de TPMP sur CNews et X.
Menaces de mort
Son avocat, Auran Reihanian, a publié ce 5 mai un communiqué dans lequel il rappelle que son client « est assailli de milliers d’insultes racistes, homophobes, et antisémites ». « Dans le pays qui a connu Charlie Hebdo, comment peut-on laisser prospérer silencieusement de telles menaces contre un journaliste ? » s’interroge l’homme de loi, ajoutant que Radouan Kourak était également visé, depuis le 3 mai, « par des menaces de mort circonstanciées ».
« Dans une démocratie saine, le “cyberharcèlement” dont il est victime commanderait une condamnation tout aussi vigoureuse que celle exprimée légitimement à l’égard de celui dont est victime Nassira El Moaddem », conclut Auran Reihanian.
😉Que ce monsieur soit fier de ses propos,fier d´avoir dit la vérité,tout simplement d´être honnête!Mais ce monsieur représente se qu´il y a de pire pour les furoncles gauchiste,d´origine immigré,il a réussi,il aime la France et dénonce les tarés qui polluent les gens issue de l´immigration qui aiment la France.
La gauche de la radicale á la molle sont les véritables rassous,pour eux un noir doit rester un noir,un arabe doit rester un arabe,un prolo un prol,des que l´on sort du lot,ils nous haissent,ils se voient tel qu´ils sont:des TARÉS bien ROUGE-BRUN 😡!!!!Je pense,mais peut-être que je me trompe,les gauchos n´ayant plus de prolos,de personnes bien intégrées ne se laissant plus piéger par eux,le « palestinien » tombe á pic 😁 et puis quel plaisir de se laisser aller á ses délires antisémite sous couvert d´anti-sionisme,la gauche et ses vieux démons(petite branlette devant doriot,laval,bousquet,déat le soir avant de s´endormir 🤬)!
LA GAUCHE PUE-LA GAUCHE TUE!!!!
🙏✡✝💪👍
Allez,un peu de zizique pour respirer:
-Emilie Vidrine & Tee Franglais – Les Nuits Cajun & Zydeco SAULIEU 2012
Ta Petite Robe Courte
https://youtu.be/6jBR9Dc0sTA?feature=shared
-Douce France « Rachid Taha »
https://youtu.be/GRfFpZmikFo
-Moccasin Creek – Life Matters (Official Music Video)(pas des rouges,ohhhhhhh non 🤬!!!!)
https://youtu.be/xNzteiM7-B0
-Moccasin Creek ft. Bruce Kulick and Twan D – Friends of All Kinds (Official Music Video)
https://youtu.be/x0ZVLvkViO4
Abnousse Shalmani: “Rappelons aux étudiants que la révolution en Iran est née de la jonction entre communistes et islamistes”
2 mai 2024 Tribune Juive Entretien 0
Entretien mené par Alexandre Devecchio
ENTRETIEN – Dans son dernier essai, Laïcité, j’écris ton nom, l’écrivain d’origine iranienne fait l’éloge de l’humanisme et de l’universalisme. Autant de valeurs aujourd’hui menacées face à la montée de l’islamisme, alerte-t-elle.
LE FIGARO. – Vous dédiez votre livre aux 1 160 victimes des pogroms du 7 octobre 2023. Pourquoi ? Cet événement a-t-il été trop vite oublié ?
ABNOUSSE SHALMANI. – Les pogroms et les otages ont été très rapidement occultés par un discours militant islamiste nourri par une haine ahurissante. Les jours qui ont suivi les pogroms, nous avons vu des militants, jeunes et moins jeunes, arracher les affiches représentant les visages des otages. Ce geste négationniste doublé de la joie mortifère de trop de populations arabo-musulmanes, mais pas seulement, en Indonésie, au Yémen, en Tunisie, jusqu’en Allemagne, où une distribution de bonbons a été organisée pour « célébrer » les massacres du 7 octobre, ou dans les universités américaines, où l’attaque terroriste était transformée en « acte de résistance », m’a d’autant plus motivée dans ma volonté de demeurer, envers et contre tout, une humaniste. On ne danse pas sur des cadavres, on ne s’enthousiasme pas de la mort de civils, on n’amalgame pas résistance et massacre.
Que vous inspirent les blocages de Sciences Po ? Manifestation légitime de soutien au peuple palestinien ou illustration de la dérive islamo-gauchiste d’une partie de l’enseignement supérieur ?
S’il est naturel pour un étudiant et même initiatique de manifester, de s’opposer, de résister, s’il est même formateur de se rebeller, ce n’est pas ce qui se passe dans les universités occidentales face au conflit Israël-Hamas. Ce que je vois et entends n’est pas une défense des Palestiniens mais une haine d’Israël qui flirte dangereusement avec l’antisémitisme. Clamer « From the river to the sea Palestine will be free » ne veut rien dire d’autre qu’« Israël doit disparaître de la carte ». Quand les étudiants se peignent les mains en rouge, reproduisant le geste de deux tueurs palestiniens, à Ramallah en 2000, après avoir démembré et tué deux Israéliens, on ne peut pas dire « on ne savait pas », on participe à un discours islamiste moribond qui ne veut pas la paix, mais la disparition d’Israël et des Juifs.
J’aurais aimé voir tous ces étudiants manifester leur dégoût après la destruction du camp palestinien historique de Yarmouk en Syrie par Bachar el-Assad en 2018 et qui est considéré par les 100 000 Palestiniens qui ont dû fuir les bombardements et la faim comme une deuxième Nakba ; j’aurais aimé les voir marcher pour les 377 000 morts de la guerre au Yémen, ou pour défendre les Ouïgours de Chine ou les Rohingyas de Birmanie, victimes de massacres et de génocide culturel. J’aurais tant aimé les entendre crier pour la liberté des Iraniens qui se battent si courageusement contre la mollahrchie, ou en soutien aux démocrates du Sud-Est asiatique. J’aurais aimé qu’ils manifestent en 2007 quand le Hamas arrive au pouvoir à Gaza et tue les membres de l’opposition, défenestre les homosexuels, ferme l’université des Beaux-Arts, détourne l’aide humanitaire et embrigade la jeunesse dans la haine antisémite. J’aurais aimé qu’ils prennent soudain conscience de leur inculture après avoir reçu le soutien de l’ayatollah Khamenei. J’aurais aimé voir des étudiants qui sont l’élite de demain être à hauteur d’humanisme mais ils se vautrent dans l’antisémitisme en s’appropriant la doxa islamiste.
Vous rappelez la tribune cosignée par Élisabeth Badinter, Régis Debray, Élisabeth de Fontenay, Alain Finkielkraut et Catherine Kintzler publiée en 1989 dans Le Nouvel Observateur après la première affaire du voile de Creil. Si le gouvernement et l’ensemble de la société avaient réagi à l’époque, aurions-nous pu éviter les assassinats de Samuel Paty et de Dominique Bernard ?
Je n’aime pas réécrire l’histoire – sauf dans mes romans – mais nous avons été lents, trop lents à réagir. Je ne cesse de relire cette tribune de 1989 : « Et s’ils demandent demain que l’étude des Rushdie (Spinoza, Voltaire, Baudelaire, Rimbaud…) qui encombrent notre enseignement soit épargnée à leurs enfants, comment le leur refuser ? » et nous y sommes, quand des professeurs alertent sur le refus de leurs élèves de visiter le Musée d’Orsay – car trop de nus heurtent les regards – ou celui d’étudier Flaubert – car trop de péchés encombrent Madame Bovary. Ce que nous aurions pu éviter, c’est d’abandonner les citoyens français musulmans à la pression communautaire des islamistes. Ce que nous aurions dû éviter, c’est de laisser les islamistes amalgamer musulmans et islamistes. Ce que nous payons, c’est notre lâcheté et notre peur devant le discours culpabilisateur et mensonger des islamistes, qui ont non seulement transformé nos valeurs universalistes et républicaines en « islamophobie », mais musèlent les citoyens français musulmans dans une illusion communautaire qui dessert tout le monde.
Ce que nous sommes en train de vivre actuellement en France avec l’alliance entre les islamistes et les gauchistes est-il un scénario comparable à celui de la Révolution islamique ?
La révolution islamique de 1979 a été possible grâce à la jonction entre les communistes et les islamistes au nom de l’anti-impérialisme. Après la révolution, Khomeyni n’a pas hésité : il a emprisonné et exécuté ses alliés communistes sans l’ombre d’un doute. Plus tard, en 1999 précisément, un marxiste britannique, Chris Harman, publie Le Prophète et le Prolétariat, où il théorise l’islamo-gauchisme : « Sur certaines questions, nous serons du même côté que les islamistes contre l’impérialisme et contre l’État, notamment en France et en Grande-Bretagne. Là où les islamistes sont dans l’opposition, nous devons être avec les islamistes parfois, avec l’État jamais. » L’islamo-gauchisme est un opportunisme vicieux qui finit toujours par dévorer la gauche.
Est-ce que le combat pour la laïcité est suffisant dans le contexte actuel ?
La laïcité, c’est « la fin du réprouvé », disait Jaurès. La laïcité, c’est la promesse républicaine incarnée : quelles que soient nos différences de naissance, de sexe, d’ethnie, de religion, nous sommes frères et sœurs en humanité. C’est révolutionnaire et puissant. La laïcité est une arme suffisante car elle dit l’universalisme et l’humanisme dans le même mouvement, elle nous offre la possibilité du choix, donc de la liberté individuelle, elle réunit sous le même drapeau et sans discrimination tous les citoyens qui signent le pacte républicain. C’est le pacte républicain qui est en crise, c’est notre désamour qui est le moteur de cette crise. Nous ne savons plus être fiers de la France, nous ne connaissons plus son histoire. En 1989, cette année clé, qui est aussi celle du bicentenaire de la Révolution française, un rapport de la commission de la nationalité est remis à Matignon par un conseiller d’État, Marceau Long. On y lit : « L’affaiblissement des institutions et des valeurs universalistes autour desquelles s’est élaborée la tradition nationale, et qui a permis l’intégration des populations étrangères des deux derniers siècles, constitue le véritable danger pour l’avenir national. » Retrouver les gammes universalistes, être les enfants de Lamartine et d’Aimé Césaire, voilà ce qui peut sauver notre République, la renouveler et la faire rayonner de nouveau.
© Alexandre Devecchio