VIDEOS : Au Maroc, on ne supporte plus les petites racailles françaises et leurs rodéos

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L’enquête éloquente publiée par Le Point samedi vient corroborer ce que vous avez peut-être constaté si vous étiez en vacances à Marrakech ou dans les villes marocaines. La grande transhumance estivale au bled y amène de jeunes Français issus de l’immigration arabe qui, après avoir pourri la vie de leur villes ou de leurs quartiers en France, récidivent dans ce qui est parfois leur pays d’origine. Leurs délits ? Rodéos urbains, roues arrières, conduite sans casque, sans permis, sous l’emprise de l’alcool et des stupéfiants, excès de vitesse, conduite dans des espaces interdits, etc. Et tout cela au volant de véhicules SUV, motocross, gros scooters de type T-Max, ou même voitures de luxe Porsche, à la portée des bourses de cette pauvre jeunesse des quartiers. Le phénomène meurtrier des rodéos urbains et des refus d’obtempérer fait malheureusement la une des médias chaque été en France (la mort de Kamilya, 7 ans, fauchée à Vallauris; celle du gendarme Éric Comyn, à Mougins); mais voilà qu’il s’est aussi exporté au Maroc cet été !
Des rodéos meurtriers
Au mois d’août, les accidents mortels causés par ces racailles se sont multipliés. Fin août, un cycliste a été violemment percuté par deux jeunes conduisant un SUV à une vitesse folle. L’homme, âgé, est décédé. Le 15 août, c’est une Audi RS3 qui a reversé des cyclistes à Marrakech.
Les profils de ces indésirables ?
Ils arrivent au bled et se croient tout permis. Ils écoutent du rap français à fond pendant leurs exploits. Ils sont d’origine marocaine, tunisienne ou algérienne, mais bien Français de chez nous… Au Maroc, ils sont appelés les « French Arabics » et ce n’est pas un compliment. Il se seraient rabattus sur le Maroc après avoir été jugés indésirables en Thaïlande, où ils commettaient les mêmes méfaits comme l’avait relaté l’an dernier Arnaud Florac.
En tout cas, pour beaucoup de Marocains comme pour cet influenceur cité par Le Point, le constat est sans appel : « Il n’y a aucun Belge, Néerlandais ou Espagnol d’origine nord-africaine qui fait ça. Ce sont toujours, toujours, toujours des gens de France. Ces gens-là sont le produit de votre éducation, de vos politiques de la ville, du laxisme de votre justice. […]. Il y a un problème avec ces gens-là. »
Une population exaspérée
La population, exaspérée, a vivement réagi, via les réseaux sociaux, contre ces racailles françaises venant troubler leur quotidien et qui, en plus, filment et diffusent leurs exploits sur ces mêmes réseaux !

Les appels à la fermeté se sont multipliés et la police a procédé à des contrôles musclés : selon une source judiciaire marocaine citée par Le Point, « les opérations des autorités marocaines ont permis l’arrestation de 2.956 personnes. 415 véhicules ont été immobilisés et transportés en fourrière. »
En France, la mort inacceptable d’Éric Comyn devrait fournir au gouvernement Barnier la seule feuille de route possible, celle de la fermeté à partir de ce constat que nous fournit le regard marocain : « Ces gens-là sont le produit de votre éducation, de vos politiques de la ville, du laxisme de votre justice. » Si Michel Barnier veut vraiment dire la vérité aux Français et se cherche un programme de rupture…


Source
Bdvoltaire
Rodéos urbains : au Maroc, la police fait la chasse aux « French Arabics »
L’été au Maroc, et particulièrement à Marrakech, a été perturbé par des rodéos à motocross ou en voiture. Lassées de ces Français venus s’amuser au pays, les autorités se sont montrées fermes.
Sans casque sur un motocross, un jeune homme grimpe sur les bosses d’une pelouse immaculée au milieu des palmiers. Le motard ne roule pas en zone rurale, mais dans les jardins d’une résidence cossue au sud de Marrakech. Des vidéos comme celles-ci, les résidents et les influenceurs marocains en ont posté des dizaines cet été, accompagnées de commentaires atterrés. Ils dénoncent un phénomène qui, médiatisé sur les réseaux sociaux, a pris une ampleur inédite cette année : les rodéos urbains. En France, le sujet revient chaque été dans l’actualité. Dernier fait divers marquant : la mort de Kamilya, 7 ans, fauchée à Vallauris, près de Cannes (Alpes-Maritimes), par un motard de 19 ans qui faisait une roue arrière sur un passage piéton.
Au Maroc, les auteurs sont facilement identifiables : ils se filment et diffusent leurs exploits sur les réseaux sociaux. Un autre point commun les unit : souvent, ce sont des touristes. Les influenceurs marocains, exaspérés, les surnomment les « French Arabics ». Ce sobriquet désigne les Français d’origine maghrébine ou les Franco-Marocains (ou -Algériens, -Tunisiens…) qui se croient tout permis l’été au « bled ».
« Il n’y a aucun Belge, Néerlandais ou Espagnol d’origine nord-africaine qui fait ça, estime Moha Soussi, un influenceur marocain, dans une vidéo postée sur Instagram. Ce sont toujours, toujours, toujours des gens de France. Ces gens-là sont le produit de votre éducation, de vos politiques de la ville, du laxisme de votre justice. […] Ils ne viennent que quinze jours au Maroc. Il y a un problème avec ces gens-là. » « On en a marre des gens dangereux qui viennent faire les beaux l’été », dénonce une internaute en commentaires de sa vidéo, partagée des dizaines de fois.
T-Max et Porsche Macan
On retrouve surtout les « French Arabics » à Marrakech, ville festive où ils louent des appartements, voire des villas à plusieurs, pour profiter du soleil marocain. Certains louent aussi – assez facilement – des motocross, de gros scooters de type T-Max, ou même des voitures de luxe de type Porsche Macan, malgré leur jeune âge. Un influenceur marocain en veut aux loueurs : « Vous louez un motocross en pleine ville, vous savez ce qui va se passer. […] Quatre gamins de 19 ans louent une grosse voiture, ils vont rouler comme des fous… »
Fin août, la vidéo d’un accident grave à Marrakech a particulièrement marqué les esprits. On y voit deux jeunes, hilares, se filmer au petit matin en train de conduire un gros SUV à vive allure, musique à fond. Du rap français. Au bout de quinze secondes, un cri strident résonne ; un cycliste est violemment percuté de face. La victime, un homme âgé, est décédée, selon les médias marocains.
Une semaine plus tôt, le 15 août, une Audi RS3 avait fauché des cyclistes en pleine ville, provoquant un tollé au Maroc. La sûreté nationale (l’équivalent de notre police nationale) a annoncé sur ses réseaux sociaux que le chauffard ivre avait été arrêté. Il serait franco-marocain. Ailleurs à Marrakech, des vidéos montrent un jeune sans casque qui traverse à motocross les pelouses d’un rond-point dans le quartier de L’Hivernage, torse nu, avant de vite repartir sur sa roue arrière vers les hôtels touristiques et le casino de la ville.
Un « influenceur » français, Fares S., s’est aussi filmé en souriant aux côtés d’un ami en plein rodéo moto. « Très bien arrivé au Maroc, les gars, avec mon pote », s’amuse-t-il.
Mais cela n’a pas du tout fait rire les Marocains. « La morgue avec laquelle ces jeunes viennent troubler l’ordre local renforce l’impopularité à leur encontre, souligne Me Hakim Chergui, avocat franco-marocain. Au Maghreb, on les appelle les “wesh wesh” ». Le président du Club des avocats au Maroc, Me Mourad Elajouti, préfère de son côté ne « pas stigmatiser ». « Il ne faut pas associer les rodéos urbains à une communauté ou nationalité spécifique », nuance-t-il, tout en confirmant que le Maroc a connu « beaucoup de plaintes et de réclamations cet été ». « Nous avons été confrontés à des rodéos urbains et à du “drifting” [le fait de déraper en boucle autour des ronds-points, NDLR] », précise Me Elajouti.
Les Marocains s’inquiètent ainsi que les « French Arabics » se rabattent sur le Maroc après avoir été déclarés persona non grata en Thaïlande il y a quelques années. En effet, le terme « French Arabics » est apparu vers 2010, lorsque les Thaïlandais se sont émus du comportement débridé de jeunes Français sur les plages de Phuket. « Si vous pensez que Marrakech va devenir une vulgaire ville de banlieue parisienne, vous vous mettez le doigt dans l’œil jusqu’à l’os », avertit l’influenceur Moha Soussi. « La police marocaine va taper fort… Et la justice ne rigole pas, surtout pour les Franco-Marocains qui entrent au Maroc avec leur passeport marocain, donc sous citoyenneté marocaine », analyse un entrepreneur franco-marocain.
Vastes opérations de police
Face à ces incivilités, les autorités marocaines ont vivement réagi. Des opérations policières ont été lancées à Fès, Casablanca, Tanger et Salé. Et la plus importante a eu lieu à Marrakech, la dernière semaine d’août. Des agents ont quadrillé la ville et contrôlé les conducteurs avec fermeté. Et même trop de fermeté, selon certains Marocains, qui se sont plaints de vérifications à répétition, car ils visaient surtout les « MRE », les Marocains résidant à l’étranger. « Marrakech, ça va devenir Washington tellement c’est sécurisé », s’amuse un influenceur.
Source
Le Point

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2 Commentaires

  1. joseparis dit :

    Ces déchets polluent la France, emmerdent et tuent les français par leur haine et leur inéducation. Que les marocains les arrêtent, les condamnent et qu’ils goutent aux joies des prisons marocaines. Cela leur fera peut être plus d’effet que les tribunaux français, d’où ils sortent plus vite qu’ils y sont rentrés en toute impunité grâce aux juges islamo-gauchistes du snm.

  2. David92 dit :

    ‘Au Maroc, on ne supporte plus les petites racailles françaises et leurs rodéos ».

    Qu’ils prennent un bourricot et qu’ils essayent de faire du « rodéo »…..ils finiront chez Achille Zavata .

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