Affaire Samuel Paty : l’islamiste pro palestinien Abdelhakim Sefrioui jugé ce lundi pour “complicité d’assassinat terroriste”
Le militant radical est accusé d’avoir cité nommément le professeur assassiné Samuel Paty et d’avoir ainsi “facilité la définition d’un projet criminel” par le terroriste tchétchène, Abdoullakh Anzorov.
Il avait contesté sa mise en examen le 17 mai dernier. Abdelhakim Sefrioui sera fixé sur son sort ce lundi 28 juin, rapporte Le Figaro. Le fiché S de 62 ans, membre du Conseil des imams, est accusé de « complicité d’assassinat terroriste » dans le cadre de l’affaire Samuel Paty. Le 16 octobre 2020, ce professeur d’histoire-géographie avait été égorgé à Conflans-Sainte-Honorine, par un terroriste islamiste d’origine tchétchène, Abdoullakh Anzorov. La raison : l’enseignant avait osé montrer des caricatures du prophète Mahomet en classe. Abdelhakim Sefrioui est poursuivi dans cette affaire tout comme que le parent d’élève Brahim Chnina. S’offusquant de la diffusion des caricatures religieuses de la part de Samuel Paty, les deux hommes avaient relayé, dans une vidéo sur les réseaux sociaux, le nom du professeur et l’adresse de l’établissement scolaire dans lequel il exerçait. Dans cette séquence rendue publique le 11 octobre 2020, cinq jours avant l’assassinat de Samuel Paty, une véritable fronde était même lancée contre l’enseignant du collège du Bois-d’Aulne, rappelle Le Figaro.
La justice les accuse ainsi d’avoir « facilité la définition d’un projet criminel », ensuite mené par l’assaillant Abdoullakh Anzorov. D’après les juges d’instruction, Abdelhakim Sefrioui pourrait être complice après avoir « réalisé et contribué à la diffusion d’une vidéo (…) révélant ou relayant des renseignements d’identification et de localisation professionnelle de Samuel Paty ». Ils l’accusent aussi d’avoir profité de « l’autorité que lui conféraient ses fonctions affichées de membre du Conseil des imams de France pour susciter un sentiment de haine à l’égard de l’enseignant ainsi ciblé, en lien avec la présentation de caricatures religieuses », relaie Le Figaro.
Le 31 mai dernier, Abdelhakim Sefrioui avait toutefois contesté sa mise en examen pour « complicité d’assassinat terroriste » face à la cour d’appel de Paris. Pour la défense du fiché S, il n’est en effet « pas possible de lui reprocher une complicité car aucun lien n’a jamais été établi » entre lui et le terroriste, qu’il « ne connaissait pas ». « A la date de la vidéo, le tueur avait déjà connaissance de la polémique et mûri son projet criminel », avait fait valoir Me Elise Arfi, qui estimait que « ce recours n’est pas une injure à la mémoire de Samuel Paty » et qu’il « s’agit juste de faire du droit ». « Des gens font des vidéos ou des films sur tous sujets : faudra-t-il incriminer leurs auteurs si un fou s’en sert pour tuer quelqu’un ? », avait plaidé encore l’avocate d’Abdelhakim Sefrioui, détenu depuis sa mise en examen le 21 octobre.
Source :
https://www.valeursactuelles.com/societe/affaire-samuel-paty-lislamiste-abdelhakim-sefrioui-juge-ce-lundi-pour-complicite-dassassinat-terroriste/?fbclid=IwAR3xrWzELCyKyJy2odNEdbhCEIbPuoF3wKqx7MAagBJ2pETgjsGtVHU-pkM
Toujours les mêmes déchets 🤮qui gangrènent la France, Israël et le monde…
c est la veritè!on est en france ?? a voir ces geules !! on peut en douter !!!
Benjamin malheureusement si vous faites le tour de l´Europe vous risquez d´y trouver beaucoup de ce genre d´individu.En Allemagne,fait nouveau pour nous,vous voyez de plus en plus d´arabe avec le drapeau « palestinien »en médaillon,ce même drapeau aux fenêtres et mêmes des masques,c´est vous dire.
Que des personnes d´origine maghrébine s´investissent autant pour un peuple inventé,montre avant tout une haine certaine envers les juifs,qu´ils regardent se qu´est le Maghreb á ce jours,pas fameux.Avant de vouloir faire le ménage chez les autres dont ils ne connaissent rien,commencez par chez vous!Pas francais,retours au bled,assez de cons dans l´hexagone.Et comme le dit Vérité,toujours les mêmes déchets qui polluent le monde,sans faire de généralité mais quand même force est de constater.