ALGER :« L’Algérie juive » exclu des évènements littéraires : une interdiction qui fait débat
» L’Algérie juive – L’autre moi que je connais si peu » est le récent livre de l’écrivaine algérienne Hedia Bensalhi, qui fait polémique depuis quelques jours. Mettant en lumière une mémoire oubliée en explorant en profondeur la présence juive en Algérie, ce livre a été interdit des ventes dédicaces et des salons de livres.
Une rencontre littéraire autour du livre « L’Algérie juive« était prévue pour le 24 octobre dernier. Cependant, l’administration locale et centrale a ordonné l’annulation de l’événement sans exposer les raisons de cette interdiction.
Une décision qui, selon les spéculations, serait liée aux critiques le jugeant inopportun dans le contexte actuel concernant l’agression et le génocide à Gaza, commis par l’État hébreu. En effet, certains auraient qualifié ce livre de » normalisation culturelle avec les sionistes« .
De plus, Bensalhi a été critiquée pour sa collaboration avec Valérie Zenatti. L’auteure de la préface du livre « L’Algérie juive« , en raison de son lien avec Israël. Bien qu’elle soit née en France, cette romancière, traductrice et scénariste connait très bien Israël, pour y avoir vécu plusieurs années.
« L’Algérie juive » : une plongée dans l’histoire de la communauté juive en Algérie signé Hedia Bensalhi
L’ouvrage « L’Algérie juive » est salué par plusieurs membres de la communauté littéraire algérienne. Pour sa recherche rigoureuse et son analyse fine. Qui plonge les lecteurs dans les recoins souvent ignorés de l’histoire de l’Algérie. En effet, Hedia Bensalhi suit la trajectoire historique de la communauté juive en Algérie. Mettant l’accent sur la marginalisation de la culture juive et amazighe.
Source
https://www.algerie360.com/
«Normalisation culturelle avec les sionistes» : une librairie d’Alger contrainte d’annuler une rencontre littéraire sur «l’Algérie juive»
Une rencontre littéraire a été annulée à Alger, ce samedi 26 octobre. Les organisateurs ont annoncé à l’Agence France-Presse que cet événement autour du livre L’Algérie juive ne pouvait pas se tenir, après des critiques liées à la guerre dans la bande de Gaza, rapporte Le Figaro.
Quelques jours plus tôt, le député islamiste Zouheir Fares, a indiqué que le ministère de la Culture avait interdit la rencontre de se tenir suite à sa demande. Il avait écrit une lettre pour appeler l’État à réagir, dans laquelle il dénonçait une « normalisation culturelle avec les sionistes ». La librairie de la capitale algérienne n’a pas fourni plus d’informations sur les raisons qui ont conduit à cette annulation, tout en annonçant le retrait du livre de ses rayons.
L’élu a notamment pointé du doigt l’autrice française Valérie Zenatti, qui signe la préface. Elle serait, d’après lui, « une citoyenne de l’entité sioniste ayant récemment servi dans son armée ». Une autre rencontre littéraire autour de l’ouvrage a été annulée, jeudi 24 octobre, dans la ville de Tizi Ouzou. L’autrice du livre, Hedia Bensahli, a précisé que L’Algérie juive avait été écrit et commercialisé avant le début des affrontements entre le Hamas et Israël.
Ok laissons les Juifs de côté…..
.Nous on a tourné la page des pays arabes….nous avons Israël maintenant .
Par contre soutenons les Kabyles avec qui nous avons vécu une période pacifique et fraternelle…. avant l’arrivée des barbares .
sanguinaires .
Leur déesse La Kahina n’a t ell Pas du sang Juif ?
Deux mots sur les Juifs d’Algérie :
La division entre les Juifs et les Arabes a débuté après le décret Crémieux .
Les Juifs avaient choisi leur camp …..celui de la Liberté .
Certains arabes se sont posés la question » pourquoi les Juifs et pas nous » ?
Je rappelle que sous Vichy ce décret a été abrogé le….7 Octobre 1940 pour pour être aboli après le débarquement allié en Algérie en 1943 .
Une chose est sûre » Nous avons de la mémoire » .
Qu’ en pense Macron?
Le mot le plus usagé et lié au Peuple Juif est le mot » INTERDICTION » .
Ce mot nous a rendu encore plus fort .
Si on croit en D. on ne touche pas au Peuple juif .
Les islamistes ? Une secte fanatique .
Les algériens peuvent faire ce qu’ils veulent, l’algérie a eu une communauté juive florissante, et présente bien avant l’invasion musulmane. Les juifs sont avec les kabyles et les berbères les premiers habitants de l’algérie. Le cimetière de Saint Eugène témoigne de cette présence juive ancestrale. Les algériens y ont dégradé une multitude de tombes juives pensant faire disparaitre la mémoire juive, il n’en est rien. En kabylie, les tombes sont préservées et entretenues. La mentalité des kabyles n’est pas du tout la même que celle des arabes.
Le cimetière israélite de Saint-Eugène est un cimetière juif situé à Bologhine sur les hauteurs d’Alger.
Le cimetière a été créé en novembre 1849. Il succède au cimetière du Midrach qui est détruit dans les années 1860. Les restes des anciens grands-rabbins d’Alger durent alors être transférés au nouveau cimetière de Saint-Eugène, après quoi un jour de deuil fut observé par la communauté juive algéroise. En 1909 est inauguré le mausolée des Rabbanim (Ribach et Rachbats) et le 13 novembre 1927 c’est le Monument aux morts de la Grande Guerre qui est inauguré.
La dernière inhumation est celle de Roger Hanin, le 13 février 2015.
Le cimetière serait aujourd’hui dévasté, particulièrement dans sa partie haute. Intempéries, vandalisme et profanations en sont la cause. Une inspection en mai 2018 confirme la continuation des dégradations et l’envahissement par les ronces et les pousses d’arbre5. En décembre 2022, il apparaît que ce cimetière est entretenu par l’État et même visité par les familles[
Bravo à cette femme ecrivaine algérienne d avoir fait un tel livre…..
L’étoile à 5 branches est un symbole fort de la religion musulmane, elle symbolise les 5 piliers de l’Islam. On la retrouve sur d’autres drapeaux de l’Afrique du Nord comme par exemple le drapeau algérien. Le drapeau marocain est imprimé aux couleurs officielles du pays.
Je vais commander son livre aujourd’hui avec un très grand interet